Père Paul Labutte

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Tuesday, 28 May 2024
Paul Labutte Description: Yvonne-Aimée de Jésus écrit le Père Labutte a été: "ma mère selon l'Esprit" et "ma fille vraie jusqu'à la racine de son être". Sur cette vie étonnante et simple, merveilleuse et éprouvée, le Père Labutte témoigne qu'avec Mère Yvonne Aimée le ciel a visité la terre. Se lit comme un journal. En stock ISBN: 9782868394781 PARUTION: 01 janvier 2010 743 pages Format: 15x23 Poids: 1444 g DU MEME AUTEUR LIVRE / VIE DES SAINTS Du Père Paul Labutte, ce livre préfacé par Mgr Guy Gaucher, ne répète pas les deux précédents mais témoigne d'une... AVEC CE PRODUIT, LES INTERNAUTES ONT AUSSI ACHETÉ CHAPELET / CHAPELET DE DÉVOTION Sainte rita est souvent prié en l'honneur des causes désespérées. Chapelet de dévotion en l'honneur de sainte Rita monté sur chaine... Chapelet de dévotion monté sur chaine en laiton argenté - Chapelet bleu clair Particularité: 3 fois 5 perles avec la... Chapelet de dévotion monté sur chaine Le chapelet est livré avec un feuillet explicatif et le mode d'emploi pour prier...

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Considérée comme une Sainte et décorée par de Gaulle, Mère Yvonne-Aimée de Jésus a séjourné plusieurs fois à la Brardière, près de L'Aigle (Orne). Retour sur ses merveilles. Par Thierry Roussin Publié le 4 Sep 21 à 11:30 Mère Yvonne-Aimée est décédée à l'âge de 49 ans (©DR) Née en Mayenne le 16 juillet 1901, Yvonne Beauvais (1901-1950) a un lien étroit avec la Brardière à La Chapelle-Viel (Orne) pour y avoir séjourné à plusieurs reprises. Elle a surtout eu pour ami et confident le Père Paul Labutte, co-fondateur de la Communauté Notre-Dame de la Brardière. Si le procès en béatification de Mère Yvonne-Aimée de Jésus, Supérieure des Augustines de Malestroit a été stoppée par l'Église, elle est aujourd'hui considérée comme une sainte. « Je la considère comme une sainte » Dans un témoignage daté du 7 août 1952, alors que « mes infirmités croissantes me font envisager une mort assez prochaine », Mgr François Picaud, évêque de Bayeux-Lisieux, explique « qu'ayant été étroitement mêlé aux différentes péripéties de son existence, je la considère comme une sainte, comme une très grande sainte ».

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En savoir plus 4 ème de couverture J'ai plusieurs fois rencontré le père Labutte à la Bradière. Son témoignage était impressionnant, immuable malgré son grand âge, accompagné de ce regard qui inspirait confiance et d'une assurance sereine. Il racontait des faits plus qu'étonnants avec une simplicité tranquille. Après Yvonne-Aimée de Jésus, ma mère selon l'Esprit et Une amitié voulue par Dieu, publiés de son vivant, voici qu'un troisième volume a été retrouvé dans les affaires du père Labutte, écrit en 1977. Il ne répète pas les deux autres -même si certains faits et certaines paroles sont redits ici-. Mais il témoigne d'une autre manière, en organisant plus systématiquement ce qu'on peut appeler l'enseignement et la vie de la religieuse augustine. Il ne s'agit plus d'un parcours chronologique où l'on suit l'évolution spirituelle de la personne, mais d'un essai de synthèse concernant sa personnalité, ses vertus, sa prière, sa sagesse, son influence... On rencontre ici Yvonne-Aimée de Jésus sous un autre angle, grâce à quelqu'un qui l'a bien connue et qui a pu, avec le recul du temps, mesurer et apprécier l'étonnante et magnifique aventure spirituelle de cette vie, tout à la fois pleinement enracinée dans le réel quotidien et familière des grâces mystiques les plus fulgurantes.

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Dans son livre, « Yvonne-Aimée de Jésus, Ma Mère selon l'Esprit », il raconte. Quand je me suis trouvé en sa présence pour la première fois j'ai eu l'intention percutante que c'était une femme vraie jusqu'à la racine de son être (... ) Elle marchait d'un pas rapide, léger qui donnait parfois l'impression de ne pas toucher terre (... ) Elle priait d'une façon assez sainte. Elle vivait en constante union avec le Seigneur (... ) On lui a demandé combien de temps elle pouvait rester sans penser au Seigneur. Quelques minutes a-t-elle répondu. Le miracle de l'Ostie percée Lors d'un de ses séjours à la Brardière, Yvonne-Aimée s'était retirée dans une cabane servant d'ermitage à l'occasion. « C'était le 16 septembre 1941 et vers 16h je l'ai entendu pousser des exclamations. Je suis arrivé en courant et les paroles qu'elle laissa échapper me permirent de comprendre qu'elle suivait de loin une scène de profanation d'hosties. Je la revois se redressant et disant à son ange « Va me chercher cette hostie, mon amour la réclame ».

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Sa grand-mère, chez qui elle est placée à trois ans après le décès de son père, lui lit Histoire d'une âme de Thérèse de Lisieux. Ce récit la marque à jamais et le lendemain de sa première communion, le 1 er janvier 1911, elle rédige une lettre à Jésus avec son propre sang. Dans cette prière d'abandon, elle supplie le Christ « de me faire devenir sainte, une très grande sainte, une martyre ». Le 5 juillet 1922, alors qu'elle est soignée d'une fièvre paratyphoïde à la clinique des Sœurs de la Miséricorde à Malestroit (Morbihan), Yvonne est appelée par le seigneur qui lui dit, « accepte les épreuves que je t'enverrai comme la plus grande des grâces et la plus grande faveur donnée aux âmes que j'aime. Accepte-les sans te plaindre ». « Comme si elle ne touchait pas terre » Dès lors, elle consacra sa vie à Dieu et, en 1927, elle entre au monastère des Augustines de Malestroit sous le nom de sœur Yvonne-Aimée de Jésus. En 1935, elle en devint la Mère supérieure. Vidéos: en ce moment sur Actu C'est en janvier 1927 que Paul Labutte la rencontre et ce sera le début d'une très longue amitié.

Des aides existent dont certaines peuvent être demandées que l'on soit ou non déjà retraité. lire plus Ex cultuels à la retraite Pour les retraités à faibles ressources, vivant en France, il existe une prestation légale, destinée à compenser le faible niveau de leur retraite: l'ASPA. Dans le cas des ex-cultuels retraités de la Cavimac, il existe une prestation extra-légale, l'ACR, dont les conditions d'accès et le montant sont plus avantageux que l'ASPA. lire plus