L'Expiation - Victor Hugo - Vos PoÈMes - PoÉSie FranÇAise - Tous Les PoÈMes - Tous Les PoÈTes
Dans les nuits d'automne, errant par la ville, Je regarde au ciel avec mon désir, Car si, dans le temps qu'une étoile file, On forme un souhait, il doit s'accomplir. Enfant, mes souhaits sont toujours les mêmes: Quand un astre tombe, alors, plein d'émoi, Je fais de grands voeux afin que tu m'aimes Et qu'en ton exil tu penses à moi. A cette chimère, hélas! je veux croire, N'ayant que cela pour me consoler. Une étoile de plus dans le ciel poème le. Mais voici l'hiver, la nuit devient noire, Et je ne vois plus d'étoiles filer. François Coppée, L'Exilée (1877)
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Miguel 14/1/2016 Beaucoup Cette métaphore de la volupté a quelque chose de rafraîchissant; on y sent toute la fougue de la jeunesse qu'elle évoque; une texte à la fois coloré et parfumé, et dont le goût acidulé réveille l'esprit et les sens. Une petite pépite de poésie, à mon avis, et qui cependant ne semble pas se prendre au sérieux. Miguel luciole J'avais soif de poésie, je suis désaltérée. J'ai lu le "baise-moi" non pas à la manière de V. Despentes mais plutôt à celle de Louise Labé, ce qui - à mon avis - est plus dans le ton du poème. Robot Un libre comme je les apprécie. Arielle : Étreinte-agrumes (Poésie contemporaine) - Oniris. Ici malgré les agrumes une poésie douce qui coule sans artifice, seul l'agencement des mots et des vers 6 /6/12 donne ce ton et cette émotion encore plus grande quand on dit ce très beau poème. Une recette sensuelle aux agrumes. Est-ce la panacée pour retrouver le " goût du printemps "? Il n'y a plus qu'à tester. " aimons-nous mandarine et gingembre poivré " Pouet Bien ↑ J'ai bien aimé pour ma part. Rafraîchissant.
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Sauve qui peut! - affront! horreur! Une étoile de plus dans le ciel poème de. - toutes les bouches Criaient; à travers champs, fous, éperdus, farouches, Comme si quelque souffle avait passé sur eux. Parmi les lourds caissons et les fourgons poudreux, Roulant dans les fossés, se cachant dans les seigles, Jetant shakos, manteaux, fusils, jetant les aigles, Sous les sabres prussiens, ces vétérans, ô deuil! Tremblaient, hurlaient, pleuraient, couraient! - En un clin d'œil, Comme s'envole au vent une paille enflammée, S'évanouit ce bruit qui fut la grande armée, Et cette plaine, hélas, où l'on rêve aujourd'hui, Vit fuir ceux devant qui l'univers avait fui! Quarante ans sont passés, et ce coin de la terre, Waterloo, ce plateau funèbre et solitaire, Ce champ sinistre où Dieu mêla tant de néants, Tremble encor d'avoir vu la fuite des géants! Napoléon les vit s'écouler comme un fleuve; Hommes, chevaux, tambours, drapeaux; - et dans l'épreuve Sentant confusément revenir son remords, Levant les mains au ciel, il dit: « Mes soldats morts, Moi vaincu!
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Il s' agissait pour moi du sort de l' univers: Je voulais en finir avec les dieux pervers. Ton règne allait m' ouvrir cette ère pacifique Que mon cœur transporté saluait de ses vœux. En son cours éthéré le soleil magnifique N ' aurait plus éclairé que des êtres heureux. La Terreur s' enfuyait en écartant les ombres Qui voilaient ton sourire ineffable et clément, Et le réseau d' airain des Nécessités sombres Se brisait de lui-même aux pieds d'un maître aimant. Tout était joie, amour, essor, efflorescence; Lui-même Dieu n' était que le rayonnement De la toute-bonté dans la toute-puissance. O mes désirs trompés! O songe évanoui! Icetea & Fluminis poèmes :: Triste - Un ange dans le ciel écrit par mourir. Des splendeurs d'un tel rêve, encor l'œil ébloui, Me retrouver devant l' iniquité céleste. Devant un Dieu jaloux qui frappe et qui déteste, Et dans mon désespoir me dire avec horreur: « Celui qui pouvait tout a voulu la douleur! » Mais ne t' abuse point! Sur ce roc solitaire Tu ne me verras pas succomber en entier. Un esprit de révolte a transformé la terre, Et j'ai dès aujourd 'hui choisi mon héritier.
Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre: C'était un rêve errant dans la brume, un mystère, Une procession d'ombres sous le ciel noir. La solitude vaste, épouvantable à voir, Partout apparaissait, muette vengeresse. Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse Pour cette immense armée un immense linceul. Et chacun se sentant mourir, on était seul. - Sortira-t-on jamais de ce funeste empire? Deux ennemis! le czar, le nord. Le nord est pire. On jetait les canons pour brûler les affûts. Qui se couchait, mourait. Groupe morne et confus, Ils fuyaient; le désert dévorait le cortège. On pouvait, à des plis qui soulevaient la neige, Voir que des régiments s'étaient endormis là. Ô chutes d'Annibal! Etoiles filantes, poème de François Coppée - poetica.fr. lendemains d'Attila! Fuyards, blessés, mourants, caissons, brancards, civières, On s'écrasait aux ponts pour passer les rivières, On s'endormait dix mille, on se réveillait cent. Ney, que suivait naguère une armée, à présent S'évadait, disputant sa montre à trois cosaques. Toutes les nuits, qui vive!
La poétesse entend ici revivifier sa relation au goût. Aussi fait-elle surgir l'amer par l'intermédiaire d'une épice: le gingembre, poivré, dont les vertus médicinales sont par ailleurs reconnues. Abondé par le champ lexical du fruit à même d'être pressé, le monde gustatif s'ouvre largement à l'acide et au frais ("picote", "acidulée", "givré"). La vitamine est gage d'énergie, de revitalisation soudaine du corps (rime: "pamplemousse" et "secousse", jeu antithétique: "hiver", "printemps"). La communion avec le fruit se fait donc on ne peut plus... pressante... avec le déploiement des impératifs au coeur même du poème (invitation au partage sensuel: "Déroulons", "Caresse-moi", "baise-moi", recours à de verbes pronominaux à sens réciproque: "aimons-nous", "offrons-nous"). Merci pour ce partage! Une étoile de plus dans le ciel poème et pensée. troupi Bonjour Arielle. C'est en dégustant une mandarine bien juteuse et sucrée que je prends le temps de laisser quelques mots sous ton texte qui n'en a pourtant pas besoin vu le nombre de commentaires qu'il a reçus.