Que Dire Au Retour Des Pelerins De Compostelle
JERUSALEM - Alors que les environs de Jérusalem revêtent des couleurs printanières et que la météo s'améliore à grands pas, les conditions sanitaires très allégées permettent le retour des touristes et des pèlerins, à la grande joie des habitants de Terre Sainte. A compter du 1er mars 2022, l'Etat hébreu rouvrira son espace aérien aux touristes non-vaccinés de tous âges, sous condition du résultat négatif de deux tests PCR, l'un effectué avant l'embarquement, le second à l'atterrissage à l'aéroport Ben Gourion. Que dire au retour des pelerin.com. Les conditions de circulation et d'entrée dans les sites sont ensuite totalement normales puisque, à cette même date, Israël renonce également à l'application des mesures restrictives liées au passe sanitaire (tav yarok), après avoir été un des premiers pays à les adopter. En revanche, le port du masque, notamment dans les transports, reste de rigueur. Depuis quelques jours, la Vieille Ville offre à nouveau la possibilité de croiser de petits groupes de pèlerins aux écharpes colorées ou encore quelques écoliers souriants malgré la pluie, accompagnés par l'aumônier de leur lycée.
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- "Cohabitation" - Si la cause palestinienne continue à recueillir la sympathie de la population marocaine, la normalisation des relations avec Israël n'a guère soulevé de contestation massive. Pour Yousseph Israël, originaire de Tétouan (nord) et juge à la chambre hébraïque de Casablanca, "le Maroc a toujours été un exemple de cohabitation religieuse". Bien avant la normalisation, "le Maroc et Israël ont toujours entretenu des relations de aucoup d'Israéliens visitaient le royaume sans le moindre problème", abonde le rabbin Niddam. Avant le rétablissement des liens, le royaume chérifien recevait chaque année entre 50. 000 et 70. 000 touristes juifs, pour la plupart en provenance d'Israël. Avec le lancement de liaisons aériennes directes, il s'attend à en accueillir jusqu'à 200. 000. Pèlerin — Wikipédia. Gilles Berdugo, un Israélien d'origine marocaine né à Meknès, a profité du pèlerinage pour retourner pour la première fois au Maroc qu'il a quitté en 1970 à l'âge de 11 ans. "Je suis retourné dans mon quartier les yeux fermé mes souvenirs ont ressurgi, c'est comme si je n'avais jamais quitté ce pays", témoigne cet inspecteur de l'Education nationale israélienne, attablé avec sa femme et leur six enfants sous une tente caïdale où ont été dites des prières en l'honneur du roi Mohammed VI.
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Des dizaines de fidèles juifs ont participé cette semaine au pèlerinage traditionnel de la hilloula à Meknès, au Maroc, qui a repris pour la première fois depuis les années 1960 après la restauration du cimetière historique juif de la ville. C'est la première fois que des pèlerins juifs revenaient dans cette ville emblématique de la présence juive multiséculaire au Maroc depuis que le royaume a normalisé ses relations avec Israël en décembre 2020, sous l'impulsion de l'ex-président américain Donald Trump. Les fidèles, très majoritairement d'origine marocaine, sont venus mercredi et jeudi honorer leurs "tsadikims" (les saints et les rabbins célèbres) dans le cimetière délaissé pendant des décennies et fraîchement réhabilité de l'ancien "mellah" (quartier juif) de la ville impériale. Un pèlerinage encadré par un important dispositif policier. Que dire au retour des pelerins en. "Les mots me manquent pour décrire ce que je ressens. Mon retour tant attendu dans ma ville natale après des années d'absence est merveilleux", confie à l'AFP André Derhy, un Franco-Marocain de 86 ans, en arpentant les allées de Beth Haim ("Maison de la vie" en hébreu) de Meknès.
Il vaut donc mieux se préparer à l'avance.