Musée Du Modernisme Catalan Barcelone — Victor Hugo - Lorsque L'enfant Paraît - La Joie Des Poètes
Incontournable pour: Connaître le Modernisme catalan au-delà de l'architecture.
- Musée du modernisme barcelone espagne les compas
- Lorsque l enfant parait le cercle de famille de
- Lorsque l enfant parait le cercle de famille les
- Lorsque l enfant parait le cercle de famille en
- Lorsque l enfant parait le cercle de famille la
Musée Du Modernisme Barcelone Espagne Les Compas
Musée inauguré en 2010 qui abrite 350 œuvres de 42 artistes parmi les plus représentatifs de ce mouvement artistique catalan dans ses différentes disciplines: peinture, sculpture, mobilier et arts décoratifs.
Vous pouvez visiter l'exposition permanente consacrée à l'explication du contexte social, culturel et artistique. Ils organisent également différentes expositions temporaires. Web: Casa Vicens Adresse: carrer de les Carolines, 20-26, 08012 Barcelona Joan Miró Foundation La Fondation Joan Miró est un espace dédié à la diffusion du travail de l'artiste. Joan Miró a créé un langage unique et très personnel, devenant l'un des artistes les plus influents du XXe siècle. Le musée du Modernisme catalan | Meet Barcelona. Dans le musée, vous pouvez également trouver d'autres œuvres en cours. Web: Fundació Joan Miró Adresse: parc de Montjuïc, 08038 Barcelona Musée national d'art de Catalogne (MNAC) C'est une visite incontournable si vous êtes à Barcelone, le musée abrite l'une des expositions d'art roman les plus exceptionnelles au monde. Si vous voulez profiter au maximum de l'espace, il est important de faire le tour de la table du musée. Le bâtiment construit pour l'Exposition Universelle de 1929 vaut déjà le détour, ainsi que les magnifiques vues sur la ville de Barcelone.
Lorsque l'enfant paraît Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux. Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre Les chaises se toucher, Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire. On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère Tremble à le voir marcher. Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme, De patrie et de Dieu, des poètes, de l'âme Qui s'élève en priant; L'enfant paraît, adieu le ciel et la patrie Et les poètes saints! la grave causerie S'arrête en souriant. La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure, L'onde entre les roseaux, Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare, Sa clarté dans les champs éveille une fanfare De cloches et d'oiseaux.
Lorsque L Enfant Parait Le Cercle De Famille De
Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux. Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre Les chaises se toucher, Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire. On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère Tremble à le voir marcher. Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme, De patrie et de Dieu, des poètes, de l'âme Qui s'élève en priant; L'enfant paraît, adieu le ciel et la patrie Et les poètes saints! la grave causerie S'arrête en souriant. La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure, L'onde entre les roseaux, Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare, Sa clarté dans les champs éveille une fanfare De cloches et d'oiseaux. Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine Qui des plus douces fleurs embaume son haleine Quand vous la respirez; Mon âme est la forêt dont les sombres ramures S'emplissent pour vous seul de suaves murmures Et de rayons dorés!
Lorsque L Enfant Parait Le Cercle De Famille Les
Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux. Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre Les chaises se toucher, Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire. On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère Tremble à le voir marcher. Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme, De patrie et de Dieu, des poètes, de l'âme Qui s'élève en priant; L'enfant paraît, adieu le ciel et la patrie Et les poètes saints! la grave causerie S'arrête en souriant. La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure, L'onde entre les roseaux, Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare, Sa clarté dans les champs éveille une fanfare De cloches et d'oiseaux. Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine Qui des plus douces fleurs embaume son haleine Quand vous la respirez; Mon âme est la forêt dont les sombres ramures S'emplissent pour vous seul de suaves murmures Et de rayons dorés!
Lorsque L Enfant Parait Le Cercle De Famille En
XIX Le toit s'égaie et rit. André Chénier Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, Innocent et joyeux. Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre Les chaises se toucher, Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire. On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère Tremble à le voir marcher. Quelquefois nous parlons, en remuant la flamme, De patrie et de Dieu, des poëtes, de l'âme Qui s'élève en priant; L'enfant paraît, adieu le ciel et la patrie Et les poëtes saints! la grave causerie S'arrête en souriant. La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure, L'onde entre les roseaux, Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare, Sa clarté dans les champs éveille une fanfare De cloches et d'oiseaux.
Lorsque L Enfant Parait Le Cercle De Famille La
Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine Qui des plus douces fleurs embaume son haleine Quand vous la respirez; Mon âme est la forêt dont les sombres ramures S'emplissent pour vous seul de suaves murmures Et de rayons dorés! Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies, Car vos petites mains, joyeuses et bénies, N'ont point mal fait encor; Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange, Tête sacrée! enfant aux cheveux blonds! bel ange À l'auréole d'or! Vous êtes parmi nous la colombe de l'arche. Vos pieds tendres et purs n'ont point l'âge où l'on marche. Vos ailes sont d'azur. Sans le comprendre encor vous regardez le monde. Double virginité! corps où rien n'est immonde, Âme où rien n'est impur! Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers! Seigneur! préservez-moi, préservez ceux que j'aime, Frères, parents, amis, et mes ennemis même Dans le mal triomphants, De jamais voir, Seigneur!
Car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies, Car vos petites mains, joyeuses et bénies, N'ont point mal fait encor; Jamais vos jeunes pas n'ont touché notre fange, Tête sacrée! enfant aux cheveux blonds! bel ange À l'auréole d'or! Vous êtes parmi nous la colombe de l'arche. Vos pieds tendres et purs n'ont point l'âge où l'on marche. Vos ailes sont d'azur. Sans le comprendre encor vous regardez le monde. Double virginité! corps où rien n'est immonde, Âme où rien n'est impur! Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers! Seigneur! préservez-moi, préservez ceux que j'aime, Frères, parents, amis, et mes ennemis même Dans le mal triomphants, De jamais voir, Seigneur! l'été sans fleurs vermeilles, La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, La maison sans enfants! V. Hugo, Les feuilles d'automne (1831)