Ma Part Du Gateau Fin Du Film
Sortie le 16 mars 2011 - durée: 1h49min [ATTENTION SPOILERS] « Ma part du gâteau » n'est pas un film, c'est un tract fallacieux qui se complait à synthétiser les problèmes du capitalisme moderne dans de malheureuses phrases toutes faîtes: il ne s'agit pas ici d'analyser ou de comprendre mais de multiplier les sophismes et les démonstrations par la simplification pour accroitre son électorat. Ma part du gateau fin du film francais. C'est une série de punch lines écrites par un communiquant doctorant en manipulation de la souffrance humaine. Toutes les scènes sont au service des clichés que colportent le film et d'un manichéisme crétin dont les intentions ne se logent pas dans celles du conte social mais bien dans l'argumentaire politique. Ceux qui manquent de ressources financières détiennent forcément de par leur saine naïveté une philosophie de vie au dessus de tout soupçon (« Votre fils vaut bien plus que de l'argent » et autres vérités vraies) – caution philosophique qui rendra la fin d'autant plus insupportable. Au contraire, les méchants sont eux ici très très méchants: non contents de faire le mal au sein de leur vie professionnelle et de ruiner des vies, ce sont également des immondices dans leur vie personnelle qui traitent les femmes comme des putes et leur entourage comme de la merde.
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Son ancienne usine a fermé et tous ses collègues se retrouvent comme elle au chômage. Elle décide de partir à Paris pour trouver un nouveau travail. Elle va trouver un stage pour devenir femme de ménage. Assez rapidement, elle se fait engager chez un homme qui vit dans un univers radicalement différent du sien. Critique film - MA PART DU GÂTEAU - Abus de Ciné. Cet homme, Steve est un trader qui a réussi, il travaille entre la City de Londres et le quartier de la Défense à Paris. Regarder l'extrait en exclu par ici. Publié le 03 mars 2011 à 14h05 7 mars 2011 à 15h20 Meaouw J'ai vu le film en avant-première (avec Klapisch et Lellouche), et je vous le recommande vivement!! Karin Viard et Gilles Lellouche sont vraiment super bons, ya un paquet de scènes très drôles, et à côté de ça, le film dénonce vraiment des travers de notre société en crise. Des infos en vrac glanées à l'avant-première: - Klapisch a choisi de tourner à Dunkerque parce qu'il se fait un gros trip sur les containers, il voulait absolument caser ça dans un film - Sans spoiler la fin du film, il faut savoir que tous les grèvistes qu'on y voit sont les VRAIS gens qui bossent là-bas, et pas juste des figurants.
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A savoir une comédie (avec un fond grave jamais perdu de vue) sur la rencontre improbable de deux monde qui s'apprivoisent doucement. La société française étant ce quelle est, il n'y a qu'au cinéma qu'une telle rencontre peu avoir lieu! C'est drôle, parfois même très drôle et surtout en partie grâce à la performance de Karin Viard qui a un jeu à la fois très sobre et très efficace. Ma part du gateau fin du film les. Je le souligne à chaque fois mais cette actrice a un potentiel comique assez rare, à la fois très sobre et très expressive, elle fait mouche à chaque fois. Elle est touchante en femme de ménage, qui commence par prendre soin de l'intérieur de son patron avant s'attacher à lui et à son fils et de prendre peu à peu soin de lui. De son côté, Gilles Lellouche (enfin dans un premier rôle) campe un trader à la fois odieux (quel mufle avec les femmes! ) et étrangement attachant. Au fil du film, on le sent s'adoucir, s'ouvrir un peu et trouver en France une sorte de conscience morale… Une certaine tendresse s'installe entre eux, de façon tellement progressive qu'elle n'en paraît pas (trop) contre-nature et on se prend à y croire un peu… Bref, tout cela passe bien à l'écran, on ne s'ennuie pas, on rit souvent, on s'attache à ces deux personnages si disparates et puis… Et puis comme je le disais, Cédric Klapish opère un virage en épingle à cheveux dans le dernier tiers de son film.
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Les subprimes, la faillite d'un pays comme la Grèce ont prouvé que les hommes politique ne peuvent rien faire face à la finance. Je trouve cela effrayant. Gilles, quelle impression cela fait de jouer un méchant? Gilles Lellouche: J'ai essayé simplement d'incarner le personnage sans le romancer, ni avoir un regard condescendant. En le prenant simplement à hauteur d'homme. Ma part du gâteau | scenesdefilms. Après, j'avoue qu'il était assez agréable d'appuyer de temps en temps le côté salopard du mec, déshumanisé et cynique. C'était jouissif car incarner un salaud est toujours assez valorisant pour un acteur. Gilles m'avait déjà posé cette question, car dans "Paris", il avait déjà un rôle bien dur. Il m'a demandé pourquoi je lui donnais toujours des rôles de "connard". En fait, il fait cela vraiment bien, et c'est très agréable. Comme il est tout le contraire dans la vie, il a le bon recul. Il improvise parfaitement le mépris, même dans la plus insignifiante des répliques. Karin, comment avez-vous abordé la très belle scène finale?
INTERVIEW Journaliste: Ce film est assez différent de vos précédents. Pourquoi? Cédric Klapisch: Par envie de changement, tout simplement. J'essaie d'aborder de nouveaux sujets, d'une façon différente. J'ai fait appel à des acteurs autant qu'à des non-acteurs, chose qu… © StudioCanal Par envie de changement, tout simplement. J'ai fait appel à des acteurs autant qu'à des non-acteurs, chose qui ne m'était pas arrivée depuis "Chacun cherche son chat". Ma part du gateau fin du film de la. Je ne voulais pas tourner à Paris, même si je tourne un peu à la Défense, et c'était un peu volontaire de pas faire le film avec Romain Duris, avec qui j'ai déjà tourné six fois. Quelle a été votre démarche pour aborder le sujet de la crise? Je suis parti de l'actualité. La situation en France après la crise financière me parait grave. Ce n'est pas simplement qu'un krach financier. Il y a un cap qui a été franchi, qui fait que le pouvoir de l'économie devient monstrueux. Quand on disait du fascisme qu'il était la bête immonde du 20e siècle, pour moi, aujourd'hui c'est la finance.