À La Manière De Magritte — Le Rouge-Gorge - Les Amoureuses - Cultivons Nous
Magritte est un artiste qui s'est beaucoup intéressé à la silhouette... à notre tour...!
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29 juin 2011 Laisser un commentaire Arts, Arts visuels-à la manière... Navigation de l'article « Portrait à la manière de Picasso Les dents » Laisser un commentaire Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec * Commentaire Nom * Adresse de messagerie * Site web Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail. Oui, ajoutez moi à votre liste de diffusion.
Magritte est un peintre belge du mouvement surréaliste. Il nait le le 21 novembre 1898 à Lessines en Belgique dans une famille très modeste. De 1916 à 1918, il étudie la peinture à l'Académie royale des Beaux-arts de Bruxelles puis travaille comme graphiste dans une usine de papiers peints. Vers 1920, il découvre le cubisme et le futurisme, puis le surréalisme, plus particulièrement à travers l'oeuvre de Giorgio de Chirico. Arrivé à Paris en 1927, Magritte rencontre André Breton, Max Ernst, Salvador Dalí et Paul Eluard. Ses peintures jouent souvent sur le décalage entre un objet et sa représentation. Photographe, écrivain, poète, Magritte traverse les courants surréaliste et impressionniste. Il adore jouer avec les couleurs et les mots. « L'art de peindre est un art de penser «, expliquait-il. Les titres de ses tableaux sont ainsi toujours à double sens. Par exemple, un de ses tableaux les plus célèbres est une image de pipe sous laquelle figure le texte « Ceci n'est pas une pipe «. Il s'agit en fait de considérer l'objet comme une réalité concrète et non pas en fonction d'un terme à la fois abstrait et arbitraire.
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Au mois de mai j'avais le cœur si grand Que pour l'emplir je me suis en allée Cherchant l'amour sans savoir quelle allée, Pour le rencontrer, quel chemin on prend… Rouge-gorge, au fond du bois incolore, Au bout des sentiers dont il te souvient, Du printemps, sais-tu s'il en reste encore? L'hiver vient… J'allais, j'allais. Où trouver de l'amour? Au bas de la côte, au faîte, derrière? Au fond du bois, au bout de la rivière? Ici, là-bas, à ce prochain détour? … De l'été, sais-tu s'il en reste encore? Chant de rouge-gorge – Marie Noël | LaPoésie.org. Quand je le vis, je n'osai pas à temps M'en approcher ou lui faire une avance; Je l'attendais ouvrant mon cœur immense… Il n'est tombé qu'une goutte dedans… Du soleil, sais-tu s'il en reste encore? Est-ce là tout, cette goutte, est-ce tout? Je voudrais bien recommencer l'année, La goutte d'eau qui m'était destinée, Je voudrais bien la boire encore un coup… Des feuilles, sais-tu s'il en reste encore? Est-ce bien tout? … Peut-être, dans un coin Que j'oubliai, peut-être avant la neige, Un peu d'amour encor le trouverai-je, Peut-être ici, peut-être un peu plus loin… Du bonheur, sais-tu s'il en reste encore?
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Chloe Douglas, Devant la lumière du matin, © 2019 Je suis ton Rouge-gorge Je laboure ton terrain Dévasté Au milieu des couches De mucosités infectées Je picore Entre les veines et les os Diligemment Pour trouver Des vers de terre succulents Sous la chair fanée De ta poitrine fragile. Je sens Le battement martelant Du cœur J'entends Le crépitement faible Des poumons Je guette, Je suis patient, Ma quête est de Faire rechanter ta voix. Secoué soudain, Miraculeusement, Par un séisme microscopique Je jaillis de la gorge Dans de l'air pur Les vers délicatement Retenus dans le bec Je suis de retour Sur terre ferme Chaude et fraiche Du Printemps, Tu n'as plus besoin de moi. POEMES DE ROBERT CASANOVA - Le prince de mon jardin (Mon beau rouge-gorge). Je frémis À entendre les chants aigus De ma famille Bien-aimée Dans le sorbier isolé Du jardin Je danse, Je faufile vers Les branches ondulantes Chez-moi, Je nourrie Ma famille chérie. Chloe Douglas, 2020
Le rouge-gorge Le rouge-gorge est au verger; Ah! Poème Le Rouge-Gorge - Rosemonde Gérard Rostand. qu'il est joli, le voleur; Il ne pèse pas plus que plume Et le vent le balance à son gré Comme une fleur; Ah! qu'il est joli, le voleur de prunes. Oiseau, bel oiseau d'automne, Voici l'oseille qui rougit Dans l'herbe, Et la feuille du poirier jaune; Tout se couvre de pourpre et de vieil or superbe Avant l'hiver gris. Tristan KLINGSOR Posté par: muze15 à 07:30 - Coin Poésie - Permalien [ #] Tags: Feuille, Fleur, Gris, Gré, Herbe, Hiver, Klingsor, Or, Oseille, Plume, Pourpre, Prunes, Rouge-gorge, Rougir, Superbe, Verger