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Cependant ces deux relations aboutirent chacune à une séparation dont Renée Vivien ne se remit pas. Elle sombra dans l'alcool et la drogue et sa santé se détériora progressivement. Renée vivien a la femme aimée en. Les critiques ne furent pas tendres avec elle tant il est vrai que l'idéologie de l'époque excluait les homosexuels dont l'orientation sexuelle était considérée comme une maladie mentale. Elle fut traitée de femme perverse et libertine. Son état empira au fil des mois, elle refusa de se nourrir, fit une tentative de suicide et mourut vraisemblablement d'une pneumonie compliquée par l'alcoolisme. Colette dans Le pur et l'impur, paru en 1932 retraça cette fin de vie si difficile.
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Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume, Le ciel mêlait aux ors le cristal et l'airain. Ton corps se devinait, ondoiement incertain, Plus souple que la vague et plus frais que l'écume. Le soir d'été semblait un rêve oriental De rose et de santal. Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids. Leurs parfums expirants s'échappaient de tes doigts En le souffle pâmé des angoisses suprêmes. De tes clairs vêtements s'exhalaient tour à tour L'agonie et l'amour. Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes La douceur et l'effroi de ton premier baiser. Sous tes pas, j'entendis les lyres se briser En criant vers le ciel l'ennui fier des poètes Parmi des flots de sons languissamment décrus, Blonde, tu m'apparus. Et l'esprit assoiffé d'éternel, d'impossible, D'infini, je voulus moduler largement Un hymne de magie et d'émerveillement. À la Femme aimée par Renée VIVIEN - MonPoeme.net. Mais la strophe monta bégayante et pénible, Reflet naïf, écho puéril, vol heurté, Vers ta Divinité. Renée Vivien Cliquez ci-dessous pour découvrir un poème sélectionné au hasard.
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Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume, Le ciel mêlait aux ors le cristal et l'airain. Ton corps se devinait, ondoiement incertain, Plus souple que la vague et plus frais que l'écume. Le soir d'été semblait un rêve oriental De rose et de santal. Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids. À une ombre aimée – Renée Vivien | Poetica Mundi. Leurs parfums expirants s'échappaient de tes doigts En le souffle pâmé des angoisses suprêmes. De tes clairs vêtements s'exhalaient tour à tour L'agonie et l'amour. Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes La douceur et l'effroi de ton premier baiser. Sous tes pas, j'entendis les lyres se briser En criant vers le ciel l'ennui fier des poètes Parmi des flots de sons languissamment décrus, Blonde, tu m'apparus. Et l'esprit assoiffé d'éternel, d'impossible, D'infini, je voulus moduler largement Un hymne de magie et d'émerveillement. Mais la strophe monta bégayante et pénible, Reflet naïf, écho puéril, vol heurté, Vers ta Divinité. in Etudes et préludes
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Natalie, qui ne se résigna jamais à cette séparation, devait faire des efforts acharnés jusqu'à la mort de Renée pour tenter de la reconquérir, y compris en lui envoyant des amis communs plaider en son nom, ainsi que des lettres et des fleurs lui demandant de revenir sur sa décision. Elle eut, en revanche, une liaison plus stable avec la richissime baronne Hélène de Zuylen, pourtant mariée et mère de deux fils. En effet, Hélène lui apporta un équilibre émotif et une stabilité bénéfiques à sa création littéraire, rédigeant même quatre ouvrages en collaboration avec elle sous le pseudonyme collectif de Paule Riversdale. Renée vivien a la femme aimée black. Bien que la position sociale de la baronne de Zuylen fasse obstacle à une relation publiquement affichée, toutes deux voyagèrent souvent ensemble et elles poursuivirent une liaison discrète de 1902 jusqu'à 1907. Les lettres de Renée à son confident, le journaliste et érudit Jean Charles-Brun, révèlent que celle-ci se considérait comme mariée à la baronne. Alors qu'elle était toujours avec Zuylen, Vivien reçut une lettre d'une mystérieuse admiratrice stambouliote, Kérimé Turkhan Pacha, l'épouse d'un diplomate turc (probablement Turhan Hüsnî Pasa), d'où s'ensuivit, quatre ans durant, une correspondance intense, passionnée, suivie de brèves rencontres clandestines.
Vous êtes mon palais, mon soir et mon automne, Et ma voile de soie et mon jardin de lys, Ma cassolette d'or et ma blanche colonne, Mon parc et mon étang de roseaux et d'iris. Vous êtes mes parfums d'ambre et de miel, ma palme, Mes feuillages, mes chants de cigales dans l'air, Ma neige qui se meurt d'être hautaine et calme, Et mes algues et mes paysages de mer. Et vous êtes ma cloche au sanglot monotone, Mon île fraîche et ma secourable oasis... Et ma voile de soie et mon jardin de lys.