47 Rue Jean Valade, 86000 Poitiers
La Fondation Jean Valade attribue chaque année le Prix Jean Valade qui récompense une découverte dans le domaine médical qui trouve une application diagnostique, physiopathologique ou thérapeutique potentielle. Ce prix annuel est destiné à distinguer les travaux d'un ou plusieurs chercheurs francophones (y compris au delà des frontières françaises). Il peut consacrer soit des travaux individuels, soit des recherches collectives. A côté des travaux impliquant la découverte ou l'exploitation de données clinico-biologiques nouvelles, une attention particulière sera portée aux recherches consacrées à la mise au point d'investigations originales ainsi qu'à des disciplines jusqu'alors peu honorées (enquêtes épidémiologiques, psychiatrie, …) Le jury est composé d'experts français et é prix attribués sont de 35 000 € pour un senior et de 18 000 € pour un jeune chercheur (âgé de moins de 45 ans). En savoir plus … Source: Fondation de France
Prix Jean Valade En
You are a project leader Log on Contexte Créée en 1994 sous l'égide de la Fondation de France, la Fondation Jean Valade attribue chaque année deux prix qui récompensent des découvertes dans le domaine médical qui trouvent une application diagnostique, physiopathologique ou thérapeutique potentielle. Le jury est composé d'experts français et/ou étrangers sélectionnés chaque année en fonction des thématiques des projets proposés. Date limite de réception des dossiers: 23 juin 2021 Public concerné Ces prix annuels sont destinés à distinguer les travaux d'un ou plusieurs chercheurs francophones, y compris au-delà des frontières françaises. Quels projets de recherche? Les prix Jean Valade visent à récompenser soit des travaux individuels, soit des recherches collectives. A côté des travaux concernant la découverte ou l'exploitation de données clinico-biologiques nouvelles, une attention particulière sera portée aux recherches consacrées à la mise au point d'investigations originales mais aussi à des disciplines jusqu'alors peu honorées (études épidémiologiques, psychiatrie... ).
Prix Jean Valade Des
Le Comité d'éthique du CNRS, a publié il y a quelques jours un avis très attendu sur les dimensions déontologiques et éthiques de la crise sanitaire. Dans ce rapport, Didier Raoult n'est pas épargné. Le Comets (Comité d'éthique du CNRS) traite, dans cet avis, des multiples formes prises par la communication scientifique dans le contexte de la crise sanitaire provoquée par la pandémie de Covid-19. Le recul de près de deux ans de crise permet de dresser un premier bilan des forces et faiblesses de cette communication. Concernant Didier Raoult, le Comets n'y va pas avec le dos de la cuillère: "L'article de D. Raoult et son équipe obligent à un questionnement sur la responsabilité des auteurs face à l'énorme impact de leurs résultats en termes de soins. On peut s'inquiéter de ce que cette étude si peu probante ait pu susciter une telle adhésion du public. Il a été impossible par la suite d'en corriger les effets. Comme nous le discutons plus loin, cette situation rassemble beaucoup des ingrédients de ce qui s'apparente au "populisme scientifique".
» Les résultats très attendus de cette étude seront disponibles dans deux ans. Parkinson: vers une nouvelle révolution thérapeutique Plus de 200 000 personnes en France sont atteints de la maladie de Parkinson, avec un nombre croissant de cas. Erwan Bézard, lauréat du Grand Prix de la recherche de la Fondation de France en 2014 et actuel président du comité Parkinson, est revenu sur les deux priorités de la recherche dans ce domaine: « Tout d'abord, la recherche de traitements curatifs pour stopper, ralentir l'évolution de la maladie. Et d'autre part, développer des approches thérapeutiques sur les symptômes de la maladie, qu'il s'agisse de symptômes classiques ou de symptômes non moteurs, qui sont tout aussi invalidants. » Une minorité des formes de la maladie de Parkinson sont génétiques, et c'est à ces formes spécifiques de la maladie que Thierry Galli, neurobiologiste soutenu par la Fondation de France, consacre ses travaux. Avec une ambition: faire le lien entre les mutations génétiques qui conduisent à la maladie de Parkinson et une molécule détectée chez les patients.