Archives Sœurs Du Bon Pasteur / Homélies De Dom Armand Veilleux (Autres) - Www.Scourmont.Be
Appelées en Afrique dès 1935, elles collaborent notamment au Lesotho, en Afrique du Sud et au Rwanda, s'activant dans les domaines de l'enseignement, de la santé, de la relève vocationnelle et de l'agriculture. L'œuvre du Bon-Pasteur s'implante également en Haïti en 1969 et au Brésil en 1973. Bien que la seconde moitié du XXe siècle ait été témoin de changements accélérés dans les institutions religieuses, les Sœurs du Bon-Pasteur se sont engagées sur de nouvelles voies, exprimant toujours ce charisme d'amour, de bonté et de miséricorde. Avec des œuvres sous l'égide de la congrégation, en partenariat avec des communautés religieuses ou d'autres organismes, les religieuses s'attachent à offrir leur aide et leur soutien à la femme. Ainsi, depuis 1850, les Sœurs du Bon-Pasteur perpétuent l'œuvre de leurs origines, répondant aux besoins de la société et se dévouant aux prisonnières, aux orphelins, aux mères célibataires et à leurs enfants, ainsi qu'aux femmes et adolescentes en difficulté.
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Contraintes de se séparer de leur enfant, elles accouchaient trop souvent dans des conditions difficiles, ne recevant que peu ou pas de soins pour elles et leurs nouveau-nés. Des établissements tels que l'Hospice de la Miséricorde apparaissent ainsi au XIXe siècle comme un milieu accueillant pour les mères célibataires, où elles peuvent recevoir soutien et compassion. Guidées vers ce service, les mères célibataires de tous milieux étaient admises auprès des Sœurs du Bon-Pasteur et ce, peu importe le stade de leur grossesse. Aussi, entre 1947 et 1952, à la demande de l'Assistance maternelle de Québec et de l'Université Laval et en raison du taux élevé de mortalité chez les mères de familles indigentes, plus de 520 femmes mariées bénéficieront des services de l'Hôpital de la Miséricorde. Ainsi, de son ouverture en 1874 jusqu'à sa fermeture en 1972, 36 780 accouchements ont eu lieu à l'Hôpital. Pour les religieuses, il importait que les femmes puissent bénéficier d'un climat calme, favorisant le repos du corps et de l'esprit.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter Reno* a toujours un trou dans le genou gauche. Une marque indélébile de son passage au foyer du Bon Pasteur à Loos, dans le Nord, de 1960 à 1964. Un jour, alors qu'elle refusait de laver à nouveau le sol qu'elle venait d'astiquer, une sœur l'a poussée violemment, pour la punir, dans des escaliers en brique. « J'ai atterri les mains et les genoux en sang et n'ai reçu aucun soin. Je me suis soignée avec un chiffon, se souvient-elle. Le lendemain, j'avais des cloques pleines de pus. » La septuagénaire, dépressive chronique, est encore marquée au fer rouge par ce placement traumatisant, à l'âge de 13 ans. Newsletters Découvrez les newsletters de Mediapart Recevez directement l'info de votre choix: Quotidienne, Hebdo, Alerte, À l'air libre, Écologie, Enquête... Je découvre Aujourd'hui sur Mediapart Violences sexistes — Enquête Évasion fiscale par Filippo Ortona (Disclose) Voir la Une du Journal
Quand nous refusons cette miséricorde envers les autres, nous péchons contre Dieu; c'est un affront à celui qui a livré son Corps et versé son sang pour nous et pour la multitude; nous oublions que nous sommes tous des pécheurs et que nous avons tous besoin d'être réconciliés avec Dieu. Nous devons tous retrouver le sens profond du sacrement de la réconciliation. Ce que nous confessons avant tout c'est l'amour de Dieu pour nous. Avec lui, nous pouvons repartir à nouveau. Homélie du 4ème dimanche de carême année c et. Il nous restitue la dignité de ses enfants; il nous invite à reprendre la route sur le chemin qui nous conduit au Père. En ce temps du Carême qui nous sépare encore de Pâques, nous sommes invités à intensifier ce chemin de conversion. Laissons-nous toucher par ce regard d'amour du Père pour nous tous. Le temps du Carême nous est donné pour revenir à lui de tout notre cœur en rejetant toute compromission avec le péché. La Vierge Marie est toujours là pour nous accompagner sur ce chemin de conversion. Comme aux noces de Cana, elle ne cesse de nous redire: « Faites tout ce qu'il vous dira.
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Nous sommes tous aimés de Dieu; il nous appartient de le dire et de le redire à ceux qui ne le savent pas. Mais dans l'Évangile de ce jour, il y a un problème: le fils aîné rejette son frère au lieu de l'accueillir; il se considère comme un serviteur fidèle en toutes choses; il ne comprend rien à l'amour de son père; et le pire, c'est qu'il ne veut pas comprendre; il finit par se retrouver hors de la maison de son père où son frère fait la fête. C'est désormais lui qui devient le fils perdu. Pour qu'il puisse entrer dans la maison, il faudra que lui aussi se reconnaisse pécheur. Finalement, son père aura bien plus de mal avec lui. Homélie du 4ème dimanche de carême année complète. Dans cette parabole, on peut également entrevoir un troisième fils: c'est Jésus lui-même. Il est venu chercher et sauver ceux qui étaient perdus. C'est lui, Jésus, qui a préparé le banquet pour « la grande fête du pardon ». Il est « le Chemin, la Vérité et la Vie »; c'est par lui que nous devons passer pour aller au Père. Mais rien ne sera possible si nous ne cherchons pas à devenir « miséricordieux comme le Père ».
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Mais surtout par l'attitude fondamentale qui est celle de Dieu, de ne condamner personne. Prolonger la mission de Jésus, c'est à notre tour vouloir que tous les hommes soient sauvés et ne juger personne. Qui juge son frère fait le contraire de l'action de Dieu, il se met alors en dehors du monde de Dieu « qui a envoyé son fils non pour juger mais pour sauver. » (Cf. Jn 4, 17. ) Serons-nous, frères et sœurs, de ceux qui acceptent de se convertir, d'aimer le monde et d'aimer leurs frères en désirant leur salut. Serons-nous de ceux qui viendront à la lumière pour laisser la clarté de l'Évangile, l'aurore de la Résurrection venir éclairer tous les replis de notre être. Homélie du 4ème dimanche de carême année c 2019. Il s'agit de laisser la Bonne Nouvelle venir évangéliser en nous tout ce qui doit encore l'être. Il s'agit de venir à la lumière pour faire la vérité pour que l'œuvre de Dieu s'accomplisse en nous. Rendons grâce à Nicodème d'être venu, de nuit, rencontrer le Seigneur Jésus, Parce qu'alors à travers la réponse que lui fait Jésus nous recevons l'enseignement de ce jour: approfondir le sens de notre baptême, entendre l'affirmation de l'amour immense de Dieu pour le monde, révélation du salut par la Croix, par le mystère Pascal, mystère de mort et de résurrection.
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Et il revient en arrière, plein d'amertume de l'échec subi. Et alors éclate la merveille, un des plus beaux passages de la bible, la révélation du vrai Dieu. « Comme il était encore loin, son père l'aperçut et fut pris aux entrailles: il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit: « Père, j'ai péché, je ne mérite plus d'être appelé ton fils… ». Mais le père dit aux serviteurs: « Vite, apportez la première robe, habillez-le; mettez-lui un anneau au doigt, des sandales aux pieds. Amenez le veau gras, tuez-le, mangeons, festoyons car mon fils que voici était mort et il est revenu à la vie, il était perdu et il est retrouvé ». Quelle révélation du vrai Dieu! Non un tout puissant courroucé, qui exige des prosternements et prépare un châtiment. Non même un Dieu qui a pitié. 2ème Dimanche de l’Avent — Année C – Sanctuaire Marial National. Mais un Père qui aime et qui est pris aux entrailles (on comprend pourquoi le récit ne parle pas de mère). D'où sa hâte: insupportable de voir son fils en haillons! Chaque jour il scrutait l'horizon: tout de suite il a reconnu la petite silhouette.
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4ème dimanche de carême – Année C – 27 mars 2022 – Évangile de Luc 15 Par Fr Raphael Devillers, dominicain Évangile de Luc 15 Textes Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi? Contrairement à son maître Jean-Baptiste, Jésus d'emblée s'est mis à circuler dans les villes et villages de Galilée; prophète pauvre, il dépendait de la générosité des habitants. Luc le montre ainsi prêt à entrer chez un centurion romain, mangeant avec des pécheurs, invité chez des pharisiens. Ceux-ci étaient très scandalisés par sa joyeuse commensalité avec des gens que la Loi interdisait de fréquenter: n'était-ce pas paraître approuver leur conduite? Homélie 4ème dimanche Carême – année C. Les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l'écouter. Les pharisiens récriminaient contre lui: « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs et il mange avec eux!? ». Alors Jésus leur dit cette parabole: … » En fait Jésus va raconter « les trois paraboles de la miséricorde »: celle du berger qui remarquant qu'une brebis s'est égarée, déploie tous ses efforts pour la retrouver, et plein de joie, invite ses amis pour un joyeux festin; celle de la femme qui, affolée, cherche sa drachme perdue, fouille partout, la retrouve, organise un joyeux festin; et enfin la troisième, la plus célèbre, dénommée souvent « du fils prodigue », mais qui est plus justement la parabole du Père prodigue, la seule lue aujourd'hui.
Quand le Seigneur ramena les captifs à Sion, nous étions comme en rêve! Alors notre bouche était pleine de rires, nous poussions des cris de joie. Alors on disait parmi les nations: « Quelles merveilles fait pour eux le Seigneur! Homélie du dimanche 03 avril 2022_5ème dimanche de Carême, Année Liturgique C – Diocèse de San Pedro. » Quelles merveilles le Seigneur fit pour nous: Ramène, Seigneur, nos captifs, comme les torrents au désert. Qui sème dans les larmes moissonne dans la joie. Il s'en va, il s'en va en pleurant, il jette la semence; il s'en vient, il s'en vient dans la joie, il rapporte les gerbes. DEUXIEME LECTURE (Ph 3, 8-14) Frères, tous les avantages que j'avais autrefois, je les considère comme une perte à cause de ce bien qui dépasse tout: la connaissance du Christ Jésus, mon Seigneur. À cause de lui, j'ai tout perdu; je considère tout comme des ordures, afin de gagner un seul avantage, le Christ, et, en lui, d'être reconnu juste, non pas de la justice venant de la loi de Moïse mais de celle qui vient de la foi au Christ, la justice venant de Dieu, qui est fondée sur la foi.