Commentaire D'arrêt De La 3Ème Chambre Civile De La Cour De Cassation Du 23 Septembre 2009 Relatif Au Pacte De Préférence
Commentaire d'arrêt: Commentaire d'arrêt - 1ere chambre civile du 24 septembre 2009. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 16 Octobre 2017 • Commentaire d'arrêt • 1 988 Mots (8 Pages) • 1 204 Vues Commentaire d'arrêt - 1ere chambre civile du 24 septembre 2009 Par un arrêt prononcé en date du 24 septembre 2009, la 1ere chambre civile de la Cour de cassation s'est prononcée sur la question de l'indemnisation des dommages causés par un membre indéterminé d'un groupe. En l'espèce une femme est atteinte d'une maladie tumorale imputé à la prise, par sa mère, durant sa grossesse, d'une hormone de synthèse. Commentaire d'arrêt - 1ere chambre civile du 24 septembre 2009 - Commentaire d'arrêt - thibauwl. Celle-ci et son époux, assignent les deux sociétés fabricantes de la même molécule sous deux appellations différentes, en réparation du préjudice subit. Par un arrêt rendu en date du 10 avril 2008, la cour d'appel de Versailles les a déboutés de leur demande aux motifs que le fait que les laboratoires aient tous deux mis sur le marché la molécule à l'origine du dommage ne peut fonder une action collective, ce fait n'étant pas en relation directe avec le dommage subi par la victime.
Arrêt 23 Septembre 2009 Cabernet Sauvignon
Cette clause prévoit que le prix de revente du terrain nu ne peut pas excéder son prix d'achat initial, réactualisé en fonction de la variation de l'indice INSEE du coût de la construction. L'appel à un expert sera rendu obligatoire afin d'effectuer une majoration du prix proportionnellement aux coûts de construction. Sommaire La nécessité d'une absence d'annulation du pacte de préférence accordée Les conséquences sous-jacentes en demi-teinte de la prévalence accordée au pacte Extraits [... ] A fortiori, le juge a conclu en l'espèce à une admission d'une telle durée, car la jurisprudence précise que la stipulation d'un délai n'est pas une condition de validité du pacte de préférence (Civ. 1ère 6 juin 2001 et Civ. 3e 15 janvier 2003). Arrêt 23 septembre 2009. Aucune précision n'est apportée, mais sans doute il convient classiquement de se référer au droit commun qui prohibe seulement les engagements perpétuels, soit des engagements dépourvus de délai de validité. Le droit français considère que l'engagement perpétuel est nul.
Résumé du document Il est fréquent de rencontrer lors de ventes d'objet à forte valeur, un recours par les parties en présence à des contrats préparant leur vente. Il s'agit de véritables formes contractuelles de la négociation du contrat futur de vente dont la formation est envisagée. La formule employée est celle « d'avant contrat », néanmoins cette expression bien que renseignant sur le caractère préparateur -illustrant le moment de leur intervention- trompe le justiciable puisque semble conférer une valeur inférieure à celle d'un contrat classique. Et pourtant l'arrêt soumis à notre étude est une illustration topique de cette problématique, où le juge vient affirmer le caractère de contrats à part entière des pactes de préférence –destinés à préparer un autre contrat. Par un acte notarié en date du 23 mai 2003, la commune de Saint-Pée-sur-Nivelle vend à Mme Y et M. Cass. civ. 3, 23 septembre 2009, 08-18.187. X un lot d'une superficie de 999m2 dans un lotissement communal au prix de 42 685 €. Dans le contrat de vente, figure une clause spécifique prévoyant un droit de priorité de la commune vis-à-vis des tiers pendant vingt ans en cas de revente par les acquéreurs du terrain.