Dessin Humoristique Travail Social | L'hiver De Victor Hugo - Lieu Commun
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Publié le 31 octobre 2016 Sensibiliser les Français à l'égalité des chances au travail, n'est pas chose aisée. Et le faire via une BD humoristique est une entreprise très risquée. Mais miracle, "L'égalité est un long fleuve tranquille" réussit pleinement son pari: faire rire et même faire réfléchir sur des clichés qu'on véhicule au travail. Extraits. La lutte contre les discriminations au travail est un parfait exemple de sujet qui fait fuir les lecteurs. Beaucoup choisissent donc de le traiter avec humour, avec, il faut bien le reconnaître, plus ou moins de succès. La BD L'égalité est un long fleuve tranquille du caricaturiste Antoine Chereau fait assurément partie de la première catégorie. Car elle a beau parler d'inégalités hommes/femmes, de discriminations envers les seniors et les juniors et de clichés sur les blondes ou les homosexuels, elle est hilarante. Sélection de dessins humoristiques médicaux. Impossible de ne pas sourire devant ces dessins aux situations ridicules mais si familières. Avant de vous dévoiler quelques extraits, précisons que cet ouvrage est édité en association avec le groupe Randstad France qui s'est engagé, via son institut, à reverser 1 euro pour chaque exemplaire à 3 associations qui luttent pour l'égalité des chances.
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Et si le rire était la meilleure arme pour lutter contre les clichés et faire la promotion de la diversité?
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Je lui dis: La rose du jardin, comme tu sais, dure peu; et la saison des roses est bien vite écoulée. SADI. L hiver de victor hugo. Quand l'Automne, abrégeant les jours qu'elle dévore, Éteint leurs soirs de flamme et glace leur aurore, Quand Novembre de brume inonde le ciel bleu, Que le bois tourbillonne et qu'il neige des feuilles, Ô ma muse! en mon âme alors tu te recueilles, Comme un enfant transi qui s'approche du feu. Devant le sombre hiver de Paris qui bourdonne, Ton soleil d'orient s'éclipse, et t'abandonne, Ton beau rêve d'Asie avorte, et tu ne vois Sous tes yeux que la rue au bruit accoutumée, Brouillard à ta fenêtre, et longs flots de fumée Qui baignent en fuyant l'angle noirci des toits. Alors s'en vont en foule et sultans et sultanes, Pyramides, palmiers, galères capitanes, Et le tigre vorace et le chameau frugal, Djinns au vol furieux, danses des bayadères, L'Arabe qui se penche au cou des dromadaires, Et la fauve girafe au galop inégal! Alors, éléphants blancs chargés de femmes brunes, Cités aux dômes d'or où les mois sont des lunes, Imans de Mahomet, mages, prêtres de Bel, Tout fuit, tout disparaît: – plus de minaret maure, Plus de sérail fleuri, plus d'ardente Gomorrhe Qui jette un reflet rouge au front noir de Babel!
Nuits D'hiver, Poème De Victor Hugo
Messageries du Levant!... Oh, tombée de la pluie! Oh! ( continuer... ) Au bois de Boulogne, l'Hiver, La terre a son manteau de neige. Mille Iris, qui ( continuer... ) C'est l'hiver sans parfum ni chants. Dans le pré, les brins de verdure Percent ( continuer... ) Songes-tu parfois, bien-aimée, Assise près du foyer clair, Lorsque sous la ( continuer... ) Rayures d'eau, longues feuilles couleur de brique, Par mes plaines d'éternité ( continuer... L hiver de victor hugo chavez. ) L'hiver blanchit le dur chemin Tes jours aux méchants sont en proie. La bise ( continuer... ) Non, ce n'est pas l'été, dans le jardin qui brille, Où tu t'aimes de vivre, ( continuer... ) Le ciel pleure ses larmes blanches Sur les jours roses trépassés; Et les amours ( continuer... ) La neige couvre tout de son fin manteau blanc Et le décor a pris un tour étincelant.
Toi dans l'ombre, Pepita! Moi, huit ans, elle le double; En m'appelant son mari, Elle m'emplissait de trouble… – O rameaux de mai fleuri! Elle aimait un capitaine; J'ai compris plus tard pourquoi, Tout en l'aimant, la hautaine N'était douce que pour moi. Elle attisait son martyre Avec moi, pour l'embraser, Lui refusait un sourire Et me donnait un baiser. L'innocente, en sa paresse, Se livrant sans se faner, Me donnait cette caresse Afin de ne rien donner. Nuits d'hiver, poème de Victor Hugo. Et ce baiser économe, Qui me semblait généreux, Rendait jaloux le jeune homme, Et me rendait amoureux. Il partait, la main crispée; Et, me sentant un rival, Je méditais une épée Et je rêvais un cheval. Ainsi, du bout de son aile Touchant mon coeur nouveau-né, Gaie, ayant dans sa prunelle Un doux regard étonné, Sans savoir qu'elle était femme, Et riant de m'épouser, Cet ange allumait mon âme Dans l'ombre avec un baiser. Mal ou bien, épine ou rose, A tout âge, sages, fous, Nous apprenons quelque chose D'un enfant plus vieux que nous. Un jour la pauvre petite S'endormit sous le gazon… – Comme la nuit tombe vite Sur notre sombre horizon!