Picasso Et Les Maîtres Espagnols En Souterrain - Acpresse
Le Musée Picasso de Malaga, en Espagne, se livre à un exercice périlleux: confronter Picasso aux artistes du passé. L'expérience avait déjà été tentée à Paris, en 2008, par Anne Baldassari et Marie-Laure Bernadac, avec « Picasso et les maîtres » au Grand Palais, suscitant les commentaires mitigés des spécialistes. Pourtant, l'événement a été une fréquentation record, le prototype des expositions « blockbusters »: 700 000 visiteurs étaient alors attendus, ce qui était déjà ambitieux, ils étaient près de 783 352, pour un bénéfice d'environ 1 million d'euros. Il est vrai qu'il était difficile de résister à une telle réunion de chefs-d'œuvre. La Maja desnuda de Goya était venu du Prado, mais il y avait aussi Poussin, Rembrandt, Vélasquez, Zurbaran, El Greco, Chardin, Ingres, Cézanne, et on en oublie. Deux cent dix oeuvres en tout, de quoi satisfaire bien des appétits… La thèse est discutable, et ce n'est pas l'exposition actuelle qui fera pencher l'opinion dans un sens ou dans l'autre. A Malaga, nous sommes beaucoup plus modestes: l'unique salle de l'exposition intitulée « Face à face » – les œuvres y sont plutôt côte à côte – ne comprend que dix-sept tableaux!
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Résumé L'exposition numérique des Baux-de-Provence nous embarque, cette année, pour l'Espagne. A travers un voyage, qui nous emmène de Barcelone, à Paris, ou sur la Côte d'Azur, pour découvrir un palais madrilène du XVIIIe siècle décoré de portraits de cour de Goya, de la cour espagnole aux jardins de Rusiñol, les portraits de Zuloaga, des plages de Soralla en passant par l'architecture Art-déco de Gaudí, de La Sagrada Familia au Parc Guell, c'est un siècle d'art espagnol qui se déroule sous nos yeux. Enfin, c'est avec Picasso que s'achève le spectacle et que nous entrons dans le XXe siècle! Les Demoiselles d'Avignon, Guernica, ses oeuvres cubistes, celles de la période bleue ou rose, tout Picasso défile sous nos yeux. Le spectateur se déplace dans la galerie Dante, qui fait plus de 60 mètres de long et dont les murs s'élèvent jusqu'à 9 mètres de haut. Il baigne dans un monde où les images illuminent le plafond, rampent sur le sol et s'éclatent sur les arêtes.... Lire la suite Beaux Arts éditions se fait l'écho de ce fabuleux voyage à travers les oeuvres de l'un des plus grands peintres du siècle dernier et de ses maîtres espagnols...
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aux Carrières de Lumières, Les Baux-de-Provence L'exposition numérique des Baux-de-Provence nous embarque, cette année, pour l'Espagne. À travers un voyage, qui nous emmène de Barcelone, à Paris, ou sur la Côte d'Azur, pour découvrir un palais madrilène du XVIII e siècle décoré de portraits de cour de Goya, de la cour espagnole aux jardins de Rusiñol, les portraits de Zuloaga, des plages de Soralla en passant par l'architecture Art-déco de Gaudí, de La Sagrada Familia au Parc Guell, c'est un siècle d'art espagnol qui se déroule sous nos yeux. Enfin, c'est avec Picasso que s'achève le spectacle et que nous entrons dans le XX e siècle! Les Demoiselles d'Avignon, Guernica, ses œuvres cubistes, celles de la période bleue ou rose, tout Picasso défile sous nos yeux. Le spectateur se déplace dans la galerie Dante, qui fait plus de 60 mètres de long et dont les murs s'élèvent jusqu'à 9 mètres de haut. Il baigne dans un monde où les images illuminent le plafond, rampent sur le sol et s'éclatent sur les arêtes.
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Le film de 30 minutes transportera le public de la cour royale aux scènes champêtres de Goya, à travers les jardins enchanteurs de Rusiñol et les scènes en bord de mer du lumineux Sorolla. Les Demoiselles d'Avignon, peintes par Picasso en 1907, contrasteront avec la puissance hostile de "Guernica" (1937) avant de prendre le large sur les rives méditerranéennes de "La joie de vivre" (1946). Les parois blanches de calcaire se métamorphoseront en toiles de maîtres sous les 94 faisceaux lumineux des projecteurs méticuleusement réglés par les techniciens des Carrières de lumières. Picasso disait: « Si on marquait sur une carte tous les itinéraires par où je suis passé et si on les reliait par un trait, cela figurerait peut-être un minotaure ». Au public donc d'essayer de retrouver cette figure mythologique essentielle dans l'œuvre de Pablo Picasso dans le lieu insolite des Carrières de lumières. Projection du film "Picasso & les maîtres espagnols" d'une durée de 30mn et à la suite projection du film de 9 mn "Flower power", du 2 mars 2018 au 6 janvier 2019 aux Carrières de lumières aux Baux.
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Les paysages de bord de mer de l'impressionniste Joaquin Sorolla et les portraits de Zuloaga complètent la première partie de l'exposition consacrée aux maîtres espagnols. © Succession Picasso 2018; Photo © Peter Willi / Bridgeman Images — Deux femmes courant sur la plage (La course) de Pablo Picasso, 1922, Gouache sur contre-plaqué. MP78, Musée national Picasso-Paris La seconde partie propose un panorama de la richesse créative de l'œuvre de Picasso. Du cubisme aux périodes bleue et rose, des figures mythologiques aux portraits de femme, l'espace monumental des Carrières donne à contempler la Femme à l'Éventail, le Garçon à la pipe ou encore La Joie de Vivre. Une création multimédia à découvrir sans plus attendre au pied du village des Baux-de-Provence.
Les personnages apaisants des périodes rose et bleue du peintre se teintent de mélancolie avec Les Gnossiennes nº1, 2, 3 d'Éric Satie. Après un noir, apparaissent les premiers éléments du célèbre tableau Guernica (1937) accompagnés d'extraits de presse et de photos de ruines. Le parcours se termine sur une touche sentimentale: la représentation des compagnes du peintre, dont Jacqueline. « Du début jusqu'à la fin, sa vie est ponctuée par les rencontres avec les femmes. Nous avons souhaité mettre en valeur leurs portraits avec ce final », précise Gianfranco Lannuzzi. Pour ce dernier volet, Luca Longobardi, chargé de l'illustration musicale, a choisi l'aria Casta Diva de Norma de Vincenzo Bellini, par Maria Callas. Des morceaux bien connus rythment ainsi les images de séquence en séquence, et favorisent l'accès du grand public à ces œuvres, en les rendant familières. L'agencement iconographique compense largement le peu d'inventivité de la bande-son, et la légèreté de l'introduction aux maîtres espagnols.