Racine Phèdre Acte I Scène 3 Summary
Dans la spirale de la mort. Ph est donc un être f aible, privé de libert é et victime des passions. Acte I scène 3 – Tir ade de Phèdre Oenone, devan t sa maîtresse « f emme mour ante et qui cher che à mourir », la contr aint à s'expliquer sur cet é tat. C'es t elle la première qui pr ononce le nom d'H., ensuite Ph part dans sa tirade. Probléma tique: Comment la passion fa tale appar aît -elle comme une maladie? I. V 269 à 278: Le coup de foudr e. Amour subi, soumission. E f f ets ph ysiologiques puissants de l'amour: Ph est en pleine conscience du mal qui la dés tabilise. II. V 279 à 289: Le combat inutile. Rit e païen d'ex orcisme. Souligne l'aspect en voût ement de l'amour. III. V 290 à 300: T entativ e de sursaut. IV. V 301 à 306: Même cause, même e ff et. Racine, Phèdre, Acte I scène 3 : commentaire composé. La vision d'Hippolyte r amène le mal. V. V 307 à la fin: Échec final e t absence de perspectiv es. En conflit av ec son sens de la justice et sa réput ation. Ph n'a d'autre issue que la mort: l'amour es t une maladie mortelle. Probléma tique: Comment l'amour fait -il appar aître une violence tr agique?
- Racine phèdre acte i scène 3 a imprimer
- Racine phèdre acte i scène 3
- Racine phèdre acte i scène 3 la
- Racine phèdre acte i scène 3 de la
- Racine phèdre acte i scène 3 episode
Racine Phèdre Acte I Scène 3 A Imprimer
Tout est ferveur et ivresse chez Phèdre. Son devoir moral elle le connaît, sa passion est sincère, pourtant elle ne pèse rien face à ce que la société attend d'elle, à savoir une conduite irréprochable, dans ses actes et ses pensées, autrement dit une absence totale de liberté. Phèdre n'est pas libre, parce qu'elle est femme. Contrairement à son mari Thésée, dont Racine souligne pourtant la conduite adultère répétée, Phèdre est enfermée dans son rôle d'épouse qui doit être fidèle au héros. Phèdre, a tenté de conjurer la fatalité de sa lignée en refoulant et réprimant autant qu'elle a pu sa passion, elle ne l'a d'ailleurs jamais mise en acte avant d'en faire l'aveu. Phèdre de Racine (1677), Acte I, fin de la scène 3 – La clé des livres. Un baiser arraché dans la mise en scène de Robin Renucci concrétise son péché, sa faute, son forfait. Tous explorent, calculent, envisagent autour d'elle des solutions, mais nul ne cherche à la comprendre. C'est tout cela que nous dit la belle Maryline Fontaine dans les vers raciniens parfaitement prononcés, dans ses mains qui se tordent, ses yeux qui sont tour à tour torrents et flammes, dans les tremblements de sa poitrine, dans les joues qui se creusent à mesure que le feu de souffrance la consume et la jette à terre.
Racine Phèdre Acte I Scène 3
Je respirais Oenone, et depuis son absence Mes jours moins agités coulaient dans l'innocence. Soumise à mon époux, et cachant mes ennuis, De son fatal hymen je cultivais les fruits. Sujet: Vous présenterez un commentaire composé de la réplique de Phèdre. Racine est un tragédien du XVIIème siècle. ]
Racine Phèdre Acte I Scène 3 La
Lecture analytique n°14 Phèdre – Racine Acte I scène 3 – Tir ade de Phèdre Présen tation de l'intr o: 1) Dat e écriture 2) P ort Roy al 3) Explication du titr e Racine est accusé de « conversion » ( jansénisme) et de corruption mor al. Pour se r éconcilier av ec Port R oy al, il écrit Phèdre en 1 677, où il prend de gr andes préc autions dans sa préf ace: « je n'en ai point f ait où la vertu ne soit plus mise en jour que dans celle- ci » Phèdre es t conduite par une passion amoureuse criminelle et ser a condamnée; a tr av ers elle l'aut eur condamne la pas sion destructrice. Phèdre puise ses sour ces dans les œuvres suiv antes: L' Hippolyte d'Euripide, la Phaedr a de Sénèque, le chant IV de l' Eneide de Vir gile et les Heroides d'Ovide. T oute cet te r éf érence mythologique dév eloppe la thématique de la fa talité. Racine a vait d'abor d donné à sa pièce le titre Phèdre et Hippolyt e, mais le choix du nom unique de Ph. Racine phèdre acte i scène 3. Correspond mieux à la signification de la pièce car l'action tout e entière es t subordonnée au per sonnage principal; les autres per so n'étan t que des élém ents disposés par les dieux pour inscrir e Ph.
Racine Phèdre Acte I Scène 3 De La
Cruelle, quand ma foi vous a−t−elle déçue? Songez−vous qu'en naissant mes bras vous ont reçue? Mon pays, mes enfants, pour vous j'ai tout quitté. Réserviez−vous ce prix à ma fidélité? Quel fruit espères−tu de tant de violence? Tu frémiras d'horreur si je romps le silence. Et que me direz−vous qui ne cède, grands dieux! A l'horreur de vous voir expirer à mes yeux? Quand tu sauras mon crime, et le sort qui m'accable, Je n'en mourrai pas moins, j'en mourrai plus coupable. Madame, au nom des pleurs que pour vous j'ai versés, Par vos faibles genoux que je tiens embrassés, Délivrez mon esprit de ce funeste doute. Tu le veux. Lève−toi. Parlez: je vous écoute. Ciel! que lui vais−je dire? et par où commencer? Par de vaines frayeurs cessez de m'offenser. Racine phèdre acte i scène 3 de la. O haine de Vénus! O fatale colère! Dans quels égarements l'amour jeta ma mère! Oublions−les Madame, et qu'à tout l'avenir Un silence éternel cache ce souvenir. Ariane, ma soeur, de quel amour blessée Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée!
Racine Phèdre Acte I Scène 3 Episode
L 'acte I scène 3 de Phèdre est une scène clé de la pièce: Phèdre y révèle son amour incestueux pour son beau-fils Hippolyte. Cette s cène d'aveu exceptionnelle souligne la force destructrice de la passion amoureuse. Clique ici pour accéder au commentaire de l'acte 1 scène 3 de Phèdre (v. 218 à 265) Acte I scène 3 de Phèdre (extrait) OENONE Quoi? de quelques remords êtes−vous déchirée? Quel crime a pu produire un trouble si pressant? Vos mains n'ont point trempé dans le sang innocent. PHEDRE Grâces au ciel, mes mains ne sont point criminelles. Plût aux dieux que mon coeur fût innocent comme elles! Et quel affreux projet avez−vous enfanté Dont votre coeur encor doive être épouvanté? Racine phèdre acte i scène 3 a imprimer. Je t'en ai dit assez. Epargne−moi le reste. Je meurs, pour ne point faire un aveu si funeste. Mourez donc, et gardez un silence inhumain; Mais pour fermer vos yeux cherchez une autre main. Quoiqu'il vous reste à peine une faible lumière, Mon âme chez les morts descendra la première; Mille chemins ouverts y conduisent toujours, Et ma juste douleur choisira les plus courts.
T outes ces référe n ce s my t ho l o gi q u es dé ve lo p p en t l a th é m at iq u e d e l a fata l i t é. Ra c i n e ava i t d' a b o r d d on n é à s a p iè c e le ti t r e Ph è d re et H i p p o l y t e, m a i s l e ch o i x du nom unique de Phèdre correspond mieux à la signification de la pièce car l'action toute entièr e est subo rdo n n ée a u pe rso n n ag e pr i n ci p al, l e s au t re s pe rs on n a ge s n' é tan t qu e d e s éléments disposés par les dieux pour inscrire Phèdre dans la spirale de la mort. A tr av ers Phèdre nous vo yons donc un ê tre faible, privé de liberté et victime des passions. Soit un êtr e humain. Acte I scène 3 – Tirade de Phèdr e Nous sommes à la scène 3 où Oenone, devan t sa maîtresse « fe m m e m ou ra nt e e t q u i cherche à mourir », la c ontr aint à s'explique r sur cet éta t. C'est elle la pr emière qui pr ononce le nom d'Hippolyte, ensuite Phèdr e s' exprime e t part dans sa tirade. Phèdre, Racine, acte I scène 3 : texte. I - Ve r s 2 6 9 à 2 7 8: Le coup de foudr e. Amour subi, soumission « ennemi ».