Portrait D&Rsquo;Un Escroc En Poète – &Laquo;&Nbsp;Au Revoir Là-Haut&Nbsp;&Raquo;, A. Dupontel – Cultur@Max
Un film adaptant le roman de Pierre Lemaître sur la thématique de la première guerre mondiale, mais surtout de l'après-guerre. On retrouve dans ce film une atmosphère poétique est douloureuse, traitant du traumatisme de cette guerre chez des soldats et du profit économique que cette dernière a rapporté par la suite. Les produits culturels traitant des thématiques de la première et seconde guerre mondiale m'ont toujours beaucoup intéressé, mais ce film est une véritable « pépite d'or » par rapport à tout ce que j'ai pu voir, lire, admirer, jusqu'à présent, sur le sujet. Sans équivoque, le film Au revoir là-haut d'Albert Dupontel est l'un des meilleurs films français que j'ai pu voir. Cela traite en effet du traumatisme de la Grande guerre, mais aussi de scandale sur les industries s'occupant d'enterrer les hommes morts pour la France. L'univers du film n'est pas noir comme nous pourrions nous y attendre, mais poétique, enivrant, avec nos deux personnages principaux très attachants. La structure narrative du film est pensée d'une manière à ne jamais ennuyer le spectateur, plein de rebondissement, apportant de la surprise même jusqu'à la fin.
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Diffusé pour la première fois en clair dimanche 4 octobre 2020, à partir de 21h05 sur France 2, le film Au revoir là-haut aurait dû être quelque peu différent. Télé Star vous dévoile aujourd'hui quel acteur aurait dû incarner le rôle tenu par Albert Dupontel. Sorti au cinéma en 2017, le film Au revoir là-haut, porté et réalisé par Albert Dupontel, sera diffusé pour la première fois en clair à la télévision dimanche 4 octobre 2020, à partir de 21h05 sur France 2. Adapté du roman éponyme de Pierre Lemaitre, récompensé par le prix Goncourt en 2013, ce long-métrage a connu 13 versions différentes avant de voir le jour sur grand écran. En fait, c'est Albert Dupontel qui a révélé que la version du scénario qui a été utilisée pour le tournage fut la 13ème. La première version du script a été écrite en 3 semaines. Le cinéaste a ensuite eu 2 rendez-vous avec l'auteur Pierre Lemaitre, notamment pour discuter du dénouement de l'histoire, étant donné qu' Albert Dupontel a changé la fin du film par rapport à celle du livre, le tout avec l'aval de l'écrivain.
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Commentaire de texte: Etude de l'incipit du roman Au revoir là-haut. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 26 Septembre 2021 • Commentaire de texte • 350 Mots (2 Pages) • 534 Vues Page 1 sur 2 Pierre Lemaitre, Au revoir là-haut - Etude de l'incipit Les personnages: Albert apparaît comme un personnage pacifiste, banal, très observateur, jaloux, pessimiste, méfiant, peureux, naïf, manque d'assurance, hésitant, faible. Physiquement, il paraît opposé à Pradelle. Le lieutenant d'Aulnay-Pradelle est présenté comme insensible, belliqueux, sûr de lui, malicieux, autoritaire, fourbe, fier, prétentieux. Physiquement il est beaux, grand et charismatique. Ce sont donc deux personnages antithétiques. Albert suscite la compassion et la pitié du lecteur alors que Pradelle nous apparaît comme un personnage antipathique. Le lecteur peut facilement s'identifier au personnage d'Albert notamment grâce à l'emploi du point de vue interne et le recours au discours indirect libre. La situation: Le lieu: en France L'époque: à la fin de la 2 nde guerre mondiale Des informations sont données au lecteur et font appel à ses connaissances (contexte historique, celui de la 1 ère GM) Cela crée une complicité avec le lecteur.
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Le casting impressionne par sa cohérence. Nahuel Pérez Biscayart, révélé par 120 battements par minute, dont on ne perçoit du visage masqué que les yeux, propose une performance en forme d'hommage au cinéma burlesque. Albert Dupontel est touchant de sincérité face à l'exécrable colonel Pradelle, interprété par un Laurent Lafitte jouissivement méchant. Niels Arestrup nous convainc quant à lui avec son personnage de père aigri, bouleversé par la mort de son fils. Un film entre rêve et réalité Albert Dupontel s'empare du best-seller de Pierre Lemaître avec la touche de folie qu'on lui connaît. Le film séduit par son inventivité visuelle convoquant aussi bien l'esthétique stylisée de Jean-Pierre Jeunet ( Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulin, Un Long dimanche de fiançailles) que l'onirisme poétique de Michel Gondry ( Eternal Sunshine of the Spotless Mind, L'Écume des jours). Les cadrages et mouvements de caméra expressifs dramatisent les évènements. La contre-plongée filmant la première apparition du colonel dans la pénombre des tranchées indique de manière évidente mais stylisée le rôle de méchant que va jouer le personnage de Laurent Lafitte.
Bien malin celui qui le comprend en regardant le film… Le seul indice qu'Albert Dupontel laisse poindre pour les spectateurs qui pourraient se souvenir du roman est pour le moins ambigu et stéréotypé, puisqu'il s'agit de la vocation artistique d'Edouard (ce qui le distingue des brutes viriles qui furent ses camarades de tranchées) et de son goût pour les masques, dont il fabrique de scène en scène des versions extravagantes et presque queer pour cacher son visage détruit.