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En plus de cet enseignement commun, les élèves de première et de terminale peuvent compléter leur parcours mathématique: La spécialité mathématiques leur donne le niveau pour s'engager dans des études supérieures à dominante économique, sociale ou scientifique. L'option « mathématiques complémentaires » proposée en terminale permet aux élèves qui ne souhaitent pas poursuivre la spécialité mathématiques de compléter leurs connaissances mathématiques pour la poursuite d'études supérieures médicales, en sciences sociales ou économiques. L'option « mathématiques expertes » est destinée aux élèves qui ont un goût affirmé pour les mathématiques, et qui visent des formations où les mathématiques occupent une place prépondérante.
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Le programme pédagogique Manuels Mathématiques Première ES-L 1 2 3 4 Généralités sur les fonctions 5 Dérivation d'une fonction 6 7 Probabilités (Variables aléatoires - Loi binomiale et échantillonnage) 8 Algorithmique et programmation
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Première ES: comment choisir son option obligatoire? En Première, il faut que votre enfant se fasse plaisir en choisissant une option qui n'alourdisse pas son travail et qui corresponde à ses centres d'intérêts et à ses désirs d'orientation. En cas de doute, ou tout simplement pour conforter son choix, il peut en parler avec ses professeurs dès la fin de la seconde. En fonction de son profil, de ses aptitudes et de son objectif professionnel, ils pourront le conseiller et lui proposer une option adaptée. Si au terme de la première les élèves souhaitent changer d'option, cela est possible, toutefois il faut savoir que cela engendrera des efforts supplémentaires pour rattraper les notions non vues en classe de première et indispensables pour le baccalauréat.
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De plus si [latex]f^{\prime}\left(x\right)[/latex] est strictement négative sur [latex]I[/latex], sauf éventuellement en quelques points, alors [latex]f[/latex] est strictement décroissante sur [latex]I[/latex]. Remarques Si [latex]f[/latex] est dérivable, les théorèmes précédents montre que l'étude des variations de [latex]f[/latex] se ramène à l'étude du signe de la dérivée. On regroupe couramment le tableau de signe de la dérivée et le tableau de variations de [latex]f[/latex] dans un même tableau à 3 lignes (voir exemple ci-dessous) Pour montrer qu'une fonction [latex]f[/latex] admet un maximum en [latex]a[/latex], on peut montrer que [latex]f[/latex] est croissante pour [latex]x < a[/latex] et décroissante pour [latex]x > a[/latex]; c'est à dire, si [latex]f[/latex] est dérivable, que [latex]f^{\prime}[/latex] est positive pour [latex]x < a[/latex] et négative pour [latex]x > a[/latex].
On a [latex]f\left(1\right)=1^{2}=1[/latex] et on a vu dans l'exemple précédent que [latex]f^{\prime}\left(1\right)=2[/latex]. L'équation cherchée est donc: [latex]y=2\left(x-1\right)+1[/latex] soit: [latex]y=2x-1[/latex] II - Fonction dérivée Si [latex]f[/latex] est définie sur un intervalle [latex]I[/latex] et si le nombre dérivé existe en chaque point de [latex]I[/latex], on dit que [latex]f[/latex] est dérivable sur [latex]I[/latex].