Objectifs VoigtläNder Pour Reflex Nikon Et Pentax - Chambre À New York Edward Hopper
1939: le 2 000 000 e objectif de la marque sort des usines. 1959: commercialisation du « Bessamatic », premier réflex 35 mm de la marque. 1960: Voigtländer commercialise le premier zoom pour appareil photographique au monde: le Zoomar. 1970: Voigtländer s'associe à Zeiss Ikon afin de résister à la concurrence nippone. 1972: fermeture des usines Voigtländer. 1974: la marque Voigtländer est rachetée par Rollei. 1996: la société allemande Plusfoto GmbH rachète la marque Voigtländer et confie à Cosina (Japon) la réalisation de nouveaux boîtiers télémétriques haut de gamme. Production [ modifier | modifier le code] Les boîtiers photo [ modifier | modifier le code] À plaques [ modifier | modifier le code] Alpin Avus Bergheil Film 116 [ modifier | modifier le code] Inos. Objectifs photo VOIGTLANDER. 6x9. Fabriqué en 1930. Ouverture manuelle. - Obturateur Compur 250 - Objectif Skopar 1:4, 5 f= Inos II. Fabriqué de 1933 à 1935. - Obturateur Compur. - Objectif Skopar 1:4. 8 f=1:1, 8cm. Film 120 [ modifier | modifier le code] À soufflet [ modifier | modifier le code] Bessa I - Fabriqué de 1940 à 1950.
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VF 135. Objectif Color-Skoparex 40mm f/2. 3/40 Bessa R 4 M/A Bessa R3M Bessa R2M Bessa R3A Bessa R2A Bessa R2 Bessa R Bessa R2S C Reflex [ modifier | modifier le code] Bessamatic Bessamatic Deluxe Bessamatic CS Bessamatic m Ultramatic Ultramatic CS VSL-1. Produit en 1972. - Mêmes caractéristiques que le SL707 développé par Zeiss Ikon, qui a aussi servi de base au Rolleifleix SL35M. Fabriqué à Singapour VSL-2. Produit en 1976. Objectif photo voigtländer. VSL-3E. Produit en 1977.
- Temps d'ouverture: 1-1/300. Poids: 371 g. Vito II/IIa/IIb - Sorti en 1949-1952. Optique: Color-Skopar 50mm f3. 5 - Focale: 3' à l'infini. Temps d'ouverture: T, B, 1, 2, 5, 10, 25, 50, 100, 300. - Poids: 413 g. Vito III - Sorti en 1950. - Ressemble plus au modèle Prominent 35mm, qu'aux précédents Vito I et II. Optique: Ultron f/2 50mm. - Focale: Ultron f/2 50mm. Objectif photo voigtlander facebook. - Ouverture: 1-1/500 avec XM synchronisé. - Poids: Compacts [ modifier | modifier le code] Dynamatic I/II Vitoret Vitoret L Vitoret D Vitoret D Rapid Vitoret F Vitoret S Vito B/BL/BR Vito C/CL/CD Vito Automatic/Automatic II Vitomatic I/Ia/II/IIa/IIa(Ultron) Vitrona Vitessa 500 AE/S Télémétriques [ modifier | modifier le code] Voigtländer Vitomatic IIa, Ultron 50mm 1:2 Prominent type 127 et 128. Produit en 1950. Prominent II type 130. Produit en 1959. Vitessa 125 Vitessa N Vitessa L Vitessa T Vito BR Vito CLR Vito CSR Vito Automatic R Vitomatic II/IIa/IIb/IICS Vitomatic IIIb/IIICS Vitoret R Vitoret LR Vitoret DR VF 101. 1974. Reprend la conception et les caractéristiques du Zeiss Ikon Contessa S312.
Elle porte une robe élégante longue et rouge et pianote légèrement quelques touches. Elle a la tête penchée, elle a l'air triste et seule. III. Interprétation * Dans la chambre à New York, 1932, c'est la nuit, un homme lit un document à une table ronde, une femme se détourne de sa propre absorption et de l'ennui, de toucher le clavier de piano avec un seul doigt. Elle semble méditer, comme prise dans le tourbillon de la réminiscence et de la nostalgie. Ils ne sont pas synchronisés, et leur distance les uns des autres est figurée dans l'acte simple d'une femme avec un visage ombragé sonner une note pour laquelle il n'y aura pas de réponse. On sent de l'attente, de la solitude dans chaque personnage. Hopper excelle dans la peinture, la discrétion de l'extérieur, des gens qui sont étrangers les uns aux autres. Le spectateur impliqué dans cette peinture est un citadin Hopper et Camus 4587 mots | 19 pages La peinture d'Edward Hopper & l'Étranger, d'Albert Camus Judith Meyer HK3 SOMMAIRE Introduction La peinture d'un monde absurde L'émergence du sentiment de l'absurde dans le quotidien Mise en scène d'une absurde comédie humaine « Le sentiment de l'absurde est un mal de l'esprit qui naît de la confrontation de l'appel humain avec le silence déraisonnable du monde » (Albert Camus) La solitude des êtres La lumière, une force destructrice?
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Restons quelques instants sur la « Chambre à New York », datant de 1932 et faisant suite à la grande dépression de 1929 qui a plongé le monde dans le scepticisme et le doute généré par la crise. Ce qui frappe d'abord, c'est la manière dont notre regard pénètre à l'intérieur de la chambre. Par une fenêtre ouverte, nous entrons dans l'intérieur simple mais manifestement confortable d'un couple. Nous ne participons pas à leur vie, nous les observons de l'extérieur. La masse noire et grise qui suggère l'architecture du bâtiment place une sorte de cadre à l'œuvre et nous tient en dehors de la scène. Mais de quelle scène s'agit-il ici? On serait bien en peine de le dire, car il ne se passe rien. Deux personnages dont les traits ne sont pas personnalisés nous indiquent que ces deux là peuvent être tout le monde, nous y compris. Et là, on se rend compte que sous des vêtements à la mode témoignant d'une certaine aisance matérielle, les personnages appartiennent à cette fameuse classe moyenne évoquée plus haut.
Envie aujourd'hui de vous reparler un peu d'un artiste peintre évoqué déjà plusieurs fois sur ce blog mais dont la force expressive continue à me toucher au plus haut point, j'ai nommé Edward Hopper (1882-1967). Edward Hopper, autoportrait, 1906 Peintre et graveur américain, Hopper exerça surtout son activité à New York où il se spécialise dans le naturalisme façon US ou la scène américaine. Témoin attentif des mutations de la société de son pays, son œuvre témoigne du désarroi d'un peuple face à l'univers des grandes villes et à l'individualisme de la civilisation occidentale. On sait que le mode de vie américain influence le nôtre et, qu'on le veuille ou non, les habitudes des terres d'outre Atlantique nous envahissent souvent aussi. On y trouve donc une matière à réflexion dépassant les clivages entre les cultures pour atteindre à une forme d'universalité. Si ses premiers tableaux représentent des vues de Paris, c'est qu'il fit un long séjour en France au cours duquel il fut très influencé par les impressionnistes et les fauves.
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1170 mots 5 pages I. Fiche de renseignement * Titre de l'œuvre: Room in New York * Date d'exécution: En 1932 * Technique et support: Huile sur toile * Dimension: 74x91cm * Lieu de conservation: Exposé à Sheldon (usa) au Sheldon Art Gallery * Remarque: Thématique: Salon, piano, appartement * II. Description * C'est une scène de la vie quotidienne d'un couple vivant à New York. La scène est montrée à travers la fenêtre ouverte donnant sur leur appartement. Les murs de l'appartement sont verts, il y a quelques tableaux, une table ronde. A l'arrière-plan on voit une porte, fermée. A droite il y a un piano noir. Il y a une lampe rouge au-dessus du piano. La décoration est impersonnelle. Il y a un pilastre à l'avant plan, les éléments architecturaux se trouvent à l'extérieur de la fenêtre. un homme vêtu d'une chemise blanche, d'un gilet noir sans manches, d'une cravate noire est assis sur un fauteuil rouge à gauche de l'œuvre, il est absorbé dans la lecture d'un journal. La femme à droite, brune à queue de cheval est à demi tournée vers lui, à demi tournée vers un piano.
» Femmes de lettres Emily est née et a passé la majeure partie de…. Histoire de 200 femmes 54776 mots | 220 pages (1871-1872). Elle est également l'auteur de plusieurs œuvres poétiques, d'une correspondance et d'un journal. 200 femmes de l'histoire Taylor Ina, A Woman Of Contradictions: The Life Of George Eliot, New York, William Morrow & Co, 1989. Emily est née et a passé la majeure partie de sa vie à Amherst, Massachusetts, haut lieu du puritanisme…. Le recit et la description 42238 mots | 169 pages manquer une très grande part de l'information narrative. Bibliographie * Adam, Jean-Michel (1993). La description. Paris: PUF, coll. «Que sais-je? » * Genette, Gérard (1969). Frontières du récit in Figures II. Paris: Points/Seuil. * Hamon, Philippe (1972). Qu'est-ce qu'une description? in Poétique 12. Paris: Seuil. * Hamon, Philippe (1981). Introduction à l'analyse du descriptif. Paris: Hachette. * Hamon, Philippe (1991). La description littéraire: anthologie de textes théoriques….
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On sait également que la peinture baroque des Pays-Bas, surtout Vermeer et Rembrandt, va influencer son style et la sa recherche dans la vérité naturelle de ses toiles. De retour aux USA, il déclare: « Tout m'a paru atrocement cru et grossier à mon retour en Amérique. Il m'a fallu des années pour me remettre de l'Europe ». Et c'est bien ce que l'on observe dans ses toiles les plus réussies, à l'image de la « Fille à la machine à coudre » où l'influence lointaine de Vermeer se fait encore sentir en 1921. S'il est un paysagiste exceptionnel, c'est néanmoins dans ses toiles représentant la société américaine que je le trouve le plus attachant. L'« american way of life » y est présent dans toute sa … tragédie. Elles témoignent du cadre de vie et de l'existence des classes moyennes (enjeu particulièrement important dans l'élection de Barack Obama et défi majeur pour l'avenir). La classe moyenne a en effet connu un essor sans précédent dans la première moitié du XXème siècle. On y voit l'accession aux technologies (automobiles, radio, trains …), l'émancipation progressive de la femme et, en conséquence, des rapports hommes femmes, mais aussi de la solitude, de l'aliénation et de la mélancolie.
Il veut aussi nous dire que le rêve américain passe à côté de l'essentiel, de la communication, du partage des idées, du débat sain et salvateur, de la complicité et surtout de l'amour. A force vouloir à tout prix créer un monde uniforme et aisé (de nombreuses utopies littéraires ou cinématographiques ont traité de ce sujet), on en oublie tous les fondements archétypaux de l'individu. La toile de genre de Hopper dénonce tout cela et provoque chez le spectateur une tristesse sans fin, un vide infini qui nous fait pleurer et montre ce que nous devrions éviter absolument. On en vient à penser qu'une telle société est le meilleur moyen de détruire la race humaine.