Trait Poitevin Mulassier (Cheval) - Classequine / Monet Pont Japonais
Histoire du cheval de trait mulassier poitevin L'origine du cheval de Trait Mulassier Poitevin remonte au XVIe siècle. En 1959, le Roi de France, Henri IV, fait parvenir des Pays Bas des ingénieurs dans le but de procéder à l'assainissement des marais des régions poitevine et vendéenne. A l'époque, des chevaux autochtones vivaient en liberté dans ces zones marécageuses. En venant en France, les ingénieurs hollandais avaient amenés pour leurs travaux des chevaux Frisons et Brabançons. Ces chevaux furent croisés avec quelques juments autochtones. Une sélection accrue permit de fixer définitivement une race, le cheval de Trait Poitevin. Le Trait Poitevin Mulassier a pendant longtemps connu un grand succès grâce à sa production de mules poitevines Si cette race française porte la qualification de Mulassière, c'est en raison de son utilisation pour la conception de la mule Poitevine. Croisés avec des étalons Baudets du Poitou, les juments Trait Poitevines produisent des mules et des mulets réputés dans le monde entier pour leurs merveilleuses attitudes au bât et à l'attelage.
Le Trait Poitevin Film
Fortement utilisé dans l'industrie mulassière, le trait Poitevin est devenu un cheval très menacé d'extinction de nos jours. C'est un cheval de trait qui est très réputé pour sa capacité d'attelage, de traction et de monte. Tant de choses sont à découvrir sur ce cheval. Que faut-il alors savoir sur le trait Poitevin mulassier? Les origines et historique du trait Poitevin mulassier Originaire des marais poitevins, Poitou en France, c'est de cette région que le trait Poitevin mulassier tient le nom de sa race. En effet, ce cheval n'a jamais été sélectionné pour répondre aux activités agricoles, ni bouchères. Le trait Poitevin mulassier avait été sélectionné pour sa bonne aptitude à produire des mules, encore appelée production mulassière, d'où le nom entier: Poitevin Mulassier. Les mules sont obtenues après le croisement entre l'âne et le cheval. C'est donc avant le 18e siècle que le trait Poitevin Mulassier a été créé après plusieurs croisements des chevaux autochtones des marais du Poitou, les chevaux Traits Belges et les Frisons lourds.
Mais qu'elle ne fut pas ma surprise de le revoir quelques années après, évolué, changé. Et j'ai fini par succomber à ce beau canon de cheval, gentil comme pas deux et avec ce petit quelque chose qui fait la différence. Sans oublier son côté très poney canaille. Et oui on a beau peser pas loin d'une tonne ça ne vous empêche pas de garder votre côté poney licorne ^_^ Ercule, le trait poitevin C'était aussi l'occasion de faire revenir Laura, ma toute première cavalière à poser pour moi avec feu Baltazar des Picanais. L'occasion pour elle de me présenter son nouveau pensionnaire qui se remet doucement au travail: Ercule. Ce joli Poitevin a testé sa première séance photo et pas la plus simple. Mais il s'est comporté comme un chef. Un joli gris à suivre de près!
Alors, pourquoi Claude Monet bouda-t-il cette couleur si chargée de symboles aux yeux des nippons? Sûrement parce que le rouge ne se mariait pas avec son jardin qu'il brossa avec l'oeil du peintre. Et, s'il s'inspira des estampes japonaises, tant dans son oeuvre picturale que dans son travail horticole, jamais il ne copia….
Monet Pont Japonais À Lyon
Observer chaque détail, chaque relief, chaque nuance de chaque plante, de chaque fleur. Admirer les reflets que le ciel projette dans l'eau, savourer les fragrances qui se distillent dans les allées… Passer un moment dans l'Eure, à Giverny, fief du peintre Claude Monet (1840-1926), c'est pénétrer dans un monde où l'art de la botanique et celui de la peinture se conjuguent avec magie. Impressionnant. ©siete_vidas/iStock - ©TriggerPhoto/iStock - ©rusm/iStock - ©AGaeta/iStock Il va créer un jardin de fleurs? Pourquoi? En cette année 1883, les 279 bonnes âmes de la petite commune normande de Giverny sont effarées. Le peintre qui loue « Le Pressoir », une maison de crépi rose aux volets gris, a l'intention de planter des fleurs. Or, en cette fin de XIXe siècle, seuls les potagers ont de la valeur. Les fleurs? Des inutiles! Indifférent aux sarcasmes, Claude Monet modèle son « Clos Normand », jardin fleuri en face de la maison qu'il acquiert en 1890. Une allée d'arceaux est installée pour que des rosiers grimpants s'y épanouissent.
Claude Monet Le Pont Japonais
Le Bassin aux Nympheas, Claude Monet 1899, 90×90 cm, Art Museum, Princeton University, Princeton, New Jersey Le jardin d'eau de Claude Monet à Giverny est orné d'un petit pont de bois qui enjambe l'extrémité du bassin, là où l'étang redevient un ruisseau prêt à se jeter dans le Ru. La forme arquée de cette passerelle et de son garde-corps lui ont valu le nom de pont japonais. Bien qu'il ne soit jamais allé au Japon, Monet, comme nombre de ses contemporains, était fasciné par le pays du soleil levant. Son importante collection d'estampes japonaises, le décor japonisant de son service de table, le style bambou de certains de ses meubles en témoignent. Des ponts figurent sur plusieurs estampes possédées par Monet, et il est probable que c'est là qu'il a puisé son inspiration au moment de créer son jardin d'eau. Peu soucieux d'une fidélité absolue au modèle, Monet l'a fait peindre en vert – dans un vrai jardin japonais, le pont aurait été rouge. Monet débute en 1893 la création de son bassin, et fait d'abord construire un pont simple, sans tonnelle.
Une réplique exacte a été construite en bois de hêtre, essence courante dans les forêts de l'est de l'Eure.