Les Produits De Première Nécessité Au Maroc
Au Maroc, les fins du mois deviennent de plus en plus compliquées pour de nombreux citoyens. En effet, les produits de première nécessité connaissent une hausse des prix, le carburant hors de prix et une inflation menaçante. Plusieurs centaines de personnes ont manifesté contre le coût élevé des produits de base dans plusieurs villes marocaines dimanche 20 février. Mais le gouvernement marocain affirme que cette hausse est imposée par le contexte international. Et qu'il ait un gros effort pour maintenir la stabilité des prix de première nécessité. D'après les médias locaux, les prix des fruits et légumes ont légèrement augmenté, ceux de plusieurs produits de première nécessité ont connu des hausses significatives durant les deux derniers mois. Il s'agit notamment des semoules. Celui du couscous, par exemple, est passé de 11 dirhams, le kilo à 14 Dh. La farine a vu son prix augmenter de 3 dirhams le kilo, soit quinze Dh le paquet de cinq kilogrammes. Même les légumineuses n'ont pas été épargnées par la flambée des prix.
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La cotisation minimale est le minimum d'impôt que toute entreprise exigible de l'impôt sur les société (IS) devrait payer à la fin de tout exercice et seulement les sociétés étrangères qui ont choisi l'imposition forfaitaire sont exonérées de cette cotisation. La cotisation minimale est exigible à toute société soumise à l'IS mais aussi aux personnes physiques imposés à l'impôt sur le revenu. Ainsi, et selon l'article 144 du Code Général des Impôts (CGI), la valeur de l'impôt ne peut en aucun cas être en deçà de la cotisation minimale pour les entreprises et sociétés y soumises indépendamment de résultat fiscal annuel de la dite entreprise. Le calcul de la cotisation minimale en se basant sur le chiffre d'affaires (hors TVA), les produits accessoires (hors TVA), les produits financiers en excluant les produits de participation, et les subventions et dons reçus. Notons que certains produits exceptionnels sont pris en compte comme les produits de cession des éléments d'actif et les indemnité d'assurance.
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Au dénominateur = l'ensemble des produits d'exploitation (exonérations incluses). Pour les activités exercées qui sont soumises à différents taux de cotisation minimale, cette dernière est égale à la somme des cotisations partielles obtenues par application du taux qui correspond à chaque catégorie d'activité imposable. Versement de la cotisation minimale Le montant de la cotisation minimale au titre de l'IS ou de l'IR doit être versé au Trésor, avant le 1er février de chaque année, en se basant sur les éléments de l'exercice précédent. Cotisation Minimale (CM) = Base x Taux La base de la cotisation minimale est égale à la somme des produits suivants: CA net HT Produits accessoires HT Produits financiers (abattement sur les produits de participation) Subventions et dons reçus
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© Copyright: DR 16 septembre 2021 - 16h40 - Economie - Par: A. T Riz, thé, huile de table, lait, café et pain à base de blé dur… la liste des produits dont les prix sont en hausse est très longue. Une situation qui serait imputable à l'évolution des cours mondiaux selon les spécialistes. Toutefois, des voix s'élèvent pour dénoncer les marges bénéficiaires des commerçants qui profitent de la situation pour faire grimper les prix. Les ménages marocains continuent de faire face à une explosion des prix des produits de première nécessité. C'est ce que révèle Les Inspirations ÉCO, soulignant que les tarifs se sont encore envolés ces derniers mois. Une situation qui pourrait accentuer la grogne sociale, estime le quotidien dans un contexte marqué par les effets de la crise sanitaire et l'attente de la formation du prochain gouvernement. Dénonçant la mauvaise foi de certains commerçants, les fédérations de consommateurs évoquent le timing de l'application de la loi de l'offre et la demande, pointant « l'importance des marges bénéficiaires de ces derniers, avec des ententes probables, préjudiciables à une concurrence loyale ».
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La cotisation minimale n'est exigible qu'après 36 mois qui suivent l'exploitation de l'entreprise. Si l'entreprise a cessé son activité, alors qu'elle a déjà bénéficié de l'exonération, elle ne l'aura plus! La cotisation minimale acquittée au titre des revenus professionnels est à imputer sur le montant de l'IR dû au titre de l'exercice correspondant. En revanche, si la somme de l'impôt sur le revenu lié au revenu professionnel, par rapport au revenu global imposable du contribuable, est en deçà de montant de la cotisation minimale, la différence reste acquise au Trésor. Calcul de la cotisation minimale pour les activités traitées en différente manière au regard de l'IS ou de l'IR En présence d'activités imposables et d'activités bénéficiant de mesures de réductions fiscales, le calcul de la cotisation minimale doit être fait sur la totalité des éléments constitutifs de la base de la cotisation, comme préalablement définie, et le montant brut de la cotisation minimale est réduit selon la fraction suivante (prorata applicable à la CM brute): Au numérateur = Produits totalement imposables + la fraction imposable des produits partiellement exonérés.
Déjà, le gouvernement fait des efforts louables pour financer les initiatives agricoles. Seulement, il est impérieux de nourrir plus d'ambition avec cette Vallée de l'Ouémé vantée mais jusqu'ici sous-exploitée. C'aurait été ailleurs, que l'Etat ne se gênerait pas pour mobiliser et intéresser par tous les moyens, les bras valides à aller à la terre au lieu de s'adonner au Zémidjan et à la vente illégale de produits pétroliers aux abords des voies. Dans le contexte béninois actuel, il suffit d'une volonté politique pour y arriver. Sinon, ne serait-il pas judicieux, devant le constat de cette cherté de produits locaux, que les gouvernants s'investissent, en plus de l'accompagnement des privés, dans la création des fermes étatiques avec des employés rémunérés? L'idée peut paraître saugrenue mais, il ne serait pas si mauvais de revisiter par exemple, le projet Manioc pensé par le Général Mathieu Kérékou. Avec le tongolo de gari qui actuellement est à 500 F sans oublier le maïs qui est à 300 F, ceux qui, à l'époque, avaient pouffé de rire réfléchiront, sans doute, par deux fois.