Ad Astra Producteurs
Parce que je me rappelle d'un truc qui y ressemble (qui m'avait traumatisé et il m'en faut beaucoup) mais c'était un russe Le 20 mai 2022 à 21:39:45: ce film de merde gouddjjii Pourtant sur le papier, un film spatial avec Brad Pitt Mais oui il est atroce Tuer des innocents, s'emparer illégalement d'un vaisseau de plusieurs millions, dans une tentative d'aller à la recherche de son père, dont on n'est même pas sûr de la survie C'est quel genre d'enflure ça? Les plans sur Pluton étaient cool nonobstant Message édité le 20 mai 2022 à 22:24:06 par kassimleretour des que j'entends ad astra je pense à l ouvrier chinois qui s est bloqué dans l'enrouleur industriel et qui tourne pendant 5 min.... edit: avec la musique d ad astra Lien? La scène où il joue le captain american en essayant de dévier des mini astéroïdes avec un bouclier fait en bout de métal Le 20 mai 2022 à 22:23:30: Tuer des innocents, s'emparer illégalement d'un vaisseau de plusieurs millions, dans une tentative d'aller à la recherche de son père, dont on n'est même pas sûr de la survie C'est quel genre d'enflure ça?
Ad Astra Producteurs Bio
Le père disparu serait quant à lui joué par Tommy Lee Jones. Ruth Negga et Donald Sutherland ont été récemment ajoutés au casting. Quand? Le distributeur français 20th Century Fox vient d'avancer sa sortie au 18 septembre 2019, juste après Venise et Toronto. Encore un peu de patience. Pourquoi? Le cinéma de science-fiction « d'auteur » est en plein essor depuis le début des années 2010: après Christopher Nolan ( Inception, Interstellar), JJ Abrams ( Super 8), Lars von Trier ( Melancholia), Ari Folman ( Le Congrès), Bong Joon-Ho ( Snowpiercer), les soeurs Wachowski ( Cloud Atlas), Georges Miller ( Mad Max: Fury Road), Jeff Nichols ( Midnight Special), Denis Villeneuve ( Premier Contact) ou bien encore Ridley Scott ( Prometheus), James Gray choisit également de s'adonner à la science-fiction. Il avait atteint une forme de grâce métaphysique à la fin de The Lost City of Z, qui transcendait déjà sa filmographie par rapport à tout ses films précédents. Ad Astra apparait comme un projet voulant aller encore plus loin.
La plupart des échanges de McBride ont pour interlocuteur un terminal d'ordinateur devant lequel son employeur SpaceCom le somme de se livrer à des audits psychologiques grotesques (ah, les ravages du behaviorisme! ) et Ad Astra fait parfois figure d'allégorie de l'aliénation au travail, contre lequel le duo père-fils finit par se rebeller. Vaisseau mortuaire Comme le pointait justement l'envoyé de Libé à Venise, où le film fut présenté, l'aventure est chez Gray, dans la lignée de Lost City of Z, une quête fondamentalement décevante. Le fils retrouve le père, qui n'était pas le colonel Kurtz qu'on pressentait, plutôt un vieil homme presque sénile, dont les années de vieillesse auront terni la brillance héroïque, à la dérive dans un vaisseau mortuaire où passe en boucle une de ces vieilles comédies musicales dont il était friand, Ce que femme veut. «We're all we've got» («nous sommes tout ce que nous avons»), lâchera Roy à son père, en guise de consolation. Mais si la fin du film, remaniée à la demande des producteurs et peu convaincante (lire ci-contre), tâche d'en faire une maxime humaniste, le propos s'apparente davantage à un enseignement de la frustration, du genre qui marque le passage à l'âge adulte.