Poeme Pour Mon Frere Decede
Très émouvant et prenant Merci pour ce partage J'ai beaucoup aimé.. Dominé.. du partage... Merci pour ce uleversant..
Poeme Pour Mon Frère
Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, Se passent, en courant, le flambeau de l' amour. Chacun rapidement prend la torche immortelle Et la rend à son tour. Poeme pour mon frère ou une petite. Aveuglés par l' éclat de sa lumière errante, Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea, De la tenir toujours: à votre main mourante Elle échappe déjà. Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime; Il aura sillonné votre vie un moment; En tombant vous pourrez emporter dans l' abîme Votre éblouissement. Et quand il régnerait au fond du ciel paisible Un être sans pitié qui contemplât souffrir, Si son oeil éternel considère, impassible, Le naître et le mourir, Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même, Qu 'un mouvement d' amour soit encor votre adieu! Oui, faites voir combien l' homme est grand lorsqu 'il aime, Et pardonnez à Dieu! L'Amour et la Mort Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème | Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 1822 votes Bel astre voyageur, hôte qui nous arrives Des profondeurs du ciel et qu'on n' attendait pas, Où vas-tu?
Poeme Pour Mon Frere Decede
Hopital psychiatrique d'Armentiere les années 50 Drôle de maison de santé! mon frère y fut interné sa vie durant, il avait 5 ans de plus que moi, il m'adorait, au début de son internement il venait en week-end chez nous. Par la suite, jusqu'à ce que nous partions en Afrique, avec mes parents, nous lui rendions visite, ce lieu m'effrayait; pas de "sélection" en ce temps là, on y trouvait tous les «cas» Chaque fois que nous revenions dans notre nord natal, nous lui rendions visite, c'est a peine s'il nous reconnaissait, heureusement mes grands parents maternels, paternels, oncles et tantes, eux, étaient là pour le gâter, et tous les dimanches il avait de la visite. Mon grand frère. - Kelly WATSON - Vos poèmes - Poésie française - Tous les poèmes - Tous les poètes. Il est parti la veille de ses 40 ans, d'un arrêt cardiaque en pleine crise d'épilepsie, à la fin de sa triste vie, il m'appelait maman, nous lui avions tu que la notre était partie, 4 ans auparavant, elle avait 52 ans, son cœur malade, n'aurait pas supporté, qu'il s'en aille avant elle, maman avait eu à 18 ans, un bébé blond, aux yeux bleus, vigoureux et en bonne santé.
Sous le voile léger de la beauté mortelle Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt, Le temps de l' entrevoir, de s' écrier: « C'est Elle! » Et la perdre aussitôt, Et la perdre à jamais! Cette seule pensée Change en spectre à nos yeux l' image de l' amour. Quoi! ces voeux infinis, cette ardeur insensée Pour un être d'un jour! Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles, Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir, Que tant d' adieux navrants et tant de funérailles Ne puissent t' émouvoir, Qu 'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre Tu dises: « Garde-les, leurs cris sont superflus. Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre; Tu ne les rendras plus! » Mais non! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère; Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein. Poeme pour mon frere blanc. Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre, Va s' aimer dans ton sein. III Éternité de l' homme, illusion! chimère! Mensonge de l' amour et de l' orgueil humain! Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, Il lui faut un demain!