Comme Un Roman | Daniel Pennac | Julie Lit Au Lit
Daniel Pennac, Comme un roman, 1992 Daniel Pennac émet ici une critique positive de la lecture tout en parlant de paradoxe. Et à raison, puisque cet homme est très connu dans le monde des écrivains: auteur de romans pour enfants, pour adultes, d'essais, il très polyvalent. Il démontre avec son essai Comme un roman duquel est tirée la citation, que la lecture a plusieurs façons d'être appréhendée, et qu'il…. Comme un roman 5899 mots | 24 pages Comme un roman est un essai de Daniel Pennac paru en 1992 aux éditions Gallimard1. Cet essai se veut à la fois un hymne et une désacralisation de la lecture, ainsi qu'une invitation à réfléchir à la manière pédagogique de l'appréhender. Il constitue ainsi une critique des techniques, exigences et recommandations de l'éducation nationale. résumé Comme un roman est un essai de Daniel Pennac paru en 1992 aux éditions Gallimard. Cet essai se veut à la fois un hymne et une désacralisation de la lecture…. isabelle 2176 mots | 9 pages Roussin © 19 février 2008 orthomal « On ne force pas une curiosité, on l'éveille.
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Tout cela est très connotée: la lecture est faite pour les intellectuels, pas pour moi. Je n'ai jamais lu cet auteur mais je sais que je ne pourrais pas le comprendre… D'où les 10 droits qui sont bien des droits et non des commandements à ne pas faire quelque chose. Terminons ceci par une citation: « Mais gardons-nous de flanquer ce théorème du corollaire selon lequel tout individu qui ne lit pas serait à considérer à priori comme une brute potentielle ou un crétin rédhibitoire. Faute de quoi nous ferons passer la lecture pour une obligation-morale, et c'est le début d'une escalade qui nous mènera bientôt à juger, par exemple, de la moralité des livres eux-mêmes […] » M. L. (source image: Decitre. )
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C'est à pareille confusion que Malraux s'en prenait lorsqu'il martelait dans ses discours la distinction du savoir et de l'émotion: «Sans doute celui-ci [l'homme de culture] est-il un homme de livres, d'? uvres d'art, un homme lié à des témoignages particuliers du passé. Mais peu importerait qu'il fût l'homme qui connaisse ces témoignages s'il n'était d'abord l'homme qui les aime. » Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Le plus admirable, c'est que Daniel Pennac, lui l'écrivain, le professeur de lettres, le lecteur insatiable de romans, n'en veut aucunement à cette jeunesse fâchée avec le livre. Inquiet de voir la désaffection à l'égard des grands écrivains se généraliser, il ne cède pas pour autant au pessimisme. Bien au contraire! Pour en avoir fait, comme le poète Georges Perros, l'expérience, il sait qu'il suffirait de mettre en place une pédagogie fondée sur la contagion de l'enthousiasme. En un mot, de tout reprendre dès le début. Fichez-leur la paix avec vos fiches infernales!
Daniel Pennac le dit lui-même ensuite que « l'aveu de cette vérité [qui] va radicalement à l'encontre du dogme », soit la lecture exigée. Daniel Pennac rappelle pourtant que la plupart des lectures qui ont façonnés l'Homme n'ont « pas été faites pour, mais contre ». On distingue à nouveau l'opposition avec le rapprochement des idées opposées « pour » et « contre » qui sont de plus mise en italique pour produire une insistance sur les deux mots. Daniel Pennac explique ensuite la lecture selon le dogme. Avec le parallélisme « Comme on se retranche, comme on refuse, ou comme on s'oppose », Daniel Pennac appuie sur la conception fuyarde de la plupart des lectures. Cependant il y apporte une nuance en confrontant à nouveau ces deux idées contraires. Non content de les opposer simplement, il écrit deux parallélismes pour insister sur les deux concepts opposés: On voit donc le parallélisme avec la répétition du mot « si » qui insiste sur la fuite littéraire et l'oppose avec le parallélisme « des fuyards occupés à nous construire, des évadés en train de naître ».