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Summer interior (1909) On dit souvent d'Edward Hopper qu'il est le peintre de la solitude. Je pense que c'est vrai. Ici dans "Summer Interior", on peut bien s'en rendre compte. Souvent la solitude existe même si l'on vit avec quelqu'un, comme le démontre le tableau ci-dessus. C'est aussi la solitude suite à l'abandon. Cette jeune femme pantelante, assise sur les draps du lit défait, qui nous montre une partie de son intimité semble esseulée, abandonnée après le départ de son amant. Elle repense à sa fuite, à ce qu'elle a pu vivre avec lui. Elle a bien l'air dépitée. Il faut noter que ce tableau de 1909 situe le début du travail de l'artiste. Les contours ne sont pas francs comme dans le reste de son oeuvre. A cette époque, Hopper fait un séjour à Paris et revient transformé et impressionné par le vieux continent. Il visite les musées et s'interessent aux maîtres impressionnistes et aux maîtres néerlandais (Vermeer, Rembrandt). Chambre à new york edward hopper - Faire un exposé. Mais on trouve déjà dans ce tableau la patte de Hopper. La lumière, ici à droite du tableau qui reflète par terre.
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Et Hopper inventa le voyeurisme avec cette image volée d'un couple dans son intimité. Un couple comme on en voit peu en peinture, car celui-ci est en proie à un profonde monotonie. Edward hopper chambre à new york post. Lui, absorbé par la lecture de son journal, elle, désoeuvrée, pianotant distraitement. Une relation faite d'ennui traitée avec une étonnante économie de moyens. Room in New York, 1932, Sheldon Museum of Art, University of Nebraska - Lincoln, UNL-F. M. Hall Collection © Sheldon Museum of Art
Que cache la paix domestique?! Opinions La chronique de Christian Gollier Par Christian Gollier, directeur de la Toulouse School of Economics Chronique Christophe Donner Détours de France Eric Chol La chronique de Jean-Laurent Cassely Jean-Laurent Cassely