Opérateur Unaire Attendue: Week-End Théâtre - Théâtre Du Mordant
-eq: opérateur unaire attendu J'ai ce script, qui modifie la vibration NVIDIA-SETTINGS, lorsque certaines applications/processus sont lancés (dans mon cas Counter-Strike:Global Offensive game) Scénario: #!
Opérateur Unaire Attendu
Vous avez utilisé deux types différents de Quote dans ton code. L'un d'eux (très probablement celui qui est utilisé dans la lignée des echo dedans) devrait être invalide. 1 pour la réponse № 2 Chepner avait raison, je ne savais pas que monLes opérateurs "-gt et -lt" n'utilisaient pas de tirets comme je l'avais pensé. Opérateur unaire attendu linux. Il lisait comme si j'avais tapé "--gt et --lt". J'avais copié mon script d'un éditeur de texte dans vim. CURR_AVAIL=df /home2 | tail -1 | awk "{ print $4}" if [ "$DIFF_AVAIL" -gt 1000]; elif [ "$DIFF_AVAIL" -lt -1000]; Merci pour votre aide!
Par exemple, ce script exécutera la boucle jusqu'à ce que le fichier "stopfile" soit touché. until inotifywait "receive_dir" | grep "stopfile" do echo "running" done echo "done" L'avantage est qu'il ne s'agit pas d'une boucle occupée et qu'il n'est pas nécessaire d'appeler à plusieurs resockets la commande de recherche (potentiellement coûteuse).
Moi, par contre, c'est pas dit. Pour l'occasion, ce n'est pas l'habituelle version de Tartuffe en cinq actes qui nous est présentée, mais une réécriture de ce qu'aurait pu être la première version de Tartuffe, en trois actes, interdite dès sa sortie – réécriture permise grâce à une technique de « génétique littéraire » mise au point par le spécialiste des études théâtrales du XVIIe siècle, Georges Forestier. Ce n'est donc pas « la pièce originale » comme on l'a beaucoup lu, mais bien une reconstruction hypothétique de ce qu'elle aurait pu être. Mordue de théâtre de rue. L'ambition était louable, le résultat un peu décevant, la pièce révélant quelques défauts de construction dommageables pour sa compréhension – heureusement, elle reste semblable par bien des aspects aux actes I, III et IV du Tartuffe que l'on connaît bien, et on peut s'y raccrocher si jamais on se perd un peu trop. De toute façon, dans ce spectacle, ce n'est pas la seule chose qui cloche, loin de là. On va tout de suite mettre les choses au clair.
Week-End Théâtre - Théâtre Du Mordant
Les lumières de Aurélien Guettard favorisent ces différentes perspectives. Ce qui m'a particulièrement marquée, dans les lumières de ce spectacle, ce sont les noirs. J'en ai vu des noirs au théâtre. J'ai du mal à comprendre pourquoi ceux-ci se distinguent tant. Week-end théâtre - Théâtre du Mordant. Ce sont des noirs qui enferment, des noirs qui englobent tout, comme lorsqu'on s'endort, de ces noirs progressifs qui créent le néant autour de nous. Ils ont quelque chose d'effrayant et de réconfortant à la fois, car dans le noir plus rien n'existe, ni espoir ni désespoir. Ces noirs-là sont un reflet lumineux tout à fait réussi des non-dits qui façonnent notre histoire. Ces différents éléments forment un tout globalement réussi, et pourtant, un léger ennui pointe parfois le bout de son nez. Le temps se fait un peu long lors de certaines scènes. C'est étrange, car c'est lorsqu'il ne se passe rien, lorsqu'on joue aux devinettes, lorsque tout est dans l'implicite qu'on est finalement le plus happé. Ce combat de sentiments, d'émotions, de souvenirs et de ce qu'on en fait, c'est complètement prenant.
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