Souvenir De La Nuit Du 4
Victor Hugo: Souvenir de la nuit du 4 - Vidéo Dailymotion Watch fullscreen Font
Souvenir De La Nuit Du 4
Avoir une mauvaise journée, une mauvaise alimentation, ou prendre sa température juste après un accès de colère peut augmenter la température de 0, 5 ºC. L'alcool est un facteur assez changeant qui peut faire monter ou baisser la température normale du corps. Cela dépendra de la quantité d'alcool consommée et du temps écoulé entre la consommation et la prise de la température. L'activité physique ou l'exercice peuvent entraîner une augmentation de la température. Il est conseillé de ne pas prendre la température juste après une routine d'exercices ou après s'être agité-e. Quelle est la meilleure façon de prendre sa température? Il existe 4 façons de prendre sa température: aisselles (par voie axillaire) rectum (par voie rectale) bouche (par voie buccale) oreille (par voie tympanique) La voie buccale et la voie axillaire sont les plus communes. Toutefois, cette dernière est la moins fiable car c'est celle qui est le plus influencée par l'environnement et qui, par conséquent, reflète le moins bien la température interne.
Ces adjectifs et ces compléments du nom créent un effet de réel. Il faut préciser que Victor Hugo a réellement assisté à cette veillée funèbre. Il y a, dans ce poème, un aspect biographique. Le corps de l'enfant Le champ lexical du corps nous révèle toute l'horreur du crime: « son œil farouche », « ses bras pendants », « son crâne », « ses pauvres cheveux », « sa tempe ». Le poète insiste également sur les blessures mortelles: « On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies » ou encore les deux suivants: « Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies? /Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. » Un symbole christique Ce corps est celui d'un innocent sacrifié, assassiné, d'où les références à Jésus: l'antonomase (« un Jésus »), le linceul (dans la dernière strophe notamment), la plaie dans laquelle on peut mettre un doigt (évoquant par là même saint Thomas) ou même les « bras pendants ». Le discours de la grand-mère Une grande partie de la première strophe est constituée du discours de la grand-mère, discours rapporté directement comme le montrent les tirets, le présent, l'utilisation du « je » ou encore des verbes de parole (notamment « cria » qui indique la colère et l'indignation).