Comité De Défense De La Gynécologie Médicale
Tout au long de la campagne, de nombreuses organisations (associations, syndicats, collectifs, etc) sollicitent Jean-Luc Mélenchon pour qu'il détaille ses propositions sur des enjeux qui les concernent. L'équipe du programme et les groupes thématiques répondent, pour chacune de ces demandes, en développant des points précis de notre programme l'Avenir en commun. Réponse au Comité de défense de la gynécologie médicale Bonjour, Nous partageons votre inquiétude quant au grave manque de gynécologues médicaux et médicales que nous connaissons. La gynécologie médicale doit être défendue. Elle a particulièrement souffert du numerus clausus, combiné à un manque de reconnaissance, y compris à travers les rémunérations. Baisse du nombre de gynécologues médicaux : la santé des femmes en danger. La "suppression" sur le papier du numerus clausus ne suffira pas: sans augmentation des moyens pour former davantage de médecins, elle est inefficace. Nous augmenterons donc massivement les moyens des universités et des centres hospitaliers universitaires pour former davantage de médecins dans toutes les spécialités, particulièrement les spécialités sous-dotées comme la gynécologie médicale.
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170 000 femmes ont déjà signé une pétition qui signifie leur désaccord, leur volonté de garder leur médecin gynécologue. La disparition de cette spécialité aboutirait en effet à un immense retour en arrière. La renommée d'une spécialité En trente ans d'existence, les gynécologues médicaux français ont développé la prévention des cancers, des maladies sexuellement transmissibles (MST), des accouchements prématurés, des IVG et de tout ce qui peut mettre en danger la santé de la femme. " Plutôt que d'effectuer un nivellement par le bas, sous prétexte que cela n'existe pas en dehors de nos frontières, s'insurge le docteur Malvy, il faut réinstaurer cette spécialité médicale en France et pousser nos voisins à l'inaugurer! Comité de défense de la gynécologie médicale d'embauche. " Brigitte vit en Italie. Elle témoigne: " En Italie, lorsqu'on a besoin d'une visite chez un spécialiste, c'est le médecin généraliste qui la prescrit. Le spécialiste travaille dans des structures publiques et les prestations rapides font douter de leurs qualités; empêchent tout dialogue.
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Le malentendu est donc complet. «Certes, il n'y a plus qu'un diplôme comme nous y oblige la réglementation européenne (1), mais il y a bel et bien deux formations différentes», répète Dominique Gillot. Et la secrétaire d'Etat ajoute: «Le slogan "Touche pas à mon gynéco n'a plus de raison d'être. A travers un accroissement du nombre d'internes formés et une réforme des études de gynécologie médicale et d'obstétrique, je garantis la présence en nombre suffisant de gynécologues médicaux et d'obstétriciens compétents, mieux formés, ayant suivi cinq années de spécialisation. Comité de défense de la gynécologie médicale hpa. » Bref, tout irait pour le mieux. Mais le mouvement continue. La pétition est un vrai succès. La manifestation de samedi peut être importante. Et au secrétariat d'Etat à la Santé, on se dit désormais démuni. (1) Cette affirmation est démentie par la Commission européenne, qui note que «la directive n'empêche en rien l'existence et la reconnaissance en France de spécialités spécifiques».
Une pénurie de gynécologues médicaux Depuis plusieurs années, la France fait face à une pénurie de gynécologues médicaux. Comme la filière a été supprimée pendant près de seize ans, on n'a pas formé de gynécologues médicaux et aujourd'hui, on assiste à une vague de départs à la retraite des derniers diplômés de la fin des années 80. Plus de la moitié de ces spécialistes ont plus de 60 ans aujourd'hui. Concrètement, il y a eu une chute de plus de 40% des effectifs en dix ans, entre 2007 et 2017. Présentation de la FNCGM - FNCGM. Et sept départements n'ont plus aucun gynécologue médical. Et depuis la réouverture de la spécialité en 2003, le nombre de jeune médecins formés est moins important.. En 2018 par exemple, 82 postes ont été ouverts, contre 130 avant la suppression de la filière. Selon ses défenseurs, il faudrait plus de places en internat pour assurer le remplacement des départs à la retraite. Quelles conséquences sur la santé des femmes? Pour les gynécologues médicaux, cette pénurie est dramatique. C'est un retour en arrière qui met en danger la santé des femmes.