Santé | Marseille : À Édouard-Toulouse, La Lutte Des Soignants Ne Faiblit Pas | La Provence
La Taskforce vaccination ne recommande pas la vaccination obligatoire du personnel soignant contre le covid-19 pour le moment, vu le contexte épidémiologique. Publié le 2/05/2022 à 14:26 Temps de lecture: 2 min D ans le contexte épidémiologique actuel, la vaccination obligatoire des prestataires de soins de santé ne serait pas conforme au principe de proportionnalité », a-t-elle expliqué après avoir consulté le Conseil supérieur de la santé et le « Risk Assessment Group » (RAG). Santé | Marseille : à Édouard-Toulouse, la lutte des soignants ne faiblit pas | La Provence. L'avis précise toutefois qu'une nouvelle flambée de l'épidémie est prévisible. Si la situation épidémiologique venait à nouveau à se dégrader, qu'un nouveau variant apparaissait et/ou une baisse significative de l'immunité étaient observés, impliquant une remontée du nombre de décès et d'hospitalisations, l'avis serait réévalué. Cet avis a été rendu alors que la commission de la Santé doit approuver mardi en deuxième lecture un projet de loi du ministre de la Santé, Frank Vandenbroucke, qui établit le principe de cette vaccination obligatoire des soignants.
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L'objectif est que ceux-ci puissent " savoir faire face aux afflux de victimes " dans une situation de guerre, explique Raphaël Pitti, ancien médecin militaire et responsable de la formation au sein de l'UOSSM. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement - " Trier " les victimes - Depuis l'invasion russe le 24 février, " nous avons besoin d'avoir beaucoup de médecins, beaucoup de secouristes, qui sachent quoi faire en cas de blessures de guerre: nous devons former le plus de médecins possible dans un temps très court ", souligne Artem Ahantsev, anesthésiste-réanimateur de 29 ans originaire de Marioupol (sud-est de l'Ukraine). Au bout de 20 minutes, la victime factice est mise sur un brancard après avoir été intubée: exercice réussi pour Artem et Mykola, encadrés par Raphaël Pitti. A Metz, des soignants ukrainiens formés à la médecine de guerre - L'Express. A côté d'eux, le coordinateur médical Yuriy Stepanovskyy traduit les instructions et le débriefing de la simulation conçue par le professeur Pitti, qui avec l'UOSSM, a formé en 11 ans près de 34. 000 médecins, infirmiers et secouristes en Syrie.
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Parmi les compétences apprises ici, les protocoles de prises de décisions pour "trier" les victimes, c'est-à-dire évaluer leur état pour bien déterminer "celles qui sont urgentes de celles qui ne le sont pas", puis les "stabiliser" avant de les soigner, précise M. Pitti, spécialiste reconnu de la médecine de guerre. La boutique des soignants le. Esprit d'équipe "Cette formation est une excellente opportunité pour améliorer la qualité des soins en Ukraine", abonde Igor Deyneka, anesthésiste-réanimateur de 40 ans, originaire de Rivne, dans l'ouest de l'Ukraine. Une opportunité pour laquelle lui et ses collègues, huit hommes et une femme, ont dû obtenir une autorisation exceptionnelle de sortie de territoire par le gouvernement ukrainien. En effet, les hommes de moins de 60 ans, mobilisables dans l'armée, et les médecins, n'ont normalement pas le droit de quitter le pays. Igor, lui, a servi dans l'armée entre 2015 et 2016: déployé dans un hôpital de campagne de la région de Lougansk (est de l'Ukraine), il y a acquis ses premières compétences en médecine de guerre.
L'Assurance Maladie vient d'annoncer une "aide financière exceptionnelle" à destination des professionnels de santé libéraux. Une remise supplémentaire pour faire le plein de leur véhicule sera accordée dans le cadre des déplacements professionnels. Ce coup de pouce est le bienvenu après plusieurs mois d'augmentation du prix des carburants. "Une aide financière exceptionnelle", c'est le terme utilisé par l'Assurance Maladie pour l'annonce d'un coup de pouce pour les soignants libéraux. Ces derniers vont bénéficier d'une remise doublée à la pompe pour aider à faire les pleins à destination des trajets professionnels. A Metz, des soignants ukrainiens formés à la médecine de guerre - Le Point. Une mesure temporaire Cette mesure a été annoncée en fin de journée ce lundi 25 avril dans un communiqué de presse. Le but est de faire face à "l'augmentation du coût du carburant" et de "soutenir les professionnels de santé qui doivent se déplacer dans le cadre des soins délivrés aux patients à domicile". Cette revalorisation financière est complémentaire à celle déjà mise en place par le gouvernement à la pompe.