Stéphanie Lemoine Journaliste
Stéphanie Lemoine est une journaliste française ( L'Express, Influences, L'Œil magazine, Le Journal des arts …) et l'auteure, aux éditions Alternatives, de In Situ, un panorama de l'art urbain de 1977 à nos jours (2005), Artivisme (2010) et Les Murs révoltés (2015). Critique d'art, elle est également intervenante à l'université de Paris-Panthéon-Sorbonne ou elle enseigne l'histoire de l'art urbain. En 2012, elle avait publié chez Gallimard, dans la collection « Découvertes », L'art urbain – Du graffiti au street art, un panorama abondamment illustré qui ressort avec une mise à jour du dernier chapitre, couvrant la période de la fin des années 1990 à nos jours, et des annexes (bibliographie, sites Internet, filmographie). Stéphanie lemoine journaliste francais. Présentation par l'éditeur: « Vandalisme pour les uns, expression digne de figurer dans les musées pour les autres, l'art urbain a toujours été marqué par l'ambivalence. Né dans les années 1960 de part et d'autre de l'Atlantique, il hérite aussi bien de la publicité que des avant-gardes politiques.
Stéphanie Lemoine Journaliste Francais
Biographie Stephanie Lemoine, journaliste et specialiste de l'art urbain, a publie de nombreux ouvrages, dont _In situ. Un panorama de l 'art urbain de 1975 a nos jours_ (avec Julien Terral, Alternatives, 2005), _Artivisme. Art, action politique et r esistance culturelle_ (avec Samira Ouardi, Alternatives, 2010) et _L 'Art urbain. Du graffiti au street art_ (Decouvertes Gallimard, 2012).
Parmi ces lieux, en voici six qui illustrent combien le réflexe de peindre sur un mur frontalier traverse les époques et les pays. » DOSSIER - Les grands murs, témoins silencieux des soubresauts de l'Histoire • Le Mur de Berlin, pionnier des frontières graffées Ce pan du mur est tellement artistique qu'il a fini par prendre le nom d'un musée: l'East Side Gallery. Littéralement, la «galerie du côté est», qui correspond, aujourd'hui, à la plus longue portion encore debout. L'histoire des oeuvres sur le mur de Berlin se fait en deux époques. De 1961 à 1989, les tags se mutliplient sur la face ouest du mur, la seule accessible à condition de déjouer la surveillance. On retrouve là beaucoup de slogans de paix ou de colère, transformant le béton en défouloir. À Berlin-Ouest, le 29 avril 1984. JOEL ROBINE/AFP Le 29 avril 1984, à un autre endroit de la ville. Parmi les mots lisibles: BRD, la RFA en allemand, et un emblème communiste suivi d'un «non merci» (en noir à gauche de l'image). "L'Art Clandestin : Anonymat et invisibilité du graffiti aux arts numériques" à paraître aux Éditions Alternatives - Artistikrezo. JOEL ROBINE/AFP Au fil du temps, on y trouve des lettrages plus travaillés, inspirés des graffeurs américains du début des années 80, ainsi que quelques grands noms de ce qui deviendra le «street art».