Le Gamin Au Vélo Affiche Quebec
Commentaire d'oeuvre: Le gamin au vélo. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 25 Mars 2017 • Commentaire d'oeuvre • 916 Mots (4 Pages) • 435 Vues Page 1 sur 4 Collège au cinéma- Cours de français Année 2012-2013 I/l'affiche a) Le motif principal de cette affiche est le gamin accompagné d'une femme, nous supposons que c'est sa mère. Ces deux personnages font du vélo le long d'un fleuve, qui est l'arrière plan de cette photo. Nous pouvons remarquer que le plan utilisé est une légère plongée. Cette image est en mouvement, en effet les personnages sont en action, il pédale tout en s'observant. Cette image dégage une sensation de bonheur, d'amour et de complicité entre ces deux personnages. Les couleurs de cette affiche sont vives. Nous constatons que la couleur rouge est présente sur le t-shirt du gamin ainsi que dans le titre: « Le gamin au vélo ». Il en est de même pour les vélos. Etant donné ce rappel de couleur ceci nous montre en partie la relation entre le titre et l'image. De plus le fait que le gamin soit en rouge nous montre l'importance de ce garçon dans ce film.
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Une élégie pleine de douleurs, de grâce et de fluidité, d'une douceur tragique... Réserver Mes préférés Ajouter Le Gamin au vélo à la sélection Mes préférés Déjà lu Ajouter Le Gamin au vélo à la sélection Déjà lu À lire Ajouter Le Gamin au vélo à la sélection À lire Ajouter … Le Gamin au vélo dans une sélection Lien … permanent pour Le Gamin au vélo - Jean-Pierre Dardenne Imprimer Tout Exemplaires Description Médias Avis Voir aussi Auteur principal: Jean-Pierre Dardenne Merci de patientier...
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Le choix également de tourner avec une actrice célèbre en premier rôle, à savoir Cécile de France, alors que d'habitude le casting révélait une actrice méconnue. Mais Le gamin au vélo est aussi attendu parce que c'est un nouveau film qui a pour thème central les liens filiaux et l'amour que l'on porte à l'enfant. Quand on sait que Rosetta en 1999 et l'Enfant en 2005 ont consacré les frères Dardenne sur ces thèmes-là, on ne peut que faire monter l'impatience. Peut-être même trop d'ailleurs, au risque de faire de ce dernier un chef-d'œuvre avant l'heure. Extrait du gamin au vélo Contrairement aux apparences, ce Gamin au vélo reste un Dardenne de très bonne facture, attachant et intéressant, mais pas franchement novateur. Il est presque linéaire dans sa construction et clairement découpé. La première partie débute donc avec Cyril (le très talentueux Thomas Doret, pour la première fois à l'écran) qui cherche à retrouver son père à tout prix (un juste Jérémie Rénier, qui nous avait habitué à de piètres prestations dans Pièce Montée ou Philibert lorsqu'il n'est pas le chouchou des Dardenne).
Plusieurs fois dans le film, Cyril perd ou se fait voler son vélo. Un vélo qui symbolise à la fois son attachement au père et la liberté. Pour la première fois aussi, les cinéastes belges ont tourné en été, toujours dans leur ville de Seraing, à côté de Liège. C'est donc une banlieue ouvrière soudain plus lumineuse, plus colorée que l'on découvre. Et puis, une petite révolution: la présence, certes minuscule, de quelques virgules musicales (du classique) pour faire le lien entre les "chapitres" du récit. Des détails, sans doute, mais qui prouvent le désir de renouvellement des Dardenne, la recherche constante de produire des films de plus en plus beaux, variés et parfaits. Du travail d'orfèvres. Rappelons enfin que leur cinéma, au prix d'une direction d'acteurs époustouflante, reste tout aussi moment le plus fort du film, presque dreyerien, se situe cette fois-ci quasiment à sa toute fin. Quant au dernier plan, il nous inspire la phrase des Evangiles que cite Rachel Cooper (Lillian Gish) à la fin de La Nuit du chasseur.