Crique Stéphanoise Ou Galette De Pommes De Terre De Ma Région : Découvrez Les Recettes De Cuisine Actuelle
Pour un repas du bon! J'ai voulu inaugurer, mon nouvel accessoire sur cookingchef, le bol multipro avec les râ top top! On peut y mettre différentes râpes, pour râper, émincer, faire des frites C'est ça On le dispose sur une sortie du dessus du cookingchef Donc volià, ce soir, on a mangé stéphanois et mon homme était heureux, il a retrouvé la râpée que faisait son père... ça date pas d'hier! et la râpée à Saint-Etienne, c'est mythique! Rapée de pomme de terre stéphanoise de. En Suisse, on pourrait parler de roostis, je crois! Donc voici la recette: -1kg de pommes de terre bintje, c'est mieux! les bonnes vieilles patates s'y prêtent très bien! -2 oeufs -2 cuillères à soupe de farine -sel et poivre -1 ognon -1 bouquet de persil on mixe le persil, on débarrasse dans un grand saladier râper les pommes de terre avec une râpe ou un accessoire adéquat, dans mon cas, avec la râpe gros trous, on débarrasse aussi dans le saladier, on y ajoute les oeufs, le sel poivre, la farine On façonne des galettes et on jette dans une poêle avec un peu d'huile chaude Ca cuit tranquillement 4 à 5 mns d'un côté on retourne et on laisse cuire 3 à 4 mns pas plus super bon!
Rapée De Pomme De Terre Stéphanoise Sur
Donc, pas de foie gras ici ou de truffes ou de caviar. La région stéphanoise n'était pas riche. Je vais donc vous parler de patates pour commencer. Les râpées version polonaises (anti diététique assurée) Ne craignez rien, je reste dans le thème. Pourquoi parler de version polonaise? Parce que c'est ainsi que je l'ai découverte et c'est ainsi que de nombreux stéphanois l'ont intégré dans leur quotidien. Et malgré le titre et les clichés associés aux Polonais, il n'y a pas de vodka dans la recette originale mais libre à vous d'en ajouter. Rapée de pomme de terre stéphanoise sur. Mais attention: Nadużywanie alkoholu jest niebezpieczne dla zdrowia Réverso traduction automatique De nombreux Polonais sont arrivés au début du 20 e siècle, fuyant la misère de leur pays pour venir travailler dans les mines de charbon, y laissant au minimum leurs poumons, au plus leurs vies. Ils sont venus avec femme et enfants, ou célibataires, certains avec des recettes, d'autres non mais beaucoup avec une appétence pour la nourriture roborative. Et comme le couscous qui trône facilement sur chaque table française, cette spécialité polonaise est devenue stéphanoise sur le temps d'une génération.