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Depuis le mois de septembre, les pays européens sont invités à revoir le calcul de leur PIB en intégrant les revenus issus du trafic de drogue et de la prostitution. Cette préconisation émane directement du Parlement européen, et elle est déjà suivie par l'Italie et la Grande-Bretagne. La traque des «Ujana», filles «sans sous-vêtements», fait polémique à Kinshasa. Un ajustement justifié par le fait que certains pays du Vieux Continent, comme les Pays-Bas, où la vente de cannabis et la prostitution sont légales, comptabilisent déjà ces revenus dans leur PIB. Rome espère ainsi gagner 1 point de croissance… Loin des débats éthiques autour du sexe tarifé, la question se pose en effet de savoir ce que représente économiquement cette activité. En compilant les données disponibles, le total des revenus générés chaque année dans le monde atteint 186 milliards de dollars (près de 146 milliards d'euros). Une addition probablement bien en dessous de la réalité, de nombreux pays ne disposant d'aucune statistique, notamment en Afrique. Le dossier proposé cette semaine par Jeune Afrique aborde sous un angle inhabituel cette activité parfois interdite, souvent tolérée, voire légalisée dans la limite difficilement contrôlable du consentement et de l'autoentrepreneuriat – en dehors des réseaux de proxénétisme et de traite d'êtres humains.
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Dans le Cameroun des années 1960 et 1970, à la tombée de la nuit, des chants a cappella retentissaient dans les cours des chaumières du Sud. Il s'agissait de prises de parole à la ronde, orchestrées par les femmes de l'ethnie Fang-Beti. Une chanteuse exprimait le tourment de ne pouvoir procréer, une autre la nostalgie d'un village abandonné par amour pour un mari « étranger », une troisième la détresse d'être prise pour une sorcière… Les autres participantes tapaient des mains et frappaient frénétiquement le sol des pieds, le dos ondulant tel un énorme serpent. Chanter devenait prière, bénédiction. « C'était cela, le bikutsi, explique la chanteuse camerounaise Sally Nyolo. Une danse où l'on entre en transe, mais qui peut aussi s'exécuter en secouant juste les épaules et la tête. » Ce bikutsi classieux, tout en grâce et en suggestion, a vécu. Au Malawi, la violente "initiation sexuelle" des jeunes filles par les "hyènes" - Reporters. Une sexualisation à peine voilée Place désormais au trémoussement des popotins, en parfaite adéquation avec des chansons sur le thème récurrent de la sexualité, abordé sans grande finesse.
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Survival International, qui milite pour le droit des tribus dans le monde, a dénoncé la vidéo dans laquelle les touristes semblent apprécier "les zoos humains". "Il est assez clair que l'attitude de certaines personnes envers les populations tribales n'a pas changé d'un iota. Les Jarawa ne sont pas des animaux de cirque que l'on fait danser sur commande", a commenté Stephen Corry, le directeur de l'organisation, cité dans un communiqué. Un anthropologue indien, A. Justin, qui travaille sur les îles Andaman, a toutefois émis des doutes sur l'actualité de la scène. "Avant le tsunami de 2004, les gens auraient pu les forcer à danser (... ). Depuis le tsunami, une politique de grande autonomie avec un minimum d'intervention a été mise en place. Fille africaine base de loisirs. Les choses se sont un peu améliorées, il y a un grand soin (apporté à la sécurité) maintenant", a-t-il assuré. La police des îles Andaman a de son côté jugé que c'était un "vieil" enregistrement. "La vidéo semble vieille de six ou sept ans, lorsque les Jarawa ne s'habillaient pas.
"Des investigations sont en cours" à son sujet et concernant la mère de la victime qui a omis de signaler la disparition de sa fille depuis plus de trois semaines. C'est finalement par des reporters du tabloïd Daily Sun, qui ont visionné la vidéo, que la police a été alertée. La famille de l'adolescente habite Bramfischerville, une zone particulièrement déshéritée avec des égouts à ciel ouvert, au coeur de la grande township noire de Soweto, au sud-ouest de Johannesburg. Fille africaine base de données. C'est dans ces lieux de relégation, cocktail de misère et de violence, que se produisent la majeure partie des crimes qui font de l'Afrique du Sud l'un des pays ayant parmi les taux les plus élevés d'homicides et de viols. Pour ajouter au caractère sordide de l'affaire, les médias ont révélé que la victime pourrait être retardée mentale. "Nous avons demandé une expertise car nous avons des raisons de penser qu'elle est mentalement instable", a indiqué M. Mhaga. Les agresseurs seraient alors passibles de la réclusion à perpétuité.
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Son amie affirme, elle, avoir fui un bar quand elle a vu arriver des policiers: «Après, mes copines m'ont dit qu'on a arrêté beaucoup de filles. » Sur les réseaux sociaux, des policiers ont été accusés d'excès de zèle et d'abus. «Nous nous opposons à l'usage de la brutalité policière pour récupérer des filles mineures dans des bars et boîtes de nuit ainsi qu'à l'arrestation illégale des filles majeures et à leur détention», s'est insurgé l'avocat et défenseur des droits de l'Homme Georges Kapiamba. L'avocat a demandé au gouverneur de Kinshasa de suspendre l'opération «en attendant les mesures d'accompagnement que nous allons lui proposer». Carrefour Super-Lemba, le tribunal n'a pas rendu son verdict. Côte d'Ivoire : Il filme une adolescente entrain de se faire violer par son ami - KOACI. Dans deux autres tribunaux, des dizaines de filles auraient été relâchées parce qu'elles avaient en fait plus de 18 ans.
Une vidéo montrant des femmes issues d'une tribu primitive protégée en train de danser pour des touristes en échange de nourriture sur les îles Andaman ( Inde) a provoqué la colère de militants et déclenché l'ouverture d'une enquête. Le quotidien britannique The Observer a diffusé sur son site internet une vidéo prise par un touriste montrant des femmes de la tribu Jarawa, certaines nues, en train d'exécuter des danses après des pots-de-vin qui auraient été versés à un policier pour qu'elles se donnent en spectacle. La vidéo, prise par un touriste, montre des femmes s'enquérant de la nourriture promise après quelques pas de danse accompagnée de chants. Selon la loi indienne destinée à protéger les groupes tribaux de l'influence extérieure et des maladies, il est interdit de les photographier ou d'entrer en contact avec eux. Le ministre indien des Affaires tribales, V. Kishore Chandra Deo, a promis de prendre des mesures après l'incident, qu'il a qualifié mercredi de "dégoûtant". Le ministère de l'Intérieur a pour sa part demandé un rapport.