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En téléchargement, Don d'organes, tous concernés Le Guide pour tout En matière de don et de greffes d'organes, la loi française prévoit que la volonté du défunt prime sur toutes les autres. Toute personne est considérée comme consentante au prélèvement de ses organes et de ses tissus après sa mort si elle n'a pas manifesté son refus de son vivant. Maison médicale de garde mâcon http. Avant tout prélèvement, l'équipe de coordination s'entretient avec les proches, à la recherche de la non opposition du défunt et interroge le Registre National des refus. (Lien:) Le prélèvement a lieu dans les heures suivant le décès; un don d'organes ou de tissus n'altère pas le corps du défunt qui sera rendu rapidement à la famille pour l'organisation des funérailles. Les organes et tissus prélevés sont attribués à des malades en attente de greffe. En ce qui concerne les organes, les patients peuvent attendre très longtemps sur les listes d'attente, voire décéder faute de greffons. La promotion du don d'organes est une obligation et une mission de santé publique.
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Avis Docteur Isabelle Cudraz: - Très bon accueil, Dr cudraz très professionnel à l'écoute rassurante c'est carré comme on le dit à l'armée merci et bonne continuation à vous. - Merci au Docteur CUDRAZ qui nous à reçu en urgence '1 jour férié ' diagnostiqué 1 problème à gérer rapidement contacte 1 confrère sur Lyon pour opération rapide qui lui a répondu également ce même jours! Tout à été gere d'une façon efficace très pro et chaleureuse qui nous à bcp touché merci infiniment Docteur à vous et votre secrétaire. Bien sincerement. - Docteur compétent et tout à fait accessible qui prend le temps de s'occuper pleinement de ses patients. Maison Médicale de Garde Macon. Cabinet très agréable. - A Madame Agnès DA COSTA, Je me permets d'apporter mon point de vue rectificatif quand à votre avis; en effet, je ne peux pas vous laisser dire sans réagir que j'ai manqué de professionnalisme dans l'exercice de mon métier et plus particulièrement lors de l'astreinte pour permanence de soins. Contrairement à ce que vous avancez, je n'ai jamais refusé de me déplacer; j'ai jugé, après avoir interrogé votre mari au téléphone, que la situation ne relevait pas de l' urgence extrême et j'ai pensé que je pouvais le traiter dans un premier temps et différer le contrôle au lendemain matin… à des heures ouvrables.
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