L 511 1 Du Code De L'environnement Poitou
Pour un nouveau site sur lequel les installations ont été autorisées à une date postérieure de plus de six mois à la publication de la loi n° 2003-699 du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation des dommages, l'arrêté d'autorisation détermine, après avis des personnes mentionnées au premier alinéa, l'état dans lequel devra être remis le site à son arrêt définitif. L'exploitant fait attester, par une entreprise certifiée dans le domaine des sites et sols pollués ou disposant de compétences équivalentes en matière de prestations de services dans ce domaine, de la mise en œuvre des mesures relatives à la mise en sécurité ainsi que de l'adéquation des mesures proposées pour la réhabilitation du site, puis de la mise en œuvre de ces dernières. L 511 1 du code de l environnement algerie. Un décret en Conseil d'Etat définit les modalités d'application du présent alinéa. Entrée en vigueur le 9 décembre 2020 22 textes citent l'article Voir les commentaires indexés sur Doctrine qui citent cet article Vous avez déjà un compte?
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III. -La gestion équilibrée de la ressource en eau ne fait pas obstacle à la préservation du patrimoine hydraulique, en particulier des moulins hydrauliques et de leurs dépendances, ouvrages aménagés pour l'utilisation de la force hydraulique des cours d'eau, des lacs et des mers, protégé soit au titre des monuments historiques, des abords ou des sites patrimoniaux remarquables en application du livre VI du code du patrimoine, soit en application de l'article L. 151-19 du code de l'urbanisme.
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Décret n° 2017-81 du 26 janvier 2017 relatif à l'autorisation environnementale Loi n° 2017-242 du 27 février 2017 portant réforme de la prescription en matière pénale Diverses réformes intervenues récemment ont modifié certains délais applicables en matière environnementale. Le décret n° 2017-81 du 26 janvier 2017 relatif à l'autorisation environnementale a, en premier lieu, réduit le délai dont disposent les tiers intéressés pour introduire un recours à l'encontre d'une décision prise au titre de la législation relative aux installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), qu'il s'agisse d'une autorisation, d'un enregistrement ou d'une déclaration. L'article R. L 511 1 du code de l environnement des. 514-3-1 du Code de l'environnement a ainsi été modifié et prévoit désormais que les décisions concernées peuvent être déférées devant le Juge administratif par les tiers intéressés dans un délai de quatre mois à compter du jour de la publication ou de l'affichage de ces décisions, contre un an auparavant. Le droit antérieur prévoyait également que le délai de recours continuait de courir jusqu'à l'expiration d'une période de six mois après la mise en service de l'installation, si celle-ci n'était pas intervenue dans les six mois de la publication ou de l'affichage de ces décisions.
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Les dispositions du présent titre sont également applicables aux exploitations de carrières au sens des articles L. 100-2 et L. 311-1 du code minier. Entrée en vigueur le 25 août 2021 282 textes citent l'article Voir les commentaires indexés sur Doctrine qui citent cet article Vous avez déjà un compte? Afficher tout (370) 1. Article L511-2 du Code de l'environnement | Doctrine. Tribunal administratif de Cergy-Pontoise, 19 février 2009, n° 0613958 […] — que cet arrêté n'est pas conforme aux dispositions de l'article 18 du décret du 21 septembre 1977, en ce que les prescriptions qu'il édicte ne sont pas rendues nécessaires par la protection des intérêts mentionnés à l'article L. 511 - 1 du code de l'environnement mais méconnaissent ceux-ci, compte tenu des dangers pour la santé humaine et l'environnement que présentera le compost fabriqué; que le préfet aurait dû prendre en compte les effets cumulés de l'augmentation du tonnage de déchets verts traités et des nuisances qui en résulteront; Lire la suite… Ordures ménagères · Compost · Installation · Déchet ménager · Nuisance · Environnement · Traitement · Justice administrative · Norme · Sociétés 2.
Entrée en vigueur le 9 décembre 2020 Lorsqu'une installation autorisée avant le 1er février 2004 est mise à l'arrêt définitif, son exploitant place son site dans un état tel qu'il ne puisse porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 511-1 et, le cas échéant, à l'article L. 211-1 et qu'il permette un usage futur du site déterminé conjointement avec le maire ou le président de l'établissement public de coopération intercommunale compétent en matière d'urbanisme et, s'il ne s'agit pas de l'exploitant, le propriétaire du terrain sur lequel est sise l'installation. Article R511-10 du Code de l'environnement | Doctrine. A défaut d'accord entre les personnes mentionnées au premier alinéa, lorsque l'installation est mise à l'arrêt définitif, son exploitant place son site dans un état tel qu'il ne puisse porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 511-1 et qu'il permette un usage futur du site comparable à celui de la dernière période d'exploitation de l'installation mise à l'arrêt.
Afficher tout (220) Mesdames, Messieurs, Le grand débat national a mis en lumière les attentes majeures des Français en matière de transformation de l'action publique, de simplification de leur relation avec l'administration et d'accompagnement de leurs projets. Les Français ont à cette occasion exprimé une forte demande de services publics plus proches, plus lisibles, adaptés aux usagers, et accessibles dans tous les territoires. Article L512-1 du Code de l'environnement : consulter gratuitement tous les Articles du Code de l'environnement. Ils ont insisté sur un besoin de proximité ainsi que sur une exigence de simplification des procédures administratives. Un Français sur deux indique avoir déjà renoncé à des … Lire la suite… Les Titres II et III du projet de loi ont globalement reçu un accueil favorable de la commission spéciale. Ils concernent d'abord la déconcentration de certaines procédures et décisions administratives individuelles dans les domaines de la culture (article 17), de la propriété intellectuelle (article 18) et de la santé (articles 19 et 20). Ces dispositions visent à transférer à des organismes administratifs déconcentrés la prise de décision formellement assurée par les ministres concernés alors que les organismes en assuraient l'instruction.