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/ Émissions / À l'Affiche! Publié le: 11/03/2020 - 14:55 12:19 A L AFFICHE © France 24 Dans ce numéro 100% cinéma, Thomas Baurez et Vincent Roux reçoivent le réalisateur tunisien Mehdi M. Barsaoui, pour son premier long métrage: "Un fils", récompensé notamment à la Mostra de Venise. Le film met en scène un couple - Najla Ben Abdallah et Sami Bouajila - qui se déchire, alors que leur fils a été grièvement blessé dans une attaque terroriste, dans la Tunisie de 2011. Au sommaire également: "La Bonne épouse", de Martin Provost avec Juliette Binoche, Yolande Moreau et Edouard Baer, et la ressortie en copie restaurée du film culte de David Lynch: "Blue Velvet".
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Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 21 articles de presse Critiques Spectateurs « Un fils » enfin découvert sur le tard, mérite bien finalement cette attente, quand on considère les multiples enjeux de ce film ô combien sensible et intelligent! En effet, Mehdi M. Barsaoui a su aborder avec beaucoup de tact et de pertinence le problème de la filiation à travers d'autres problématiques dues à la culture du pays lui-même et à ses lois, ainsi qu'en mettant en avant le scandale monstrueux du trafic... Lire plus "Un fils" est le premier long métrage du jeune réalisateur tunisien Mehdi M. Barsaoui, né en 1984. Sélectionné au 76e Festival international de Venise dans la section Orizzonti, ce film a permis à Sami Bouajila de remporter le prix du meilleur acteur. Il suffit souvent d'un événement totalement inattendu pour bouleverser la vie d'une famille. Ce qui se passe en septembre 2011 pour le couple formé par Meriem et Farès, et Aziz, leur... Un fils commence par l'exposition d'un couple de Tunisiens aisés et influents dans leur métier, vivant à l'occidentale avec leur fils.
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Lors de ces premières scènes, on se demande d'ailleurs vers quoi le film va bien pouvoir s'orienter, tant les pistes paraissent nombreuses: chronique socio-politique, thriller psychologique à la Asghar Farhadi (on pense à A propos d'Elly), suspense hitchcokien, drame sentimental. Le... Le cinéma tunisien témoigne d'une excellente forme ces temps-ci avec Noura rêve (intimiste), Un divan à Tunis (désopilant) et Un fils (stressant). Trois manières de sonder l'état des lieux du pays, même si, dans le cas du dernier, l'année où l'action se passe est 2011, alors que le voisin libyen est à feu et à sang (cela a son importance dans l'intrigue). Si le réalisateur, Mehdi M. Boursaoui, se défend d'avoir voulu faire un film... 69 Critiques Spectateurs Photos Secrets de tournage Scène d'ouverture révélatrice Un fils démarre sur une scène qui montre la complicité entre Fares (Sami Bouajila) et son fils Aziz (Youssef Khemiri): elle ne dévoile rien de la suite, mais expose leur relation fusionnelle. Mehdi M. Barsaoui a voulu commencer son film de cette manière pour montrer à quel point le lien unissant le père et le fils est fort.
Spectacles à Paris Théâtre de la Contrescarpe - Paris De Erwan SZEJNOK ZAMOR « MON FILS » RÉPARER UNE VIE EN UNE NUIT Un coup de téléphone annonce à Pierre Lefrançois la mort d'un certain Srul: son père avec qui il est brouillé depuis plus de trente ans, et qu'il n'a jamais revu. Réunis toute une nuit, ils feront évoluer leurs âmes en conflit vers une réparation commune. Le fils essaie de comprendre ce père absent et d'en faire le deuil. Le père tente de réparer ses erreurs, d'expliquer son histoire afin de pouvoir quitter ce monde en paix. La réconciliation sera-t-elle possible avant que le jour se lève? NOTE DE L'AUTEUR, Erwan SZEJNOK ZAMOR "Je suis petit-fils d'un homme ayant échappé aux rafles. Il a perdu toute sa famille dans les camps, jusqu'à être le dernier à porter son nom de famille. J'aborde ici les difficultés et la culpabilité que peut éprouver un homme ayant survécu à la barbarie nazie. Comment peut-on vivre après? Peut-on guérir? Se reconstruire? Fonder une famille? J'ai écrit cette pièce entre fiction, réalité familiale et conte mystique pour partager mon ressenti de descendant de troisième génération, partager cette mémoire et ces blessures encore vives. "