Les Produits Artisanaux – Une Journée Dans Une Ferme Française Dans Les Années 1950 – Blog Histoire Géo

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Wednesday, 4 September 2024

Les glaces Alpérel ont été fondée s en 2000 par Paul et Françoise Maman, puis reprise en 2016 par le duo Pierre Menini et Karima Rafik. Tout en conservant les valeurs de la marque avec des produits artisanaux sans colorants, ni additifs, ils s'engagent dans cette nouvelle aventure dans un atelier en région parisienne, à Trappes, dans les Yvelines. Auparavant les glaces Alpérel étaient fabriquées à Montriond en Haute-Savoie, Alpérel étant une contraction de « Alpes » et Airelles ». Alpérel choisit ses fournisseurs en circuit court et avec un cahier des charges en matière de gout très stricts. La matière première, le lait, provient d'une ferme locale, la Ferme de Grignon, située à seulement 10 km des ateliers Alpérel et c'est pareil pour quasiment tous les fournisseurs de l'entreprise. La gamme des produits de l'entreprise est 100% naturel et dans la grande majorité bio. Une diversification des produits Alors que la première enseigne (Alpérel) ne diffusait quasiment qu'aux restaurateurs, les deux associés ont ouverts la commercialisation de leurs produits aux grandes enseignes et surtout, ils ont augmenté très sensiblement la carte.

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Connus pour leur expertise de l'art aussi bien dans le domaine de la coordonnerie avec les chaussures et sacs, la couture, la confection d'articles comme les paniers et autres articles, les artisans de Ngaye Mékhé délocalisent leurs boutiques à Dakar pour se rapprocher des sénégalais et leur proposer des produits de qualité. Ainsi du 14 au 15 avril, ils exposeront leurs produits dans la capitale sénégalaise, Dakar. Un projet qui vise à promouvoir le consommé local. "Favoriser la promotion des produits artisanaux de la ville de Ngaye Mékhé, accroître la part de marché de ces artisans, faire de la vente directe, participer au développement du domaine artisanal. Voilà les objectifs recherchés à travers le Projet Ngaye Mékhé". Une initiative pour se rapprocher des sénégalais afin de leur montrer tout le savoir-faire des artisans de cette localité réputée dans le monde pour la qualité de ses produits. Capitale de l'artisanat au Sénégal avec le label « Dalou Ngaye », un label made in Sénégal qui a fait le tour du monde, les artisans de cette localité sortie de l'anonymat grâce à l'ingéniosité de ses hommes et femmes qui travaillent à la main, vont exposer tout leur savoir-faire aux sénégalais.

Des Produits Artisanaux

Publié le 22 novembre 2021 à 14h05 Stéphane Morel, directeur adjoint, et Émilie Lemée, professeure de commerce, notent la tenue des stands par les élèves. Dimanche, le temps maussade a amené de nombreux visiteurs au marché du terroir de l'école horticole de Saint-Ilan. Un marché organisé par les élèves de première année BTS technico commercial et qui constitue une épreuve pratique et notée dans leur cursus. Les visiteurs ont pu goûter et acheter des produits allant du saucisson corrézien à la bière locale en passant par l'alcool distillé en Auvergne et du savon à la poussière de coquilles d'huîtres et la crème à l'aloe vera. Des produits artisanaux de qualité qui témoignent du travail de recherche des élèves. Pratique

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On trouve désormais les glaces de la Maison Alpérel auprès de la Grande distribution. En grande surface, comme les géants du secteur Monoprix a été le premier à proposer les glaces artisanales Alpérel et très vite, les autres grandes enseignes ont suivi, Carrefour, Auchan, Casino, Franprix, Intermarché et Super U. Bien entendu, nous sommes encore très loin en termes de production des géants du secteur que sont Carte d'Or, Magnum ou encore Ben & Jerry, mais chaque année, la Maison Alpérel, nouvelle génération de glaces artisanales bios et locales, grappille quelques parts de marché. Outre les glaces classiques artisanales, la jeune pousse propose aussi des glaces et sorbets bios, qui constituent désormais la plus grande majorité des produits qui sortent de l'atelier. La Maison Alpérel propose par ailleurs une nouveauté, une première française, des yaourts glacés compotées, nettement moins caloriques et moins sucrés que les crèmes glacées traditionnelles. La Maison Alpérel tourne aujourd'hui à plein régime et les deux associés ne manquent pas de projets pour 2022.

La mozzarella industrielle, championne des supermarchés Championne des salades d'été, des sandwiches et des pizzas, la mozzarella a la cote. La plupart des mozzarellas vendues en France sont de fabrication industrielle, et produits à partir de lait de vache. Le géant français Lactalis en fabrique dans deux de ses usines. La mozzarella est vendue sous forme de sachets individuels, baignant dans le lait. On en trouve à tous les prix, de 5 euros à plus de 25 euros le kilo. Comment reconnaître la fausse de la vraie mozzarella? © Giancarlo Polacchini Pour faire face à la demande, les industriels n'hésitent pas à utiliser des procédés « peu catholiques » pour la fabrication de la mozzarella: plutôt que du lait frais, ils utilisent du lait caillé (bien moins cher) congelé, ou du lait en poudre, auquel il leur suffit d'ajouter de l'eau chaude pour faire de la pâte filée. Les fromages italiens ne sont pas épargnés: en 2008, un scandale a éclaté dans la région de Naples, où l'on a découvert des taux de pollution à la dioxine supérieurs à la normale dans certaines mozzarellas.
J'ai douze brebis à la traite, soit environ 15 l de lait par jour. Je ne trais qu'une fois par jour pour avoir un lait plus riche. Nous voulons rester une petite production, car nous voulons respecter le cycle naturel de nos brebis et ne pas les épuiser. Nos produits sont saisonniers: nous avons du lait du mois de février au mois de septembre. » Outre ses produits à base de lait, Vicky Mahée et Hubert Delrivière vendent aussi leur viande d'agneaux et de porcs basques qu'ils élèvent au sein de leur bergerie. Pour la vente, les deux fondateurs préconisent la vente directe et en circuit court. « Nos produits sont disponibles dans quelques magasins locaux et nous faisons deux marchés de producteurs depuis le début de l'année: à Ath et à Leuze. La vente directe est très importante pour nous, car elle nous permet d'avoir les retours de nos clients. » Une tome de lait de vache? Vicky Mahée et Hubert Delrivière ont plein de projets en tête. « On apprend et on découvre encore les facettes du métier; nous avons plusieurs projets à venir, mais parmi ceux-ci celui de créer un fromage à pâte dure à partir de lait de vache.

Lorsque Wendelin fut appelé en Algérie, son père fit appel à la première moissonneuse-batteuse du village, conduite par un entrepreneur. La famille - qui cultivait alors 60 hectares - en a acheté une en 1964. Aujourd'hui, c'est le fils de Wendelin, Jean-Marc, qui dirige l'exploitation, avec en appui son fils François, 23 ans, bac S et BTS en poche, destiné à reprendre la ferme. Les Vix, qui font partie des cinq familles d'agriculteurs de la commune, se sont spécialisés en maïs grain, doux et semences. La ferme des années 50 plus. Mais ils cultivent aussi du blé, du soja, et des betteraves et des asperges, faisant appel aux jeunes du village pour la castration des maïs en juillet… Collectionneurs de machines anciennes, les Vix ont aligné aussi une quinzaine de tracteurs, tous en état de marche. « Nous en avons vendu, racheté certains, échangé d'au-tres », commente Jean-Marc Vix qui a organisé la manifestation d'hier, avec l'appui du club allemand de Rheinau-Holzhausen, situé juste de l'autre côté du Rhin. « C'est une passion.

La Ferme Des Années 50 Au

4. Où apprenait-on à nager dans les années 50? Un seul endroit après la fermeture des bains Bangerter, en Loire: la piscine du quai du Fort-Alleaume et ses trois bassins, avant la construction du pont Thinat. Des sortes de harnais permettaient aux élèves d'apprendre à nager. Découvrez aussi dans le supplément d'autres sports: la folle ambiance des soirées de catch ou l'adrénaline des courses automobiles internationales. 5. Les fêtes de Saint-Fiacre étaient-elles aussi fleuries que celles d'aujourd'hui? Non! C'était davantage une fête professionnelle qu'une fête populaire. La ferme des années 50 avec amyxandra. Les bouquets étaient essentiellement des gerbes composées de glaïeuls cueillis en Sologne. Pas très glamour! Mais la vente d'ovales faisaient déjà partie de la tradition. Découvrez aussi dans le supplément d'autres fêtes: la Saint-Aignan et ses cochons en pain d'épice, la Barrière-Saint-Marc et ses chars... 6. Quelle était la course la plus farfelue proposée dans les années 50 à Orléans? La course à la grenouille, dans le quartier des Carmes.

Nous ne voulons pas que ces tracteurs disparaissent », explique Ralf Wälde, un des 140 « Schlepperfreunde », dont de nombreux jeunes. La ferme des années 50 - Langey et le pays Dunois. Et d'expliquer qu' « il a fallu entre trois et quatre ans, et 3000 heures de travail, pour rénover complètement ces Lanz-Bulldog tout étincelants ». « C'est la Ferrari des tracteurs. Refaits à neuf, ils valent entre 40 000 et 50 000 € », glisse un connaisseur, en relevant que toutes les machines anciennes n'atteignent pas cette valeur. Mais quand on aime, on ne compte pas.