Tarte Saumon Courgette Chef Club Pie: Information Du Patient : Encore Un Revirement De Jurisprudence ! | Gynéco Online
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Tarte Saumon Courgette Chef Club Dessert
Temps total: 15 minutes Ingrédients pour 4 personnes 5 courgettes rondes 1 pâte brisée 2 pavés de saumon 3 œufs 25 cl de crème allégée ciboulette sel et poivre Ustensiles Petit verre Étape 1/3 Couper 1 tranche de 4 cm de large au milieu de chaque courgette et retirer le centre de chaque tranche à l'aide du verre. Tailler toutes les chutes de courgettes en petit dés et couper les anneaux en 2. Étape 2/3 Disposer les demi-anneaux en cercle sur la pâte sablée puis rabattre les bords de la pâte contre les bords des courgettes. Placer les dés de courgettes dans la tarte et ajouter le saumon coupé en dés. Étape 3/3 Mélanger les œufs et le crème légère avec de la ciboulette ciselée, du sel et du poivre. Recette Tarte au saumon et aux courgettes. Verser le mélange dans la tarte puis enfourner 20 minutes à 180 °C. À la sortie du four, couper en parts puis déguster.
Réalisation Difficulté Préparation Cuisson Temps Total Facile 30 mn 1 h 1 Bien laver les courgettes sans les éplucher. Les essuyer et les râper dans une grande poêle. Saler légèrement. Les faire cuire à feu moyen jusqu'à ce qu'elles contenaient se soit évaporé. Tarte saumon courgette chef club dessert. 2 Dans un saladier, battre les œufs, ajouter le mélange lait, crème fraîche, puis la farine. 3 Couper en morceau le saumon et l'ajouter aux courgettes. 4 Préchauffer le four à 200°c. 5 Mettre la pâte brisée dans le plat, verser le mélange courgettes-saumon et ensuite la préparation œufs/crème/lait/farine. Recouvrir le tout de fromage râpé. Pour finir Faite-cuire 30 minutes à 200°c.
Cet arrêt fondait l'obligation d'information sur l'article 16-3 du Code civil qui pose le principe d'un droit personnel à être informé et associé pleinement aux décisions portant atteinte à l'inviolabilité de son propre corps. Le patient demeure libre, qu'elle qu'en soit la nécessité, de consentir au traitement qui lui est proposé. Le 12 juillet 2012 la Cour de cassation affirmait que le droit à l'information est un droit personnel détaché des atteintes corporelles, accessoire au droit à l'intégrité physique, que la lésion de ce droit subjectif entraîne un préjudice moral résultant d'un défaut de préparation psychologique aux risques encourus et du ressentiment éprouvé à l'idée de ne pas avoir consenti à une atteinte à son intégrité corporelle. Préjudice d impréparation 23 janvier 2014 de. La question de savoir si tout défaut d'information était susceptible d'entraîner la responsabilité du praticien a reçu une réponse par l'arrêt de la Cour de cassation du 23 janvier 2014. Monsieur H. médecin généraliste avait administré ou prescrit à Mme A entre 1996 et 1999, plusieurs injections vaccinales, dont cinq du vaccin GenHevac contre l'hépatite B, produit par la société Sanofi-Pasteur MSD.
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Selon l'article L1111-2 du Code de la Santé publique, toute personne a le droit d'être informée sur son état de santé. Cette information porte sur les différentes investigations, traitements ou actions de prévention qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle, leurs conséquences, les risques fréquents ou grave normalement prévisible qu'ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les conséquences prévisibles en cas de refus. Cette information sur l'état de santé du patient doit être claire loyale et appropriée et le médecin doit tenir compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension. Préjudice d impréparation 23 janvier 2014 cee. L'article 16-3 du Code civil, modifié par la loi du 6 août 2004, dispose qu'il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l'intérêt thérapeutique d'autrui. Le consentement de l'intéressé doit être recueilli préalablement hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle il n'est pas à même de consentir.
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L'affaire ayant donné lieu à l'arrêt du 3 juin 2010 concernait un homme atteint de troubles urinaires s'aggravant depuis plusieurs années pour lesquels un urologue avait réalisé des examens prostatiques. Le médecin n'avait pas informé le patient au préalable sur les risques graves inhérents à l'opération pratiquée. Indemnisation du préjudice moral d'impréparation résultant du défaut d'information sur un risque lié à un examen de santé | Lexbase. La cour d'appel avait estimé, qu'eu égard à la pathologie dont souffrait le patient et en l'absence d'alternative thérapeutique, que le patient, même conscient des risques, aurait tout de même accepté l'opération. Toute indemnisation lui avait donc été refusée. Le pourvoi s'insurgeait contre cette approche. La troisième branche du moyen de cassation faisait valoir que « l'obligation du médecin d'informer son patient avant de porter atteinte à son corps est fondée sur la sauvegarde de la dignité humaine; que le médecin qui manque à cette obligation fondamentale cause nécessairement un préjudice à son patient, fut-il uniquement moral, que le juge ne peut laisser sans indemnisation ».
Un devoir d'information sur la préparation. Cet arrêt de la Cour de Cassation semble donc mettre fin à la réparation quasi systématique qui avait été posée dans l'arrêt du 3 juin 2010. En effet, la Cour de Cassation rejette le pourvoi qui invoquait la jurisprudence du 3 juin 2010. Le changement qui est opéré par la Cour de Cassation dans l'arrêt du 23 janvier 201 réside principalement dans le choix du préjudice réparable. On ne se base plus sur l'atteinte qui est portée au corps humain, mais principalement sur la carence de préparation du patient quant aux risques de l'intervention subie. Document sans titre. Historiquement, il a toujours été difficile pour le patient lésé de prouver le lien de causalité entre la faute du praticien et le préjudice subi. Il devait donc prouver qu'il aurait refusé l'opération s'il avait été conscient des risques encourus et empêchait donc les patients d'obtenir réparation en l'absence d'alternative thérapeutique. La cour de cassation avait choisi de se baser sur la perte d'une chance depuis un arrêt du 7 février 1990.