Poele Qui Ne Tire Pas
En papillonnant d'une reprise vidéo à l'autre, j'ai aussi vu et revu LE BUT, dont il n'y a rien à dire à moins de vouloir absolument recourir aux métaphores les plus éculées du répertoire, comme, par exemple: après avoir traversé toute la patinoire, MacKinnon a servi au défenseur un espresso bien serré. Poele qui ne tire pas mean. Le langage a ses limites, après tout. Même si je n'avais encore regardé aucun match au complet, il ne m'avait pas échappé que tant le gardien de l'Avalanche, Darcy Kuemper, que son futur vis-à-vis de la finale de l'Ouest, Mike Smith des Oilers, étaient de ces cerbères qui vont échapper une rondelle à un moment donné, se montrer faibles sur un tir, accorder un but facile, et on voudrait bien nous y voir, mais là n'est pas la question. Toujours est-il que le déchaînement offensif de mardi soir dernier au Colorado, avec ses deux portiers tombés au combat (Kuemper touché au haut du corps, Smith atteint à l'orgueil), n'est pas très rassurant pour ceux qui, comme moi, rêvent d'une vengeance par procuration contre le Lightning de Tampa Bay.
Poele Qui Ne Tire Pas Un
Soudain tiré de ma torpeur, je visionne les meilleurs moments du match de la veille sur mon téléphone en demandant: « Heye! Comment ça se fait qu'on n'est pas abonnés à TVA Sports? » Jusque-là, j'avais gardé un œil intéressé mais distant sur les séries de la LNH, la « vraie saison » comme certains l'appellent, le « détail » de nos aïeux. Ce moment de l'année où, comme disait mon défunt papa, « on sépare les hommes des enfants ». J'avais même choisi mon équipe: l'Avalanche du Colorado. À cause de son d. g., Joe Sakic. J'ai toujours eu un faible pour le gars de Burnaby. Poele qui ne tire pas sorcier. Ça remonte à l'époque où, alors qu'il venait de mettre la main sur sa deuxième coupe Stanley, en 2001 contre des Devils toujours aussi soporifiques, au lieu de brandir le trophée à bout de bras comme le premier des tatas, il l'a sobrement refilé à un Raymond Bourque au bord de la retraite avec sa barbe blanche pour lui permettre de profiter de son moment de gloire. C'était le geste d'un vrai capitaine. Et les trois points, dont deux buts, marqués en finale olympique l'hiver suivant, quand on est allés planter les Américains dans leurs terres à Salt Lake City, n'ont pas nui, ni le fait que le même Sakic a sauté dans un avion un jour de match, début mai, pour venir rendre hommage à notre Flower national.
Merci également à la SAQ, partenaire majeur, et au Réseau Rythme FM pour son implication à titre de partenaire média. Nous remercions également le Secrétariat à la Capitale-Nationale du Québec, les neuf microbrasseries du Collectif La Blonde d'Abraham, la Commission des champs de bataille nationaux, la Caisse de dépôt et placement du Québec, la CSQ, la CSN, le Fairmont Le Château Frontenac, partenaire hôtelier et Pepsi Alex-Coulombe. Pour la première fois, le Grand spectacle de la Fête nationale sur les plaines d'Abraham obtiendra la certification carboneutre. La carboneutralité de la Fête nationale est rendue possible grâce à HydroQuébec. Nous tenons à remercier également Écocup, la Caisse de dépôt et placement du Québec, la CSQ, la CSN et le Réseau de transport de la Capitale (RTC) qui rendent notre virage vert possible. La Côte d'Ivoire torpille la Zambie d'entrée | Africa Foot United. Un merci tout spécial à Télé-Québec, fidèle diffuseur du Grand spectacle, qui présentera le spectacle sur ses ondes, en différé dès 21 h 30 le 23 juin, et en rediffusion le 25 juin à 21 h 30.