Serre De Lafarre
À la suite d'une enquête qui dure deux mois, trois personnes sont arrêtées. Entretemps le 11 février 1994, la déclaration d'utilité publique expire. Le 13 février 1994, l'occupation du site prend fin [ 11]. En 1998, l'Epala cède pour 1 € symbolique les bâtiments du village de Colempce [ 13] Fin 1998, le projet du barrage du Serre de la Fare a eu un coût pour l'Epala de 80 millions de francs, dont 29, 6 millions pour les acquisitions foncières et 47 millions pour les différentes études du projet [ 3]. Transformation en zone naturelle [ modifier | modifier le code] En juillet 2009, l'établissement public Loire (EPL) annonce que les 400 hectares qu'il possède encore liés au barrage de Serre de la Fare, ne seront pas transférés aux collectivités locales alentour, l'EPL restant propriétaire. La gestion du site est par contre déléguée au Conservatoire des espaces et paysages d'Auvergne (CEPA) [ 14]. En parallèle, un projet de classer le site en réserve de biosphère est porté par le WWF et soutenu par l'établissement public Loire (EPL) [ 15].
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En fin d'année, les opposants souhaitent organiser un référendum local sur le barrage. Ils mettent en avant des sondages d'opinions qui leur sont favorables [ 9], [ 8]. Annulation [ modifier | modifier le code] En 1991, la déclaration d'utilité publique est annulée un tribunal administratif de Clermont-Ferrand [ 6], [ 9]. L'Epala fait appel, sans succès, devant le conseil d'État [ 3]. Le 31 juillet 1991, le gouvernement annonce l'annulation des barrages de Chambonchard et du Serre de la Fare [ 10], [ 9], [ 6]. Des aménagements moins importants comprenant des digues à Brives-Charensac sont prévus en remplacement pour un total de 320 millions de francs [ 3], [ 9]. Malgré cette annonce, l'occupation du site du barrage continue [ 9]. Ceux-ci ne sont pas réalisés, l'Epala trouva via une expertise commandée que ces travaux sont moins pertinents que le barrage pour un coût similaire [ 3]. En juin 1992, une commission parlementaire conseille à l'Epala de garder l'emprise foncière acquis pour le barrage, en cas où le gouvernement changerait de décision [ 3].
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Mon avis sur la randonnée: Le Serre de Sardier est un circuit de randonnée situé sur la commune de Lafarre en Ardèche (07). Ce parcours d'environ 13. 5 kilomètres représente en moyenne 4h30 de marche. Cette belle promenade à travers de vastes espaces sauvages vous permettra de découvrir la commune de Lafarre, ses très nombreux lieux-dits, le massif du Sardier et sa longue crête aux points de vue imprenables. Dépaysement assuré. Carte IGN rando Réf. : 2935E Découvrez le patrimoine à proximité du sentier de randonnée Le Serre de Sardier à Lafarre (07) Il existe 19 lieux remarquables à proximité de cette randonnée. Ces lieux peuvent être accessibles et visibles depuis le sentier ou bien être présents dans un rayon de 30km autour du tracé ou du point de départ.
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Blocs de gré qui possèdent des symboles gravés étranges. Lieu magique et rempli de mystère! Ces roches sont placées de façon quasi géométrique. Ce site insolite n'a cessé de solliciter l'attention des scientifiques mais reste encore aujourd'hui une énigme. La légende veut... Photos Voir le site Sites naturels / Gorges Gorges de La Dunière Les Gorges de la Dunière peuvent être aisément découvertes en empruntant la RD231 qui relie les villages de Vernoux-en-Vivarais et de Dunières-sur-Eyrieux. Cette petite route offre plusieurs points de vue, mais le stationnement est très difficile… Sites naturels / Massif montagneux Montagne de Lachens La montagne de Lachens est le point culminant du département du Var avec ses 1 714 m d'altitude, elle est située sur la commune de Mons. Elle est aussi la limite géographique et climatique de la Côte d'Azur et du climat méditerranéen, laissant la place aux Alpes et au climat montagnard. L'accès au sommet est facile, on peut prendre le chemin de Lachens par l'ubac depuis la D21 au col de Clavel ou le chemin d'Esclapon par l'adret ou pour les sentiers pédestres (le GR49).
C'est un « Larzac des rivières » qui, il y a trois décennies, prit place en Haute-Loire. Face au projet de création d'un barrage sur le site de Serre-de-la-Fare, non loin de Solignac-sur-Loire, une importante mobilisation d'écologistes se constitua. Dès 1986, année durant laquelle l'Epala (Établissement public d'aménagement de la Loire et de ses affluents) lança officiellement le projet, la contestation se structura autour du comité SOS Loire Vivante, soutenu par le WWF (World Wide Fund). L'enjeu était la préservation des terres qui auraient dû être ennoyées par l'édification du barrage, environ 500 hectares en amont de celui-ci, et la sauvegarde des espèces végétales et animales, comme la loutre d'Europe, installées dans cette partie du fleuve. Quatre barrages sur la Loire et...