Le Système Bancaire Au Maroc
Section I: La structure du système bancaire.................................................................................. A‐ Les autorités de tutelle…. ENCG Expose Systeme Bancaire Marocain 725 mots | 3 pages ENCG. FES SOMMAIRE Présentation: * Système Bancaire et ses composants - Définitions - Présentation schématisé - Synthèse Le système bancaire marocain: * Structure * Historique * Liste des banques marocaines Le système bancaire et ses composants Définition du système bancaire Le système bancaire est L'ensemble des banques d'une même zone monétaire piloté par la même banque Centrale. Un système bancaire est composé de: *d'une Banque Centrale *de banques commerciales* *: Ces…. Systeme bancaire marocain 2698 mots | 11 pages Le système bancaire marocain et ses règles prudentielles (Rapport pays) Mercredi 17 Février 2010 |Résumé / |Le système bancaire marocain est relativement concentré et majoritairement contrôlé par le secteur privé. Les six plus | |Extrait: |importantes banques détenaient approximativement 86% des actifs bancaires du pays à fin juin 2005 et une part du marché des | | |dépôts de près de 88%.
Le Système Bancaire Au Maroc France
Ainsi ont été introduits, dans le cadre de la loi bancaire de 1993 et des textes attenants, le désencadrement du crédit, la suppression progressive des emplois obligatoires, la libéralisation des taux d'intérêts débiteurs en 1996 et, la même année, le lancement d'un marché des changes interbancaire. A partir de 2000, un nouveau plan comptable pour les établissements de crédit a été adopté. Cette libéralisation de l'activité bancaire s'est réalisée dans un cadre prudentiel renforcé (notamment en matière de classification des créances douteuses à provisionner) que le système bancaire a globalement su intégrer, exception faite des anciens organismes financiers spécialisés. Le marché financier, quant à lui, après sa modernisation par une batterie de mesures, en 1993, a connu, en 2004, une mise à jour de son infrastructure et de ses règles de fonctionnement et un renforcement des pouvoirs de l'autorité de marché. En 2006, la promulgation de la nouvelle loi bancaire apporte deux éléments fondamentaux que sont d'une part, des nouvelles règles prudentielles dans le cadre de Bâles II qui sont plus qualitatives et spécifiques et qui nécessitent le recours à de nouveaux profils en matière de ressources humaines et à des moyens techniques sophistiqués et d'autre part, l'autonomie de la banque centrale, seule institution chargée de veiller à la régulation et à la surveillance du système bancaire et de conduire la politique monétaire.
Le Système Bancaire Marocaine
Les virements Peer to Peer apparaissent et un utilisateur peut prêter de l'argent à un d'autre, avec intérêts, dans une logique désintermédiée, sécurisée et anonyme. C'est la démocratie financière. Ces nouveaux entrants ne cherchent que les domaines où les utilisateurs sont les plus frustrés pour essayer de les capter. Cela dit, il faut que ces niches soient rentables pour être investies. Le nombre de Fintech est passé, selon Octo Technology, de 248 en 2013 à près de 1. 500 en 2015. L'investissement global dans le secteur est passé de 928 millions de dollars en 2008 à 29 milliards de dollars en 2015. Certaines ont été rachetées par des banques, d'autres continuent de rouler pour le compte de leurs créateurs. Dossier Le jargon de la Banque de demain Transformation digitale des banques: Les 4 questions à se poser Les étapes de la digitalisation bancaire (Etat des lieux au Maroc) (Vous êtes ici) Pratiques des leaders mondiaux Articles qui pourraient vous intéresser
IASF se différencie de l'indice existant notamment par un sous-indice qui capture le risque systémique du secteur bancaire, et à travers des techniques de pondération plus avancées, notent-ils. Les auteurs ont expliqué que la période de 2008 à 2009 a été caractérisée par des tensions financières illustrées par des niveaux élevés de 2 sous-indices en particulier, à savoir le risque systémique émanant du secteur bancaire et celui provenant du développement financier. Pour le stress financier observé en 2012-2013, il s'explique, selon eux, par une progression importante du sous-indice développement macroéconomique sous l'effet du creusement des déficits jumeaux. Cette période coïncide avec le premier accord au titre de la Ligne de précaution et de liquidité (LPL) conclu en août 2012 entre les autorités marocaines et le Fonds monétaire international (FMI). La mise au point de ce nouvel indice vient répondre aux préoccupations accrues que suscite la question de la stabilité financière. «La crise des «subprimes» et plus récemment celle de la Covid-19 ont mis en exergue les risques potentiels menaçant la stabilité financière et l'importance d'une surveillance accrue du système financier», ont souligné les concepteurs de ce nouvel indice.