Colère À La Faculté Des Sciences Politiques &Quot;Alger 3&Quot; : Les Enseignants Décident Une Grève De 3 Jours
Victimes jeudi dernier d'une attaque violente menée par des étudiants présumés, les enseignants de la faculté des sciences politiques de l'université « Alger 3 » qui mettent en cause le recteur ont décidé d'un mouvement de grève de trois jours à partir du lundi 20 février 2017. Les enseignants de la faculté des sciences politiques et des relations internationales de l'Université « Alger 3 », ont tenu dimanche 19 février 2017, une assemblée générale afin de décider des suites à donner à l'agression dont ils ont été victimes jeudi dernier, au cours de la réunion d'installation d'un bureau du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES). Le représentant du CNES, Mohamed Rezieg, était de bonne heure ce matin à la fac. S'il est encore perplexe quant à la suite des événements, il reste par ailleurs déterminé à engager toutes les procédures nécessaires pour éclaircir cette affaire. « Nous allons nous réunir aujourd'hui pour mettre au clair certains points. Science politique alger 3.3. Nous avons réussi à identifier quelques étudiants impliqués dans l'agression, certains font partie de l'union générale des étudiants Algériens précise le Pr.
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"L'Institut d'études politique d'Alger (1949-1962)". In: Outre-mers, tome 98, n°370-371, 1er semestre 2011). Dès l'établissement de la convention entre l'Université d'Alger et l'Ecole libre des Sciences politiques créant les conditions d'existence du CEPA, une collaboration étroite est prévue entre ce dernier et l'Université d'Alger, et notamment avec l'Institut des Sciences administratives, sociales et coloniales créé en 1941 par l'Université d'Alger. La création de ce centre s'inscrit dans la volonté de Vichy de rationaliser sa politique coloniale. Dans ce contexte fut créé également par le gouvernement Laval l'Office de la recherche scientifique coloniale en 1943 (voir: C. Bonneuil et P. Petitjean, « Les chemins de la création de l'ORSTOM, du Front populaire à la Libération en passant par Vichy, 1936-1945: recherche scientifique et politique coloniale », dans Roland Waast et Patrick Petitjean (dir. ), Les Sciences hors d'Occident au XXe siècle, Paris, ORSTOM, 1996, p. Algérie : le gaz, une arme à double tranchant – Jeune Afrique. 113-161). Archives liées: Création d'un Institut de sciences administratives à Alger.
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Notes et références [ modifier | modifier le code] ↑ a et b « presentation de l'université » ( • Wikiwix • • Google • Que faire? ). 11 mai 2017 Liens externes [ modifier | modifier le code] Site officiel Portail de l'Algérie Portail d'Alger Portail des universités
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Centre d'études politiques et administratives - IEP d'Alger Article mars 2017 Créé par l'Ecole libre des sciences politiques, en partenariat avec l'Université d'Alger, le Centre d'études politiques et administratives (CEPA) à Alger a dispensé pendant 5 ans (de 1942 à 1947) des cours destinés à former des hauts fonctionnaires, des chefs d'entreprises et des fonctionnaires d'Algérie et des protectorats d'Afrique du Nord. Il est remplacé en 1949 par l'Institut d'études politiques (IEP) d'Alger qui, créé sur le modèle de l'IEP de Paris, dispense une formation en trois ans. Tenue de la 3e session des concertations politiques algéro-vietnamiennes. En août 1942, l'École libre des sciences politiques de Paris fonde, en partenariat avec l'Université d'Alger, dans le contexte de la France occupée, un Centre d'études politiques et administratives à Alger accessible aux étudiants résidants en Algérie et dans les protectorats français de Tunisie et du Maroc. Ce centre, rattaché à la Faculté de droit d'Alger, fonctionne grâce à une double subvention annuelle du Gouvernement général d'Algérie (40 000 F) et de l'Ecole libre des Sciences Politiques (20 000F), et aux montants des droits d'inscription (voir: Droz Bernard.