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Bonjour Charlotte Bouvier, Quelles ont été vos symptômes au départ et à quel âge sont-il apparus? j'ai toujours été bizarre depuis ma petite enfance (associable, introvertie, effacée) puis vers 7 ans j'ai commencé à me dissocier de plus en plus souvent, j'étais ailleurs, comme un observateur de scène, coupée des sensations reliées aux événements. Au même âge j'ai développé des troubles alimentaires (Boulimie). La dépression mélancolique - sismothérapie - ECT - témoignage 1 - Psyway. A l'approche de l'adolescence 10-11 ans les délires se sont installés, idées persécutrices, idées de grandeur (pouvoirs magiques), je ne supportais plus la présence de qui que ce soit. Je pensais que les gens pouvaient lire mes pensées, je croyais que je savais lire les leurs (elle est conne, grosse, regarde là cette sous merde, elle est). Enfin vers 14-15 ans je ne me reconnaissais pas dans le miroir, je regardais mes mains sans comprendre que c'étaient les miennes, je me sentais complètement dépersonnalisée. J'étais persuadée qu'en cas de problème je pouvais voler dans les airs et mettre le feu par télépathie à ce que je voulais.
J'ai eu le risperdal plus de 8 années, dont la première année à 4 mg (dose quotidienne), les autres années à 3 mg, et les deux dernières à 2 mg. En juin 2015, lorsque l'arrêt fut entrepris (notamment à cause de graves effets secondaires de type dyskinésie avec mouvement anormal de ma jambe gauche), j'étais à 2 mg. Je suis passée en juillet à 1, 5 mg; puis fin août à 1 mg. Vers début septembre j'ai rencontré une nouvelle psychiatre (retraite de l'autre) qui m'a dit que vu le diagnostic du neurologue, il fallait ABSOLUMENT et de manière URGENTE que j'arrête le traitement. Elle m'a dit (alors même que je venais quelques jours auparavant de passer à la dose de 1 mg) de faire 15 jours à 0, 5 mg et de l'arrêter complètement ensuite. Sa vie chamboulée par la maladie | Journal du Jura. J'étais pas d'accord car pour moi c'était trop rapide, donc j'ai insisté pour prolonger le sevrage (je voulais idéalement le faire sur 3 ou 4 mois) mais elle a refusé de me prescrire une ordonnance au-delà de 1 mois. Par contre elle a insisté pour que je prenne un anti-dépresseur (soit-disant pour mieux supporter le sevrage) alors que je n'avais aucun besoin de prendre ce type de médicament.