Article L 1226 2 Du Code Du Travail
Ce dernier percevra naturellement des indemnités de licenciement. Depuis la loi El Khomri de 2016, le licenciement sera justifié dès lors que l'employeur n'aura proposé qu'un seul emploi, refusé par le salarié, contrairement au droit antérieur faisant peser sur l'employeur l'obligation de présenter plusieurs postes disponibles. A cet effet, l'article L. 1226-10 du code du travail énonce que: « Lorsque le salarié victime d'un accident du travail ou d'une maladie professionnelle est déclaré inapte par le médecin du travail, en application de l'article L. Article l 1226 2 du code du travail de la rdc. 4624-4, à reprendre l'emploi qu'il occupait précédemment, l'employeur lui propose un autre emploi approprié à ses capacités, au sein de l'entreprise ou des entreprises du groupe auquel elle appartient le cas échéant, situées sur le territoire national et dont l'organisation, les activités ou le lieu d'exploitation assurent la permutation de tout ou partie du personnel. Cette proposition prend en compte, après avis du comité économique et social, les conclusions écrites du médecin du travail et les indications qu'il formule sur les capacités du salarié à exercer l'une des tâches existant dans l'entreprise.
- Article l 1226-4 du code du travail
- Article l 1226 2 du code du travail du burundi
- Article l 1226 2 du code du travail de la rdc
Article L 1226-4 Du Code Du Travail
Article L1226-5 Modification LOI n°2015-1702 du 21 décembre 2015 - art. Inaptitude et obligation loyale - Avocat droit du travail. 59 (V) Tout salarié atteint d'une maladie grave au sens du 3° et du 4° de l'article L. 160-14 du code de la sécurité sociale bénéficie d'autorisations d'absence pour suivre les traitements médicaux rendus nécessaires par son état de santé. 2008 - 1 version Version en vigueur du 1er mai 2008 au 1er janvier 2016 CITÉ DANS Cour d'appel de Douai, 28 février 2020, n° 17/04055 28 février 2020 Cour d'appel de Poitiers, 17 octobre 2018, n° 17/03043 17 octobre 2018 1 / 1 [... ]
Article L 1226 2 Du Code Du Travail Du Burundi
Lorsque le salarié victime d'une maladie ou d'un accident non professionnel est déclaré inapte par le médecin du travail, en application de l'article L. 4624-4, à reprendre l'emploi qu'il occupait précédemment, l'employeur lui propose un autre emploi approprié à ses capacités, au sein de l'entreprise ou des entreprises du groupe auquel elle appartient le cas échéant, situées sur le territoire national et dont l'organisation, les activités ou le lieu d'exploitation assurent la permutation de tout ou partie du personnel. Pour l'application du présent article, la notion de groupe désigne le groupe formé par une entreprise appelée entreprise dominante et les entreprises qu'elle contrôle dans les conditions définies à l'article L. 233-1, aux I et II de l'article L. 233-3 et à l'article L. 233-16 du code de commerce. Le reclassement professionnel: qu'est-ce que c'est? - Challenges. Cette proposition prend en compte, après avis du comité social et économique lorsqu'il existe, les conclusions[... ]
Article L 1226 2 Du Code Du Travail De La Rdc
Depuis le 1er janvier 2017, la procédure de l'inaptitude d'origine non professionnelle est alignée sur celle de l'inaptitude d'origine professionnelle: obligation de consulter le comité économique et social avant de proposer un reclassement, faire connaître par écrit au salarié les raisons de l'impossibilité de reclassement, respect de la procédure applicable au licenciement personnel. Le salarié touche-t-il des indemnités en cas de licenciement pour inaptitude physique ? - Code du travail numérique. I. L'obligation légale de reclasser Lorsque le salarié est déclaré inapte par le médecin du travail à reprendre l'emploi qu'il occupait précédemment, l'employeur propose au salarié un autre emploi, qui doit être approprié à ses capacités (articles L 1226-2 et L 1226-10 du Code du travail). Sauf exception prévue par la loi, l'obligation de reclassement est impérative et doit être réelle. La proposition de reclassement à présenter au salarié par l'employeur doit prendre en compte, les conclusions écrites du médecin du travail et les indications qu'il formule sur l'aptitude du salarié à exercer l'une des tâches existant dans l'entreprise.
Par cet arrêt, la Cour d'appel de REIMS est amenée à apprécier le respect par l'employeur de son obligation de reclassement suite à un avis d'inaptitude. CA REIMS, 29 septembre 2021, RG n° 21/00072 * Par cet arrêt, dont l'infographie synthétique est téléchargeable, la Cour d'appel de REIMS est amenée à apprécier le respect par l'employeur de son obligation de reclassement suite à un avis d'inaptitude. En la matière, quel que soit l'origine de l'inaptitude, les articles L. Article l 1226 2 du code du travail du burundi. 1226-2 et L. 1226-10 du code du travail font peser sur l'employeur une obligation de reclassement. Pour ce faire, l'employeur doit proposer au salarié déclaré inapte un autre emploi approprié à ses capacités, au sein de l'entreprise ou des entreprises du groupe auquel elle appartient le cas échéant. Cette proposition prend en compte, après avis du comité social et économique lorsqu'il existe, les conclusions écrites du médecin du travail et les indications qu'il formule sur les capacités du salarié à exercer l'une des tâches existantes dans l'entreprise.