Maisons Lelievre À Le Luart (72390) - Repreneurs.Com
Dénomination: LELIEVRE CONSTRUCTIONS MANCELLES Code Siren: 311159289 Adresse: 21 Rue Des Mardelles 72390 LE LUART 26/12/2018 Plan de cession Source: Descriptif: TRIBUNAL DE COMMERCE DU NANTES Par jugement en date du 14 décembre 2018, le tribunal de commerce de Nantes a arrêté le plan de cession totale d'entreprise de Lelièvre Constructions Mancelles, société par actions simplifiée, 21, rue des Mardelles, 72390 Le Luart, RCS Le Mans 311 159 289. Ledit jugement maintient: administrateurs: SCP Thevenot Partners en la personne de Me Maniere, 26, boulevard Vincent Gache, 44200 Nantes; Selarl 2M&Associés prise en la personne de Me François Mercier, 3, boulevard du Maréchal-Foch, 49055 Angers, mandataires judiciaires: Me Blanc de la Selarl Blanc MJ-O, 8, rue d'Auvours, BP 72209, 44022 Nantes cedex 1, Selarl Lemercier Guillaume prise en la personne deMe Guillaume Lemercier, 8, rue des Jacobins, 72000 Le Mans. Dénomination: LELIEVRE CONSTRUCTIONS MANCELLES Code Siren: 311159289 Adresse: 21 Rue Des Mardelles 72390 LE LUART 21/12/2018 Conversion de Redressement Judiciaire en Liquidation Judiciaire Source: Descriptif: GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE NANTES CONVERSION DU REDRESSEMENT JUDICIAIRE EN LIQUIDATION JUDICIAIRE (JUGEMENT DU 14 DÉCEMBRE 2018) - SAS LELIEVRE CONSTRUCTIONS MANCELLES «LCM», 21 Rue des Mardelles, 72390 Le Luart, RCS NANTES 311 159 289.
Maison Lelievre Tribunal De Commerce De Paris
Le 24 janvier 2019, le tribunal de commerce de Nantes a décidé la liquidation judiciaire de l'entreprise Sopromo, basée à Duneau (Sarthe), une filiale des Maisons Lelièvre. Par Carine Robinault Publié le 6 Fév 19 à 19:02 La liquidation de l'entreprise Sopromo, à Duneau (Sarthe), a été prononcée le 24 janvier 2019 par le tribunal de commerce de Nantes, faute de repreneur. Le 24 janvier 2019, le tribunal de commerce de Nantes a décidé de convertir la procédure de redressement judiciaire de l'entreprise Sopromo, basée à Duneau (Sarthe), en liquidation judiciaire. 32 salariés se retrouveraient sans emploi. Un repreneur local La centrale d'achat et de fabrication de parpaings en béton, est une filiale des Maisons Lelièvre, placées en redressement judiciaire le 5 octobre 2018, pour une durée de six mois, avant un nouvel examen de ses finances. Pourtant, un repreneur local s'était manifesté. Justice. Les Maisons Lelièvre devant le tribunal. Le tribunal nantais avait été saisi pour examiner l'offre de reprise le 9 janvier 2019. Selon le compte rendu du jugement, le tribunal a estimé « ne pas disposer des éléments nécessaires pour se prononcer sur cette offre » et renvoyé l'affaire à l'audience du 23 janvier dernier.
Maison Lelievre Tribunal 1
Le tribunal de commerce de Nantes a statué: les Maisons Lelièvre sont placées en redressement judiciaire pour six mois. Pendant ce temps, leurs dettes sont gelées. Par Carine Robinault Publié le 8 Oct 18 à 15:11 Les Maisons Lelièvre ont été placées en redressement judiciaire pour une durée de six mois (photo d'illustration). (©Google maps) Le tribunal du commerce de Nantes a rendu son jugement vendredi 5 octobre 2018, sur l'avenir de l'entreprise Maisons Lelièvre, basée au Luart ( Sarthe). La société, qui emploie actuellement plus de 160 personnes, a été placée en redressement judiciaire pour une durée de six mois. Pendant ce temps, ses dettes sont gelées. L'entreprise familiale a vu le jour en 1952. Sarthe. Les Maisons Lelièvre placées en redressement judiciaire - Le Mans.maville.com. C'est Georges Lelièvre, maçon, qui l'a créée au Luart, resté le siège social de la société. Aujourd'hui, l'entreprise compte de nombreuses agences autour de la Sarthe mais aussi en région parisienne. Maisons Lelièvre, ce sont également des sociétés satellites. Lesquelles permettent entre autres au constructeur de pavillons individuels de produire une partie de ses matériaux.
Le tribunal de commerce spécialisé de Nantes a statué sur la situation des Maisons Lelièvre, et ses huit sociétés, qui avaient demandé leur mise sous protection. Le tribunal a rendu sa décision vendredi et a placé l'entreprise basée au Luart en redressement judiciaire et mise sous surveillance pendant six mois. La société, créée en 1952 et compte 160 salariés, revendique la construction de 25 000 pavillons.