Musée Bernard Buffet Au Japon
Quand on rêve d'un musée Bernard Buffet en France… Où voir de vraies œuvres originales de Bernard Buffet? Vous avez un musée au Japon et c'est le seul musée Bernard Buffet aujourd'hui au monde! Plus près de nous, il y a bien sûr le musée d'Art Moderne de… Lire la suite Où admirer des oeuvres de Bernard Buffet de nos jours? L'engouement pour les œuvres de Bernard Buffet, même une dizaine d'années après sa mort est toujours aussi impressionnant que durant son vivant. Aujourd'hui, plusieurs moyens sont à la disposition des amoureux de son style pour se procurer une œuvre ou… Exposition des œuvres de Buffet au musée d'Art moderne de la Ville de Paris Vous aimez l'art? Alors, ne manquez pas l'exposition des œuvres de Buffet au Musée d'Art Moderne de la ville de Paris. Vous y découvrirez de nombreuses œuvres remarquables de l'artiste. Mais qui est-il? Quelles sont ses œuvres qui… Le musée Bernard Buffet de Tokyo est de retour Le célèbre musée Bernard Buffet de Tokyo héberge, depuis son ouverture en novembre 1973 par Kiichiro Okano, la plus grande et la plus complète collection du peintre français Bernard Buffet.
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La galerie Maurice Garnier sur l'avenue Matignon Les amateurs parisiens d'art se souviennent encore de Maurice Garnier, le galeriste historique de Bernard Buffet: cet homme charmant continuait à venir régulièrement dans sa galerie, bien qu'ayant largement dépassé l'âge de la retraite, et présentait au fil des années des expositions sur le thème Tableaux pour un musée, qui revisitaient chronologiquement l'œuvre de Bernard Buffet et entendaient préfigurer un futur musée Bernard Buffet. Le musée espéré n'a pas (encore? ) vu le jour mais la galerie continue à exposer en permanence des tableaux de Bernard Buffet malgré le décès de son fondateur. L'accrochage est régulièrement renouvelé et ceux qui passent par l'avenue Matignon, à proximité des Champs-Elysées, sont assurés d'y voir à tout coup des chefs d'œuvre de l'artiste… Les galeries Estades: Paris, Lyon, Toulon, Baden Baden (France et Allemagne) Longtemps convaincu que Bernard Buffet est un des grands maîtres français de la seconde moitié du 20ème siècle, Michel ESTADES devient spécialiste de l'artiste peintre Buffet et lui consacre une majeure partie de sa passion et de son activité de galeriste d'Art.
Il y a lieu de mentionner l'exposition exclusive au Japon, en 1973, qui a élevé un musée en l'honneur de l'artiste, dans la préfecture de Shizuoka, où sont conservés plusieurs de ses toiles majeures. Œuvres d'art et sculptures Le génie pictural de Buffet se signale par quelques œuvres maîtresses. En voici quelques-unes: Le Perroquet, une toile sur aquarelle. Le Dahlia noir, Les Macareux, Les Tournesols, Voyage au Japon, Bernard Buffet a réalisé quatre ouvrages de sculpture monumentales représentant des animaux. Deux évoquent l'image d'un scarabée et les deux autres des papillons. Les deux scarabées sont fidèlement conservés dans le musée Bernard Buffet du Japon. Pour avoir de plus amples informations sur les différents œuvres du peintre, consultez ce site.
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Bernard Buffet ouvre grâce à l'aide de Kiichiro Okano un musée en son nom au Japon. Ce musée comporte la plupart des œuvres du peintre français, plus de 2000 à ce jour. Fortement inspiré par ce pays, ses cendres ont été dispersées dans le jardin du musée japonais. La notoriété japonaise de Bernard Buffet: Si le musée Bernard Buffet est situé au Japon, c'est en partie car l'artiste Bernard Buffet a acquis une grande notoriété dans ce pays. Il est d'ailleurs l'un des premiers artistes français à en avoir ouvert un de son vivant. Le musée Bernard Buffet Le Japon a, parait-il, inspiré le peintre Bernard Buffet dans ces séries de tableaux Sumo et les Kabuki: c'est ainsi qu'il a pu ouvrir le musée Bernard Buffet, au Japon. Le musée est situé à Surugadaira, financé par un riche homme d'affaire japonais: Kiichiro Okano. Ce banquier est passionné des œuvres de Bernard Buffet depuis les a découvertes en 1963 lors de rétrospectives, au musée d'art moderne. Le musée a été inauguré en 1973, cependant sans la présence de Bernard Buffet.
Au Japon la popularité de Bernard Buffet est énorme et le peintre français est très apprécié des amateurs d'art. Il peut même se vanter d'avoir été l'un des rares artiste français, à s'être vu dédié un son musée de son vivant. Le musée de Surugadaira au Japon, a été inauguré en grande pompe en 1973 malheureusement en l'absence de Bernard Buffet. Son fils affirme que son père aurait regretté cette absence du jour de l'inauguration tout le restant de sa vie. On peut précisément se poser des questions sur cette surprenante absence alors que Bernard Buffet s'était rendu à plusieurs reprises au pays du Soleil Levant, qui lui inspirera d'ailleurs de nombreux tableaux dont la célèbre série sur les Sumo et les Kabuki exposés à la galerie? Pour certains l' artiste contemporain avait probablement une forme d'appréhension, être confronté au jugement de l'autre dans des circonstances officielles, ce qui n'était pas une situation facile. Beaucoup s'interrogent également sur l'origine de cette histoire d'amour entre Bernard Buffet et le Japon.
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En 1996, c'est une série sur « Pekin » que découvre ses amateurs à la Galerie David et Garnier située avenue Matignon à Paris. Les lignes verticales et horizontales jamais utilisées dans l'art japonais ont profondément touché le peuple asiatique qui adore les lignes sobres et épurées chères à Bernard Buffet.
Il passe ses vacances d'été avec Pierre Bergé à Séguret (Vaucluse). En 1951, Jean Giono met à sa disposition une petite maison à Manosque. Puis Bernard Buffet loue une ancienne bergerie à Nanse près de Reillanne, à dix-sept kilomètres de Manosque, où il travaillera jusqu'en 1954. En 1953, Louis Aragon publie, dans les Lettres Françaises, un article ayant pour titre "Le Paysage a quatre siècle et Bernard Buffet vingt-quatre ans". En 1955, il obtient la première place au référendum organisé par la revue " Connaissance des Arts " désignant les dix meilleurs peintres de l'après-guerre. Il peint les maquettes des décors et des costumes pour "La Chambre" argument de Georges Simenon qui devient son ami. Il achète la propriété de "Manines" à Domont près de Paris, qu'il quittera l'année suivante. En 1956, il achète la propriété de "Château l'Arc" près d'Aix en Provence, qui sera sa résidence principale jusqu'en 1964. En 1958, première rétrospective de son OEuvre à la Galerie Charpentier à Paris.