Le Voyage Est Une Source De Bonheur
Mais nous verrons que si celui-ci est réalisé par obligation il peut se révéler comme quelque chose de néfaste pour l'Homme. Nous verrons donc à travers ce blog comment le voyage peut rendre de façons singulières l'Homme heureux.
Le Voyage Est Une Source De Bonheur Ou Souffrance
C'est ce que montre le sondage intitulé Happiness & Wanderlust réalisé par le tour-operator G Adventures à l'occasion de la journée mondiale du bonheur, célébrée le 20 mars. Il est vrai que parfois, printemps et bonheur riment. Mais quelle place occupent les voyages dans notre vie? En quoi voyager peut être source de bonheur pour les sédentaires que nous sommes devenus? On le sait, voyager apporte un ensemble de bienfaits à l'individu et évoque des bénéfices bien précis dans l'imaginaire des voyageurs. Pour certains, le voyage est synonyme de repos, pour d'autres, d'expériences nouvelles, d'ouverture d'esprit, de découvertes, ou encore de rencontres. Le voyage est une source de bonheur ou souffrance. Selon l'enquête, 68% privilégient ainsi le fait de vivre une expérience nouvelle comme source de satisfaction liée au voyage. Mais au final, on apprécie difficilement la part qu'occupe le voyage dans notre capital bien-être. Ce sondage apporte des éléments intéressants sur cet aspect. L'enquête nous apprend ainsi que 83% des individus considèrent le fait de voyager comme très important pour leur bonheur personnel.
Le Voyage Est Une Source De Bonheur Paris
On se sent minuscules et respectueux de pouvoir les escalader sans encombres, les locaux l'on bien comprit; il faut savoir respecter les forces de la Nature. Le Népal m'a donné ces moments de contemplation extatique que je n'ai pu retrouver ensuite. Je me suis également laissé porter par la bonté du bouddhisme, car elle est à toute épreuve dans ces terres lointaines. Plus on se rapproche des portes du Tibet, plus on se sent nappé d'un halo de bienfaisance. Le voyage est une source de bonheur paris. La chaleur humaine y est presque une question de survie, on n'imaginerait pas laisser quelqu'un dormir dehors dans un environnement si hostile. Du coup on se retrouve assez vite dans la maison d'une famille tibétaine qui a traversé la frontière, à préparer le feu pour la nuit et à jouer avec les enfants intrigués par nos visages blancs comme la neige. C'est de ce partage là dont je parlais quelques lignes plus haut; la simplicité d'un repas tous ensembles, les sourires illuminés par le feu du poêle tentant de communiquer tant bien que mal malgré la barrière du langage, les montagnes himalayennes nous encerclant dehors et la lune dardant ses rayons sur les neiges éternelles.
Premier arrivé, premier servi. On habitait dans un HLM à Nantes. Trois par chambre. C'était hyper tranquillou. Les grands du quartier, ils faisaient les chauds, mais c'est parce qu'ils restaient à parler tard le soir sur les bancs de foot. Et rien que pour ça, ils se sentaient plus pisser. J'aurais pu continuer à être une connasse, mais je sais pas, j'ai bien tourné. Je devais avoir 16 ans, c'était la journée d'appel au lycée. Je me suis mise au premier rang – je rêvais d'être une justicière. Les militaires étaient là. Ils nous expliquaient nos devoirs de citoyen, ils nous présentaient les différentes armées. Dans la classe, tout le monde dormait; mais moi, j'étais à fond. Je me suis inscrite direct à leur journée portes ouvertes. Mes sœurs, elles comprenaient pas. "T'es trop ouf comme meuf! " Une « note de gueule » J'y suis allée toute seule, à la base militaire – comme une grande. J'y ai mangé. J'ai fait de la descente en rappel. De la tyrolienne. Le voyage est une source de bonheur.com. Et ils m'ont parlé de la réserve de gendarmerie.