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La veste comporte 2 poches frontales à fermeture éclair et 2 poches intérieures ouvertes en cuir. Le shearling a le même motif de croc que l'extérieur. Mesures: Longueur - 24 pouces, épaules - 17 pouces, manches - 27 pouces, buste - 34 pouces, taille - 30 pouces. Fabriqué en Italie Neuf avec étiquette.
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La manifestation s'élance au départ de la future place Lumumba dans le quartier de Matonge ©LaMeute - Moulinette A l'occasion de la journée internationale contre les violences policières, environ 300 personnes ont manifesté ce mardi 15 mars sur un parcours allant de la future place Lumumba située dans le quartier Matonge, à la place de l'Albertine dans le centre de Bruxelles. Familles de victimes et leurs soutiens ont scandé à l'unisson slogans et noms des (trop) nombreuses personnes décédées suite aux crimes racistes de la police bruxelloise. A l'origine de cette mobilisation, plusieurs organisations et collectifs dont les JOC (Jeunes Organisés et Combatifs), Outils Solidaires contre les violences policières, les Acteurs et actrices des temps présents ou encore la Ligue des droits humains. Ces d'horizons divers ont voulu, en ce jour, mettre à l'honneur les familles des victimes des violences policières et systémiques pour exiger la justice pour toutes et tous. Comme point de départ de la manifestation, la future place Patrice Lumumba (1925-1961) située rue de l'Athénée au cœur de Matonge, le principal quartier congolais de la capitale et portant le même nom qu'un quartier populaire du nord de la province de Kinshasa.
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De même, une mobilisation molle, ponctuelle et axée sur la seule détestation de la police ne saurait, en réalité, que dépolitiser et vider de toute substance l'essence même de cette lutte. Cette journée internationale contre les violences policières est à l'origine des collectifs canadien et suisse respectivement nommés « Collective opposed to police brutality » et « Black Flag ». Elle a été mise en place en 1997, après que des policiers suisses aient violemment battu deux jeunes enfants de 11 et 12 ans le 15 mars 1996. A Bruxelles, elle s'illustre comme l'opportunité nouvelle d'une convergence entre les collectifs et familles de victimes. Un désir d'unité déjà énoncé par Samira Benallal du collectif pour Sabrina et Ouassim lors des dernières audiences au Palais de justice, mais aussi par les collectifs pour Lamine Bangoura ou pour Mehdi Bouda, comme bien d'autres. Si la majorité des affaires ont été jusqu'ici conclues par des non-lieux, des audiences à venir laissent encore entrevoir un espoir de justice, notamment pour la famille de Mehdi, qui donne rendez-vous à leurs soutiens devant le Palais de justice de Bruxelles le 6 mai prochain.
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Le 115 (logement d'urgence) saturé et une préfecture qui ne répond pas à son devoir d'asile. Dans les jours prochains, des dizaines de personnes vont se retrouver à la rue! Nous exigeons l'ouverture d'un centre d'hébergement ouvert 365j/365, 24h/24, sans aucune condition. La violence et le racisme d'Etat font ainsi des ravages dans les quartiers, dans les manifestations, au CRA, contre les migranTEs. Les forces de l'ordre sont là pour surveiller, punir, et réprimer les classes populaires et les personnes racisées, migrantes ou non. Nous sommes face à un système qui favorise la montée du racisme, de l'islamophobie, des idées les plus nauséabondes, qui nie les droits humains les plus élémentaires. L' inter-organisations de soutien aux personnes exilées appelle à manifester: A l'appel de: Awa Gueye et le Collectif Vérité et Justice pour Babacar Gueye – Attac Rennes – NPA Rennes – MIDAF – UL-CNT35 – JC35 – UCL Rennes – Cimade 35 – ACE – Ensemble 35 – GT Migrants FI Rennes – LDH Rennes – ICEM35-Pédagogie Freinet – FSU 35 – DAL 35 – PCF Renne – Utopia56 rennes – UTUD – Solidaires 35 – GL 14/10 Source:
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La stratégie est d'invisibiliser tout en se servant de leur force de travail essentielle. Mais, depuis mai 2020, le mouvement des sans-papiers et la Marche des Solidarités s'opposent avec détermination et courage à cette politique. Partie prenante du mouvement social d'opposition à la politique du gouvernement, elles et ils ont ouvert la voie en brisant l'interdiction de manifester le 20 mai 2020 et en construisant un mouvement qui a investi la rue et les routes de France avec les Actes 1, 2, 3 et 4. C'est l'égalité qu'on étouffe. C'est l'avenir qui étouffe. De l'air! Le 20 mars on manifeste pour: • La liberté de circulation et d'installation. La régularisation des sans-papiers. • La protection automatique, dès leur arrivée, des jeunes étranger·e·s isolé·e·s • La fermeture des centres de rétention. • L'égalité des droits pour toutes dans tous les domaines (travail, logement, santé, éducation…). • Le droit de vote des étrangerEs. • La fin des contrôles au faciès et des violences policières.
Le 115 (logement d'urgence) saturé et une préfecture qui ne répond pas à son devoir d'asile. Dans les jours prochains, des dizaines de personnes vont se retrouver à la rue! Nous exigeons l'ouverture d'un centre d'hébergement ouvert 365j/365, 24h/24, sans aucune condition. La violence et le racisme d'Etat font ainsi des ravages dans les quartiers, dans les manifestations, au CRA, contre les migranTEs. Les forces de l'ordre sont là pour surveiller, punir, et réprimer les classes populaires et les personnes racisées, migrantes ou non. Nous sommes face à un système qui favorise la montée du racisme, de l'islamophobie, des idées les plus nauséabondes, qui nie les droits humains les plus élémentaires. L' inter-organisations de soutien aux personnes exilées appelle à manifester: A l'appel de: Awa Gueye et le Collectif Vérité et Justice pour Babacar Gueye – Attac Rennes – NPA Rennes – MIDAF – UL-CNT35 – JC35 – UCL Rennes – Cimade 35 – ACE – Ensemble 35 – GT Migrants FI Rennes – LDH Rennes – ICEM35-Pédagogie Freinet – FSU 35 – DAL 35 – PCF Rennes – Utopia56 rennes – UTUD – Solidaires 35 – GL 14/10 Tract_20_03_21 Nous sommes aussi signataires de l'appel national:
Les petites violences, et l'impunité quasi totale, qui les accompagnent installent une logique qui peut dégénérer vers des violences beaucoup plus graves, comme le cas d'Abdelamine, 19 ans, amputé d'une jambe après qu'une voiture de police lui ait foncé dessus. Il faut en outre compter les expulsions régulières et le harcèlement constant des Sans-papiers, en particulier lors d'arrestations après des contrôles dans les transports, à travers la collaboration de la STIB avec la police; mais aussi des rafles du côté de la gare du Nord qui visaient les migrant. s du parc Maximilien. Les arrestations et les coups arbitraires envers les militant-e‑s lors de manifestations sont de plus en plus fréquents. Le gouvernement emploie de plus en plus souvent la force pour faire appliquer son programme anti social.