Hadiths Sur Le Paradis
Car la protection contre l'enfer et l'accès au paradis dépendent de nombreuses causes. Aussi convient-il au croyant d'employer une multitude de ces causes. Mais la pratique de l'Islam demeure la principale cause d'échapper à l'enfer et d'accéder au paradis. Il existe des actions qui conduisent leur auteur musulman au paradis et lui permettent d'échapper à l'enfer. Tel est le cas de la bienfaisance à l'égard de ses propres filles ou sœurs. Il en est de même de la perte de deux enfants mineurs. On dit au Prophète (bénédiction et salut soient sur lui): « et la perte de deux enfants? » À quoi il répond: « et la perte de deux ». Hadith sur la mere et le paradis et. Ils ne l'interrogèrent pas à propos de la perte d'un seul enfant. Il est cependant rapporté de façon sûre que le Messager d'Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit: « Allah, le Puissant et Majestueux a dit: « Quand mon serviteur croyant perd un être qui lui est cher et reste patient pour complaire à Allah, il n'aura pas d'autre récompense que le paradis ».
Hadith Sur La Mere Et Le Paradis Et
Hadith Sur La Mere Et Le Paradis 1
Le Transcendant et le Très Haut explique ainsi que quand Il rappelle à Lui un être cher à Son serviteur et que celui-ci demeure patient pour complaire à Allah, il n'en pourra être récompensé que par l'accès au paradis. La perte d'un seul enfant de bas âge entre dans le cadre du hadith, pourvu que ses parents supportent avec fermeté son rappel à Allah. Seul l'accès au paradis peut récompenser leur attitude. C'est là une immense grâce divine. Hadith sur la mere et le paradis dans. Ceci s'applique aussi aux époux et à l'ensemble des parents et amis. S'ils observent une belle patience[devant la perte d'un être cher], ils sont concernés par le hadith, sous réserve de se mettre à l'abri d'une situation de non applicabilité du hadith comme la persistance dans les péchés majeurs jusqu'à la mort. Nous demandons à Allah le salut.
» (Coran 19:30-32) Même si, de nos jours, nos vies sont très différentes, nous pouvons retirer un grand bénéfice de l'étude de la vie des prophètes et de nos pieux prédécesseurs, de la façon dont ils traitaient leurs parents, et plus particulièrement leur mère. L'attitude des compagnons envers leurs parents Un jour, Abdoullah ibn 'Omar, un des plus proches compagnons du prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui), vit un homme portant sa mère sur son dos en tournant autour de la Ka'aba, à la Mecque. Ce faisant, il ne montrait aucun signe d'agacement et ne se plaignait point; il récitait plutôt, avec humour, un vers de poésie qui le comparait à un chameau. Il regarda Abdoullah ibn 'Omar et lui demanda si en portant sa mère autour de la Ka'aba, il payait sa dette envers elle (pour l'avoir élevé et pris soin de lui). Sur le témoignage et les gens du paradis - Hadith en ligne. Ibn 'Omar dit: « Non. Tu n'as même pas payé ne serait-ce qu'une partie de la douleur qu'elle a ressentie en te mettant au monde. » Un autre compagnon des premiers jours de l'islam, Dhibyan ibn Ali ath-Thowri, voyageait également à la Mecque en compagnie de sa mère.