Meilleur Moule À Manqué – Hippolyte Et Aricie Glyndebourne 2018
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En l'espace de quelques semaines, nous voilà comblés puisqu'à la version... Emmanuelle Haïm, Ivan Alexandre, Anne-Catherine Gillet, Stéphane Degout - Erato - 30/10/2014 - Vous avez dit « baroque »? Devançant d'un an l'année Rameau, Glyndebourne avait programmé cet Hippolyte et Aricie que diffuse maintenant Opus Arte (voir compte rendu). La version qui nous est offerte est celle de 1733,... William Christie, Jonathan Kent, Ed Lyon, Christiane Karg - Opus Arte - 16/09/2014 - Rameau tardivement fêté sur France 3 En cette année du 250e anniversaire de sa mort, toutes les occasions de fêter Jean-Philippe Rameau sont bonnes à prendre, à condition parfois d'accepter de veiller un peu tard.
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Casting Jonathan Kent — Mise en scène Paul Brown — Designer Mark Henderson — Création lumières Ashley Page — Chorégraphe Ed Lyon — Hippolyte Sarah Connolly — Phèdre François Lis — Pluton / Jupiter / Neptune Julie Pasturaud — Œnone Samuel Boden — Mercure Glyndebourne Chorus Christopher Bucknall — Chef de chœur Programme « La musique de Rameau est l'une des raisons de se précipiter dans le Sussex de l'Est [au Festival de Glyndebourne]. La mise en scène créative de Jonathan Kent en est une autre. », lisait-on dans The Times en 2013. Cette année-là, la première tragédie lyrique de Rameau, Hippolyte et Aricie, est montée pour la première fois au Festival de Glyndebourne dans une mise en scène surprenante de Jonathan Kent et avec un casting cinq étoiles composé de Ed Lyon, Christiane Karg, Sarah Connolly... Apparaît dans Plus d'info Réalisé par: François Roussillon Lieu: Glyndebourne (Lewes, Grande-Bretagne) Année de production: 2014 Durée: 3 h 0 min Production: © Glyndebourne, François Roussillon et Associés, Mezzo, NHK
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Eugénie Lefebvre parvient à conférer une constellation émotionnelle au personnage guindé de Diane et la rendre crédible, sinon attachante. Tour à tour grande prêtresse, chasseresse, et bergère, Lea Desandre dénoue souplement cette voix au grave dramatique, au médium moelleux finement ornementé. Il y a du velouté et du sensuel à chaque phrase musicale dans ce timbre suave et moiré. Avec une voix pleine d'ascendant, Arnaud Richard confère une belle autorité à Pluton. Le jeu dramatique de Seraphine Cotrez donne une rare dimension à Oenone, la nourrice-confidente-manipulatrice meme si le brilliant n'est pas le point fort notamment au premier acte où la voix se heurte à des limites dans le duo avec Phèdre. Edwin Fardini prête une voix, souple, ronde à Tisiphone qui se fait particulièrement entendre au début de l'acte II, lorsque la furie entraîne Thésée aux enfers. Les trois Parques, Constantin Goubet, ténor à la voix solide, et assurée, Martial Pauliat, ténor à la voix claire et à la diction remarquée, et Virgile Ancely basse au beau timbre, complètent avec brio la distribution.
On retrouve par ailleurs dans la distribution de Glyndebourne la Phèdre et le Thésée entendus à Paris, mais l'on doit se pincer pour y croire. Là où l'on avait vu au Palais Garnier des interprètes bien chantants mais terriblement guindés, bridés par une mise en scène ne se souciant guère de faire exister des personnages, on découvre d'authentiques acteurs qui incarnent leur rôle avec une puissance décuplée. Sarah Connolly déclame véritablement son texte et vit sa Phèdre ardemment, tandis que Stéphane Degout, superbement en voix, est un Thésée déchiré et déchirant. A leurs côtés, Christiane Karg éblouit en Aricie, français impeccable et timbre charnu; Ed Lyon confirme avec ce répertoire des affinités déjà connues et se révèle le seul chanteur capable de nous intéresser au sort d'Hippolyte, si on le compare aux récents titulaires. François Lis est magistral dans les trois divinités qui lui incombent, et Julie Pasturaud parvient à faire exister Oenone en quelques répliques. Mathias Vidal phrase avec une exquise délicatesse l'air du Suivant de l'Amour avant de devenir une très percutante Première Parque, et Emmanuelle de Negri triomphe à chacun des airs qui lui sont confiés, notamment le magnifique « Rossignols amoureux » du dernier acte.
Si l'aspect visuel peut inspirer quelques réserves (et ne fera pas l'unanimité qu'avait suscitée The Fairy Queen), la réalisation musicale est en revanche en tous points dignes d'éloges. Chez William Christie, on admire la souplesse de la direction, l'ampleur du geste, loin de toute gesticulation, et cette noblesse que la production ne nous offre pas toujours. La fosse n'accueille pas les Arts Florissants, mais l' Orchestra of the Age of Enlightenment, qui semble avoir parfaitement assimilé le style ramiste. Surtout, l'on admire les résultats obtenus par le chef qui déclarait dans les notes de programme: « Je serai intraitable pour obtenir des chanteurs la déclamation adéquate ». Pari tenu, sans aucune exception dans cette distribution internationale, jusqu'au plus petit rôle, jusqu'au dernier choriste. Essentiellement composé de jeunes chanteurs anglophones, le Glyndebourne Chorus dit le texte de l'abbé Pellegrin avec une intelligibilité que beaucoup pourraient lui envier et, là aussi, une appréciable souplesse d'interprétation.