Contrat De Location Journal Officiel Algérie | Les Contemplations/« Elle Était Déchaussée, Elle Était Décoiffée » - Wikisource
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L'ambassadeur de France en Algérie est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui prendra effet au 1er janvier 2012 et sera publié au Journal officiel de la République française. ]
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II s'agit du poète. II est, comme souvent dans les poèmes de Hugo, un passant, un promeneur. Il est surtout celui qui maîtrise le regard et la parole. Il va être le seul à parler dans le texte. Les rôles sont nettement délimités: la beauté est féminine, la parole masculine. b) L'échange des regards L'échange des regards est toujours essentiel dans la scène de rencontre. On constate que ici le regard est réciproque: « je crus voir une fée », « elle me regarda », « elle me regarda pour la seconde fois », « je vis venir ». L'insistance sur le regard comme vecteur de la rencontre passe par la répétition du verbe « regarder » et le polyptote sur le verbe« voir » (v. 3; v. 14). La même allitération en -v- unit le verbe« voir » (regard), le verbe « vouloir » (désir) et le verbe « venir » (accord) et montre la rapidité de la séduction amoureuse. Elle etait dechaussee hugo analyse lineaire. c) La scène d'amour La rencontre entraîne l'invitation: « Veux-tu t'en venir dans les champs? » Cette invitation ambiguë est éclairée par la périphrase (« le mois où l'on aime »), l'allusion (« les arbres profonds ») et le tutoiement amoureux (v. 4; v. 7; v. 8).
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Baudelaire, « A une passante » Sonnet écrit en 1861 par Baudelaire dans le recueil Les Fleurs du Mal, dans la séquence intitulée « Tableaux parisiens ». Le titre « A une passante » ressemble à une dédicace à une inconnue. Thème de la rencontre d'une passante au hasard d'une promenade dans Paris. Le poète la croise et leurs regards vont se rencontrer quelques secondes. Analyse linéaire: 1 er quatrain: Evocation du décor: anonymat d'une ville (v 1): « La rue » (v. 1) Caractéristiques: tableau d'abord auditif: « assourdissante », « hurlait » (connotation animale). V. Hugo, Elle était déchaussée, Les Contemplations, lecture analytique. C'est l'agitation agressive de Paris. Ambiance de cacophonie Le poète: « La rue assourdissante autour de moi hurlait »: il est au centre de toute cette cacophonie! → allitération en [R] → aspect désagréable. Puis glissement de l'auditif au visuel: v 2-3: « Une femme passa »: importance du passé simple → suggère la brièveté de la rencontre Caractéristiques de ce portrait féminin: - Anonymat: « Une femme » (article indéfini) - Mouvement: « passa, soulevant,...
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Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis: Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive; Elle me regarda pour la seconde fois, Et la belle folâtre alors devint pensive. Oh! comme les oiseaux chantaient au fond des bois! Comme l'eau caressait doucement le rivage! Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts, La belle fille heureuse, effarée et sauvage, Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers. Mont. -l'Am., juin 183... Paysanne avec des oies au bord de l'eau, 1893 Berthe Morisot (1841-1895) Annonce des axes I. Un récit de rencontre bucolique 1. Le cadre bucolique 2. Victor Hugo, Les Contemplations - I, XXI: "Elle était déchaussée". Un jeu croisé de regards 3. Les signes d'invitation du jeune homme II. Un lyrisme simple et familier en rupture avec la tradition 1. Des procédés empruntés à la chanson populaire 2. Célébration de la beauté au naturel de la jeune fille 3. Jubilation du poète à se souvenir Commentaire littéraire Le poète Victor Hugo s'emploie ici à évoquer beaucoup plus qu'à décrire le cadre de la rencontre.
L'atmosphère est intime. Gout pour le bucolique: La jeune fille semble en harmonie avec la nature; elle est au naturel ce qui suggère qu'elle est une émanation de la nature. La nature devient le temple des amours éphémères.