Analyse Le Fou Et La Vénus, Baudelaire - Commentaire De Texte - Adeline La Rouge | Allée Dumanoir Guadeloupe.Com
Baudelaire: Le Fou et la Vénus Baudelaire: Petits poèmes en prose (1862): " Le Fou et la Vénus " (Commentaire composé) Texte étudié: Quelle admirable journée! Le vaste parc se pâme sous l'oeil brûlant du soleil, comme la jeunesse sous la domination de l'Amour. Le fou et la vénus noire. L'extase universelle des choses ne s'exprime par aucun bruit; les eaux elles-mêmes sont comme endormies. Bien différentes des fêtes humaines, c'est ici une orgie silencieuse. On dirait qu'une lumière toujours croissante fait de plus en plus étinceler les objets; que les fleurs excitées brûlent du désir de rivaliser avec l'azur du ciel par l'énergie de leurs couleurs, et que la chaleur, rendant visibles les parfums, les fait monter vers l'astre, comme des fumées. Cependant, dans cette jouissance universelle, j'ai aperçu un être affligé. Aux pieds d'une colossale Vénus, un de ces fous artificiels, un de ces bouffons volontaires chargés de faire rire les rois quand le Remords ou l'Ennui les obsède, affublé d'un costume éclatant et ridicule, coiffé de cornes et de sornettes, tout ramassé contre le piédestal, lève des yeux pleins de larmes vers l'immortelle déesse.
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Le Fou Et La Vénus Noire
"Il n'est pas de plaisir plus doux que de surprendre un homme en lui donnant plus qu'il n'espre. "
-- Dieu serait injuste si nous n'tions pas coupables. -- La posie n'a pas d'autre but qu'elle-mme. -- Tout enfant, j'ai senti dans mon coeur deux sentiments contradictoires, l'horreur de la vie et l'extase de la vie. -- J'aime passionnment le mystre, parce que j'ai toujours l'espoir de le dbrouiller.
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La route était source de nuisances et pouvait être accidentogène, mais elle-même permettait de profiter pleinement de le majestueux paysage. Aucune présence d'un castel quelconque, c'est réel membre de cette famille Pinel-Dumanoir lesquels a donné un nom à cette route, créee de 1850 qui marque l'entrée du bourg de Capesterre Belle-Eau. À la issue de Capesterre vers Basse-Terre, sur un tronçon de notre N1, l'allée Dumanoir est bordée d'une double rangée relatives au 430 majestueux rondiers royaux. Après différents changements de propriétaires dus à de nombreuses difficultés économiques, la usine sucrière se trouve être construite en 1946, qui fermera définitivement ses portes sous 1970. Sous 2008 le plus adapté tracé de RN1 est inauguré, préservant ainsi l'allée Dumanoir. Après un grand nombre de changements de propriétaires dus à un ensemble de difficultés économiques, la usine sucrière se trouve être construite en 1946, qui fermera définitivement ses portes de 1970. Malgré ces intempéries et la plupart des violents cyclones s'abattant sur la Guadeloupe, l'allée est conservée et ses axes constamment replantés.
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Mais « comme les héritiers veulent tous être marquis, ils déchirent chacun un petit morceau du titre pour s'en parer, pendant que l'essentiel demeure en friche » [ 1]. Le domaine vit ensuite son titre de marquisat confirmé en mars 1738 sous le nom de Brinon par lettres patentes de Louis XV, au bénéfice du Marquis Jean Charles de Senecterre, comte de Brinon (en France), et futur Maréchal de France. Celui-ci le tenait de son épouse Marie-Marthe de Saint-Pierre, descendante des Boisseret et des Houel [ 2]. Il y établit une sucrerie, sans doute éprouvée par le grand cyclone de 1750, et qui fut revendue le 18 mars 1754 à Philippe-Parfait Pinel, Sieur Dumanoir [ 3]. Celui-ci y bâtit une importante manufacture de sucre et de café appelée vulgairement le « Moulin à eau ». Le 31 juillet 1806 y naît Philippe-François Pinel, célèbre auteur dramatique connu sous le nom de Philippe Dumanoir, et directeur du théâtre des Variétés de 1836 à 1839. Vers 1830 ou 1850 selon les sources [ 3], sa famille commença la plantation des palmiers royaux qui allaient constituer l'allée Dumanoir.
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La Région présente aujourd'hui son projet d'aménagement de valorisation du site de l'Allée Dumanoir, à Capesterre-Belle-Eau. Coût de l'opération: plus de 841 000€. DOMactu vous propose le communiqué du Conseil Régional. [ Jeudi 12 janv. 2012, 00:03 | | Par Karen Bourgeois] « Dans le cadre de sa politique d'aménagement routier, le président de Région, Victorin Lurel accompagné de conseillers régionaux présentera à la population le projet d'aménagement de valorisation du site de l'Allée Dumanoir. Une première réunion d'information en concertation avec la ville de Capesterre-Belle-Eau avait déjà permis de sensibiliser la population sur la mise en valeur de ce site, patrimoine historique et touristique de la Guadeloupe. Ce projet pilote mené sur les « délaissés routiers » du domaine public a pour objectif d'encourager la pratique sportive, de promouvoir une démarche de développement durable, valoriser l'attrait touristique du site, en développant parallèlement une activité économique. Il prévoit donc la mise en place d'un parcours sportif et de santé, d'un jardin paysager, d'une piste de bicross/VTT, d'un circuit d'orientation de découverte de l'environnement et du patrimoine, des aires de jeux et d'activités pour les enfants ainsi que la mise en valeur de l'environnement.
1842: Le Capitaine Charlotte (avec Jean-François Bayard), Théâtre du Palais Royal. 1842: La Nuit aux soufflets (avec Adolphe d'Ennery), Théâtre des Variétés. 1842: Les Deux Couronnes (avec Jean-François Bayard), Théâtre du Palais Royal. 1842: La Vendetta (avec Paul Siraudin), Théâtre des Variétés. 1842: Ma maîtresse et ma femme, comédie-vaudeville en un acte, (avec Adolphe d'Ennery), Théâtre des Variétés. 1842: La Dragonne (avec Hippolyte Le Roux), comédie en deux actes, Théâtre du Palais Royal. 1843: Brelan de troupiers (avec Étienne Arago), comédie-vaudeville en un acte, Théâtre du Palais Royal. 1843: Le Capitaine Roquefinette (avec Adolphe d'Ennery), Théâtre des Variétés. 1843: Les Hures-Graves (avec Clairville et Siraudin), Théâtre du Palais Royal. 1844: Don César de Bazan (avec Adolphe d'Ennery), Théâtre de la Porte-Saint-Martin. 1844: Carlo et Carlin (avec Mélesville), Théâtre du Palais Royal. 1845: Boquillon à la recherche d'un père, comédie-vaudeville en trois actes (avec Jean-François Bayard), Théâtre des Variétés.