Rapport Notat Sénard Des
De même les critiques reprochant au rapport son travail de sape de la liberté, ont du mal à se sortir d'une pensée de droite qui résume l'Homme à sa liberté d'entreprendre, contre toute vision collective permettant à chacun d'être concerné par notre destin commun. Parce que je crois que ce rapport constitue une avancée, ses propositions doivent être soutenues et je m'associe à la démarche de terra-Nova [8] dans son soutien aux propositions de ce rapport. Gaby BONNAND [1] Blanche Segrestin et Armand Hatchtuhel: « Refonder l'entreprise ». Rapport notat sénard de la. Giraud G, Renouard C: « Vingt propositions pour réformer le capitalisme », Philippe Askenazy: « Les décennies aveugles ». Michel Aglietta: « les dérives du capitalisme financier », Daniel Cohen, « la Prospérité du vice », Joseph Stiglitz: « le triomphe de la cupidité »… et bien d'autres [2] Rapport Notat Sénard [6] Jean Charles Simon " Rapport Notat-Sénard: l'étrange défaite du capitalisme français » atlantico le 19 Mars [7] Blog d'Éric Verhaeghe du 11 mars [8]
Rapport Notat Sénard Aux
L'Afep ne souhaite pas que les règles actuelles, qui sont en cours de déploiement, soient modifiées. Elle propose en revanche dans la révision du code de gouvernement d'entreprise en cours de consultation que les administrateurs salariés soient positionnés au bon niveau de décision stratégique. Enfin, l'instauration de comités des parties-prenantes est actuellement expérimentée par plusieurs grandes entreprises et devra faire l'objet d'une évaluation avant d'être incluse dans les recommandations du code Afep-MEDEF. Publication du rapport Notat-Senard – AFEP. Les entreprises de l'Afep attendent désormais que le gouvernement précise ses intentions quant aux propositions qu'il souhaite retenir parmi les recommandations de la mission « Entreprise et intérêt général » et qu'il indique la traduction législative qu'il entend leur donner. Contacts presse: Michel Calzaroni /Tarick Dali DGM Conseil 01 40 70 11 89
Le droit des sociétés organise les relations entre les associés/actionnaires, entre ceux-ci et les dirigeants et les autres organes de la société, et dans une certaine mesure, il appréhende la situation des salariés et traite de la RSE. Le droit du travail traite quant à lui de la relation entre les salariés et leur employeur. Les auteurs du rapport veulent faire entrer l'entreprise dans le droit, mais ils le font d'une manière qui entend concilier les différents intérêts concernés (associés/actionnaires, salariés et autres parties prenantes), mais qui entend dans le même temps éviter l'instrumentalisation de l'entreprise par ces parties prenantes. Les modifications proposées touchent à des textes fondamentaux sur les sociétés (articles 1832 et 1833 du Code civil), mais sans créer, au sein du Code civil ou du Code de commerce un statut général de l'entreprise. Or, celle-ci n'est pas toujours aussi complexe que cela, et elle peut reposer sur une seule personne physique ou sur plusieurs personnes sans pour autant donner naissance à une personne morale, contrairement à ce que semblent penser les auteurs du rapport qui considèrent que l'emploi du mot « affecter » par l'article 1832 du Code civil implique que la société ait un patrimoine propre distinct de celui des associés (p. Rapport notat sénard du. 44).